Symposium sur la Corruption dans la crise du Covid

En septembre s’est tenu à Lisbonne un symposium d’une grande qualité, dont les intervenants ont exposé la Corruption dans la crise artificielle du Covid, ses origines, ses mécaniques et ses implications. Cet événément a été le fruit d’un partenariat de la LNPLV avec SLS, Enseignement Recherche Liberté, et Réinfoliberté.

Chacun de ces intervenants a présenté pour son champ de spécialité un exposé instruit et implacable des principaux enjeux de cette corruption. Le tout forme un tour d’horizon complet, clair, avec un recul et une exhaustivité bienvenus autour de ce sujet.

Vous trouverez ici la présentation de l’événement, puis les synopsis des différentes interventions, ainsi que leurs vidéos dès qu’elles sont disponibles.

Le Teaser/Résumé : Corruption et fraude dans la crise COVID depuis 2020

Une autre vision depuis la francophonie 

« Les décisions politiques imposées aux populations depuis le premier trimestre 2020 ont été sans précédent dans l’histoire, tant dans leur violence, que dans leur motif, et dans leur amplitude.

À l’aide de ce colloque, La LNPLV souhaite présenter divers travaux d’investigation de la francophonie sur les modalités de la corruption, qui ne concernent pas que la corruption médicale, qui a déjà été traitée par ailleurs.

Avec SLS, Enseignement Recherche Liberté, et Réinfoliberté, nous traiterons de la corruption systémique, politique, médiatique, scientifique (épidémiologique, mathématique, informatique, statistique…), juridique, philosophique et psychologique, avec une analyse critique sur les deux années écoulées.

L’ensemble du tableau portera la réflexion sur le rôle de la corruption dans la dérive totalitaire, la fraude permettant d’organiser la manipulation des masses, et d’obtenir leur consentement. Il est donc essentiel d’y voir clair, et c’est l’enjeu de ce colloque de donner des outils pour undiscernement plus aiguisé. »

Bonne lecture, bon visionnage. 

En septembre s’est tenu à Lisbonne un symposium d’une grande qualité, dont les intervenants ont exposé la Corruption dans la crise artificielle du Covid, ses origines, ses mécaniques et ses implications. Cet événément a été le fruit d’un partenariat de la LNPLV avec SLS, Enseignement Recherche Liberté, et Réinfoliberté.

Chacun de ces intervenants a présenté pour son champ de spécialité un exposé instruit et implacable des principaux enjeux de cette corruption. Le tout forme un tour d’horizon complet, clair, avec un recul et une exhaustivité bienvenus autour de ce sujet.

Vous trouverez ici la présentation de l’événement, puis les synopsis des différentes interventions, ainsi que leurs vidéos dès qu’elles sont disponibles.

Le Teaser/Résumé : Corruption et fraude dans la crise COVID depuis 2020

Une autre vision depuis la francophonie

« Les décisions politiques imposées aux populations depuis le premier trimestre 2020 ont été sans précédent dans l’histoire, tant dans leur violence, que dans leur motif, et dans leur amplitude.

À l’aide de ce colloque, nous souhaitons présenter divers travaux d’investigation de la francophonie sur les modalités de la corruption, qui ne concernent pas que la corruption médicale, qui a déjà été traitée par ailleurs.

Nous traiterons de la corruption systémique, politique, médiatique, scientifique (épidémiologique, mathématique, informatique, statistique…), juridique, philosophique et psychologique, avec une analyse critique sur les deux années écoulées.

L’ensemble du tableau portera la réflexion sur le rôle de la corruption dans la dérive totalitaire, la fraude permettant d’organiser la manipulation des masses, et d’obtenir leur consentement.Il est donc essentiel d’y voir clair, et c’est l’enjeu de ce colloque de donner des outils pour undiscernement plus aiguisé. »

Les Interventions

José Luís Pio Abreu, psychiatre

José Luís Pio Abreu, psychiatre et a été professeur de psychiatrie à la faculté de médecine de Coimbra, et membre du Centre de philosophie des sciences de l’université de Lisbonne. Il a été cliniquement actif pendant plus de 50 ans, au cours desquels il a supervisé et développé des recherches dans les domaines de la psychopathologie et des psychothérapies, avec des centaines d’articles et de conférences. Il a publié onze livres au Portugal et a supervisé la traduction d’un livre sur la neurophysiologie. Certains de ces livres ont également été publiés au Brésil, en Espagne, en Amérique latine et en Italie. Trois d’entre eux ont été primés au Portugal et en Italie. Le plus connu est : Comment devenir un malade mental. Dans ses écrits, il se consacre également à une réflexion critique sur la psychiatrie et tente d’aborder l’énigme de l’esprit à partir de ses pathologies. Il a toujours été un citoyen actif, avec plusieurs interventions, articles d’opinionet chroniques dans des journaux nationaux et régionaux. 

Les effets sur la santé mentale de la fraude Covid

Il est probablement trop tôt pour évaluer les conséquences psychiatriques des restrictions de liberté qui ont suivi l’annonce de la pandémie de Covid19. Pour l’instant, les nouvelles arrivent dans les médias sous forme de violence et de suicide. En revanche, les consultations psychiatriques et les hospitalisations ont été considérablement réduites. Les restrictions des services de santé eux-mêmes n’ont pas aidé. Cependant, de nombreux facteurs peuvent aujourd’hui rendre les gens vulnérables aux maladies mentales ou les précipiter : le manque de contacts interpersonnels remplacé par des communications numériques décontextualisées ; le manque de conditions pour faire le deuil ; le ralentissement économique et les pertes d’emploi ; enfin, l’incertitude et la peur qui génèrent anxiété, méfiance et paranoïa.

Virginie de Araujo-Recchia, avocate

Virginie de Araujo-Recchia (France) a déposé de nombreuses plaintes dont une plainte pour « dérives sectaires », impliquant des faits « d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse », ainsi que de « complicité d’empoisonnement et de génocide », 

Liste de ses actions : https://dar-avocats.com/actualites/

Corruption juridique

Autant nous assistons à l’inversement des valeurs au sein de nos sociétés occidentales, autant nous assistons à l’inversement de la hiérarchie des normes juridiques.

En effet, force est de constater que les grands principes juridiques applicables, en toutes circonstances, au sein/au cœur de toute société civilisée, sont désormais foulés au pied au détriment de l’intérêt des peuples et corrélativement au seul profit de la finance internationale mondialiste détenant notamment les groupes pharmaceutiques impliqués.

La fraude est commise sous l’égide de fondations, d’agences et de groupes de réflexion internationaux et au travers de la corruption des médias grand public et des plateformes numériques complices du cloisonnement de l’information et par conséquent d’un obscurantisme décomplexé.

Ainsi, une réglementation technocratique pullulante, incohérente et déracinée se substitue aux normes supérieures avec les conséquences désastreuses que nous connaissons.

Règne désormais un mépris total du droit à la vie, du principe de la dignité humaine, de la sacralité de l’esprit et du corps jusqu’à atteindre l’environnement du fœtus et le génome de l’être humain.

Ces questions nous mènent à la croisée du droit et de la philosophie.

Ariane Bilheran, normalienne, docteur en psychopathologie, auteur du livre ‘Le débat interdit (Trédaniel) et Les chroniques du totalitarisme 2021’

Ariane Bilheran (France, Colombie) est intervenue dès le début de la crise pour expliquer les mécanismes de manipulation de masse, et la dérive totalitaire en cours. Elle est notamment intervenue comme experte au Jour 4 du Grand Jury du Dr Reiner Füllmich, au CSI (Conseil Scientifique Indépendant), et a interviewé Vera Sharav pour diffusion en France. https://www.arianebilheran.com

Corruption philosophique et psychologique

La dérive totalitaire actuelle suppose un endoctrinement des masses à l’idéologie ainsi qu’une corruption radicale de notre rapport métaphysique au monde et au savoir. Fonctionnant au mensonge, le phénomène totalitaire ne se légitime que par la fraude sur les premiers principes dans les domaines dont il s’empare : fraude langagière, fraude épistémologique, fraude politique, fraude juridique, fraude morale et fraude psychique. Cette fraude repose sur une conception erronée et réduite de l’être humain et de sa relation au monde, afin de lui supprimer ses droits fondamentaux.

Rui Castro, juez

Les conséquences bioéthiques de la fraude Covid

La figure de l’escroquerie peut être utilisée pour caractériser le comportement de l’État vis-à-vis de la population qui, égarée et trompée par une pandémie simulée, a fini par accepter de céder certains de ses droits fondamentaux les plus élémentaires en échange d’une fausse idée de sécurité, assistant au cours des deux dernières années à une très grave rupture de l’ordre juridique et constitutionnel existant, ainsi qu’à la destruction de la bioéthique et à la progression d’un mouvement eugéniste très dangereux.

Pierre Chaillot, statisticien, auteur de la chaîne Décoder l’éco.

Pierre Chaillot (France) analyse régulièrement les manipulations dans les interprétations statistiques, notamment dans ses interventions au CSI (Conseil Scientifique Indépendant).

Chaîne Décoder l’éco : https://www.youtube.com/channel/UCX6iYvJWGOQfGsFo2KSSm-w

Corruption statistique : la crise Covid, épidémie de la peur et du mensonge propagée par le virus statistique

Depuis 2 ans, un déferlement continu de chiffres bien choisis a accompagné chaque phase de l’histoire :prédictions catastrophistes sur la base de modèles imaginaires, changements de définitions, oubli ou sélection orientée des éléments de comparaison, utilisation sans filtre de données non contrôlées… Toute publication a dû se conformer au postulat initial : un virus mortel circule mondialement, toutes les mesures mises en place sauvent des vies, tout particulièrement les vaccins sûrs et efficaces.

Pour certains ce prisme de lecture sacrifiant tout principe déontologique a permis un enrichissement jamais égalé, pour d’autres, l’asservissement d’une population reconnaissante envers ses sauveurs, et pour les derniers le sentiment du devoir accompli en protégeant la plèbe d’une vérité trop rassurante face au danger.

Emmanuelle Darles, docteur en informatique, enseignante à l’Université de Poitiers, Auteur de « Ne touchez pas à nos enfants ».

Emmanuelle Darles (France) a présenté ses travaux au Sénat en France, qui refuse de les rendre publics. Elle participe régulièrement au CSI (Conseil Scientifique Indépendant).

Corruption informatique

Au cours de ces dernières décennies, nous avons assisté à une volonté de modéliser le monde en vue de le réduire à quelques algorithmes. Durant cette crise, plusieurs mesures sanitaires (confinement, masques, …) ont été prises sur la base de ces calculs qui s’inscrivent allègrement dans la réduction du vivant et de sa complexité. Cette présentation adresse un état des lieux de la corruption informatique dans ce contexte ainsi que les failles conceptuelles des méthodes qui ont été utilisées qui ont conduit à une atteinte des libertés fondamentales individuelles.

Slobodan Despot, éditeur, traducteur, romancier, directeur de la lettre magazine L’Antipresse.

Slobodan Despot (Suisse) a proposé dès le début de la crise en 2020 un autre regard médiatique, dans L’Antipresse, revue hebdomadaire, qui analyse en particulier le traitement de l’information par les médias de masse.

https://www.antipresse.net

Corruption médiatique

Comment se protéger du Covid ? En coupant la télévision ! Sous cette boutade se cache une effrayante réalité : pour la première fois dans l’histoire, une pandémie a fait davantage de dégâts dans les têtes que dans les corps, intimidé davantage par les récits et les projections qu’on en faisait que par ses effets physiques.

La compréhension de cette séquence dystopique impose donc un réexamen fondamental de nos systèmes d’information transformés en outils d’intimidation et de contrôle des masses.

Margarida Gomes de Oliveira, Médica, Médecin anesthésiste

La tyrannie de la « chronophobie »

Fondée sur l’utopie du risque zéro, la « chronophobie » a pris les rênes des décisions politiques, des pratiques cliniques et des comportements sociaux, perpétuant une urgence sanitaire qui n’a jamais existé.

Les autorités de santé publique, qui devraient fonder leurs décisions et leur crédibilité sur la science, ont commencé à utiliser la propagande, la censure et la coercition comme argument et base des règles imposées, se laissant corrompre. Ainsi, avec le pouvoir politique et les grandes entreprises pharmaceutiques, médiatiques et supranationales, dans le piétinement des droits humains inaliénables, dans la subversion de l’éthique et dans l’exploitation pornographique de la peur individuelle et sociale, ils ont contribué à aggraver l’escroquerie…

La gravité de la pandémie de Covid-19 est infime comparée aux milliers d’autres menaces qui pèsent sur la santé publique et l’intégrité physique de l’humanité. Cependant, le mépris de l’OMS pour la vérité et la rigueur scientifique a conduit à la déclaration d’une pandémie qui se perpétue dans les médias et dans l’opinion publique malgré les statistiques publiées et les preuves scientifiques produites qui la contredisent !

L’épidémie mondiale de panique et d’hystérie a également infecté la profession médicale, qui reste silencieuse et complice de la coercition, de la discrimination sous le prétexte de la santé, du refus du consentement éclairé et de la subversion totale de la relation médecin-patient par l’application aveugle de normes sanitaires fallacieuses et/ou le suivi sans critique de protocoles diagnostiques ou thérapeutiques.Il reste ceux qui, malgré les persécutions politiques, le harcèlement moral et la censure des médias, continuent à honorer la bioéthique, la science, les serments qu’ils ont prêtés et les connaissances qu’ils ont acquises par l’expérience.

Défendant la dialectique scientifique, ils remettent en cause les mesures sanitaires et luttent contre l’installation de la peur en affirmant à juste titre que :

– Il n’y a pas de « nouvelle maladie » ;

– La grippe n’a pas disparu ;

– Un virus respiratoire ne peut être éradiqué ;

– Il est inacceptable de suspendre toutes les activités de santé au profit d’une seule entité nosologique ;

– En médecine, le diagnostic se fait par l’anamnèse et l’observation clinique et non exclusivement par des tests de laboratoire ;

– Les inoculations expérimentales coercitives constituent un crime ;

– Les certificats de santé sont discriminatoires et inacceptables dans une société moderne, humaniste et inclusive ;

– La surmortalité croissante reflète l’échec des mesures sanitaires préétablies !

L’imposition sans précédent, sans aval médical ou scientifique, de normes comportementales, de mandats de vaccination et de restrictions draconiennes, reste obstinément l’horizon des décideurs politiques et sanitaires et est soutenue par une société étonnamment conformiste et soumise. Nous ne pouvons que résister et persister dans l’espoir que la lumière raisonnée dissipera l’hallucination collective dans laquelle se trouve encore la société.

Rafael Maceo, médecin

Une brève approche de la corruption dans le domaine de la santé avant le COVID : un réseau d’influence nationale.

Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé, auteur du livre ‘Covid : anatomie d’une crise sanitaire’ (éd. Humensciences)

Jean-Dominique Michel (Suisse) explique depuis mars 2020 tous les aspects de corruption systémique et les mensonges dans les systèmes de santé. Il intervient régulièrement au CSI (Conseil Scientifique Indépendant).

https://jdmichel.blog.tdg.ch

Corruption systémique et endémique des systèmes de santé

Alors que l’instrumentalisation des politiques sanitaires au service d’intérêts prioritaires autres que ceux de la population est connu de longue date comme un problème systémique, la crise du Covid a été l’occasion d’une étonnante amnésie collective (à moins qu’il se soit agi d’un interdit) à ce sujet.  Ceci pendant que les processus de corruption directs et indirects se diffusaient largement à d’autres milieux, posant désormais la question de leur possible endémicité au cœur de notre société.

Vincent Pavan, docteur en mathématiques, enseignant à l’Université d’Aix-Marseille, auteur du livre ‘Le débat interdit’ (Trédaniel).

Vincent Pavan (France) est intervenu dès mars 2020 pour dénoncer les fraudes mathématiques ayant préexisté aux décisions politiques sur les confinements. Il a déposé plusieurs plaintes en justice, et est le fondateur du CSI (ConseilScientifique Indépendant).

Corruption mathématique et épidémiologique

Dans un grand nombre de secteurs différents, la crise liée au COVID a révélé des fonctionnements totalement corrompus. Peu de secteurs institutionnels auront pu ainsi échapper à une déliquescence complètement de leur éthique, leur déontologie ou leurs principes.

Ainsi en France la médecine a-t-elle abandonné son serment d’Hippocrate, sous pression d’un Conseil de l’Ordre retrouvant là son fonctionnement collaborationniste originel.

De la même manière, la justice administrative, prise entre son devoir de service de l’exécutif et son rôle de protection des libertés publiques, a résolument choisi de cautionner les décisions administratives plutôt que la protection des droits de l’Homme, quand bien-même son devoir sacré consistait précisément en la protection contre le fonctionnement du totalitarisme.

Au premier plan de la corruption, l’Université est également devenue l’alliée objective du régime totalitaire, non seulement en cautionnant le scientisme déliquescent des experts officiels de l’État, mais également en s’attaquant aux chercheurs capables de délivrer une pensée critique maîtrisée s’opposant à la narration idéologique du pouvoir.

Dans notre intervention, nous montrons que les idéologues du régime ont tenté de corrompre la science attachée à la modélisation mathématique du réel pour tenter de faire croire à l’existence de raisons épidémiologiques fiables et objective aux privations absurdes de liberté qui ont été décidées dans de nombreux états occidentaux.

À l’aide de présentations truquées, d’algorithmes détournés et d’utilisation frauduleuse du langage mathématique, ils ont sciemment fraudé les principes de la science pour contrefaire des résultats qu’ils savaient parfaitement invalides. Servis aux médias et à la représentation politique qui les a acceptés sans discuter, ces résultats ont permis que s’installent dans l’imaginaire collectif des croyances infondées qui polluent encore aujourd’hui, et peut-être pour longtemps, la représentation de la syndémie de Sars-Cov-2.

En montrant de façon détaillée où se situent les pires impostures scientifiques des membres du conseil scientifique français, nous établissons que la corruption de la science a constitué l’une des pires falsifications de l’histoire, que l’Université et les chercheurs, dans leur grande majorité ont accepté sans sourciller.

Olivier Soulier, médecin homéopathe, chercheur, fondateur de la médecine du sens, fondateur du SLS

Olivier Soulier (France) intervient régulièrement au CSI (Conseil Scientifique Indépendant) dont il est membre fondateur. Site : https://www.lessymboles.com

Comment en sommes-nous arrivés là, histoire d’une lente corruption.

Ce qui se produit actuellement n’a pas commencé en 2020 ou 2019, ni même dans les vingt dernières années.

C’est un long processus d’envahissement de la médecine humaniste par la médecine chimique, busines et corruptive, depuis un siècle, alliée et gouvernées par des forces essentiellement financières.

Nous retracerons les lignes principales, ce qui permettra de mieux comprendre le comment, le pourquoi et les forces en présence.

Source : Info Vaccin

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