Vaccin Pfizer: Au moins 438 décès en Europe

La base de données Eudravigilance permet de faire des recherches sur les effets secondaires suite aux vaccinations pour les deux vaccins actuellement autorisés en Europe. Celui de Pfizer depuis le 21 décembre 2020 et celui de Moderna depuis le 6 janvier 2021. Nous allons nous intéresser plus particulièrement au vaccin de Pfizer qui a déjà été largement utilisé sur le continent.

Avec un plus d’un mois de recul, on commence à avoir un aperçu des effets secondaires de ce vaccin. Au 23 janvier, 16 479 personnes ont déclaré des effets secondaires. Première chose, qui frappe lorsque l’on commence les recherches est que cela concerne principalement les 18-64 ans (+ de 80%). 1089 personnes entre 65-85 (6,6%) et 818 chez les plus de 85 ans (5%).

Cela concerne aussi très majoritairement les femmes (76,1%).

L’Italie rapporte 35% des cas, le Royaume-Uni 17% et l’Espagne 10% (la France, connue pour sa faible remontée des effets indésirables médicamenteux de façon générle ne représente que 3% des cas).

Les effets indésirables les plus souvent rapportés concernent des problèmes généraux (température, douleur, malaise, etc..), le système nerveux, musculo-squelettique et gastro-intestinal.

On trouve de nombreux effets indésirables considérés comme sérieux. Cela représente selon les cas 1/3 (système nerveux), parfois la moitié (maladies cardiaques) et jusqu’au 2/3 des réactions (système immunitaire et infections).

Le système cardiovasculaire semble bien mis à mal avec 911 rapports (concernant une fois encore plutôt les personnes jeunes) et ayant provoqué pas moins de 63 décès dont 22 arrêts cardiaques.

173 décès dus à « troubles généraux » (la liste est longue et inclue la mort subite dans 34 cas)

Le pire c’est que 42 personnes sont mortes des suites de maladies pulmonaires du type dyspnée, insuffisance respiratoire aiguë, œdème ou embolie pulmonaire.

14 Covidés et 7 pneumonie: 34 infections en tout.

Eudravigilance n’a pas rendu les choses simples pour connaitre le bilan des morts suite à la vaccination. J’ai du retranscrire les chiffres sur Excel un par un dans chaque catégorie pour pouvoir avoir un bilan: 438 décès en un mois.

6786 cas sont considérés comme non résolus et 959 comme ayant des séquelles.

Aux Etats-Unis, le situation ne semble guère mieux.

Ce témoignage d’un infirmier américain confirme que ce vaccin tue. 

« James rapporte qu’en 2020, très peu de résidents de la maison de soins infirmiers où il travaille sont tombés malades du COVID, et aucun d’entre eux n’est décédé pendant toute l’année 2020.

Cependant, peu de temps après avoir administré les injections expérimentales d’ARNm de Pfizer, 14 sont décédés dans les deux semaines, et il rapporte que de nombreux autres sont sur le point de mourir.

Il précise très clairement qu’il s’agissait de patients qu’il connaissait et qu’il soignait (il est aussi un «pasteur laïc»), et qu’après avoir reçu une injection d’ARNm, les résidents qui avaient l’habitude de marcher seuls ne peuvent plus marcher. Les résidents qui avaient l’habitude d’avoir une conversation intelligente avec lui ne pouvaient plus parler.

Et maintenant, ils meurent. « Ils tombent comme des mouches ».

Le système VAERS du CDC qui permet d’accéder librement à la base de données des effets indésirables indique que 181 personnes sont décédées dans les jours qui suivent la vaccination dont 44 le jour même et 40 le jour suivant (29 supplémentaires au bout de 2 jours). Donc 113 personnes sont décédés dans les 48H suivant la vaccination. A noter que les décès ne concernent pas que des personnes âgées. Ce rapport rapporte le cas d’un bébé mort né. Deux jours après la vaccination, le bébé bougeait moins et au troisième jour, il était en arrêt cardiaque.

Contrairement au site européen, il est possible de faire des recherches précises avec des informations sur chaque décès. On constate par exemple que certaines personnes sont mortes moins de 2H après l’injection.

Ou que d’autres développent une détresse respiratoire (entraînant la mort) dans les 24H comme dans la base de données européenne.

Le vaccin n’a pas l’air de réussir aux patients testés positifs au COVID. Cette personne en a fait les frais.

De tels chiffres ne plaident clairement pas en faveur d’une généralisation de la vaccination contre le COVID, en particulier pour les moins de 65 ans qui semblent plus touchés par les effets secondaires.

Une généralisation de la complémentation en vitamine C et vitamine D en prévention et l’utilisation d’ivermectine et d’artemisia (en curatif) seraient des mesures bien plus cohérentes pour faire reculer l’épidémie et surtout celle-ci ne risquent pas de nuire aux personnes en bonne santé contrairement à ce vaccin expérimental.

Voir les documents

– Source : Fawkes News
Source : ZE Journal

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *