Le tribunal de Lisbonne juge que seulement 0,9 % des  » cas vérifiés  » sont morts du COVID, soit 152, et non les 17 000 prétendus.

Mordechai Sones –    23 juin 2021

Suite à la pétition d’un citoyen, un tribunal de Lisbonne a été contraint de fournir des données vérifiées sur la mortalité liée au COVID-19, rapporte AndreDias.net.

Selon le jugement, le nombre de décès vérifiés liés au COVID-19 entre janvier 2020 et avril 2021 n’est que de 152, et non pas d’environ 17 000 comme le prétendent les ministères du gouvernement.

Tous les « autres » sont morts pour diverses raisons, bien que leur test PCR ait été positif.

« Nous vivons une tromperie d’une ampleur sans précédent », écrit Dias.

Source : Ciel Voilé

https://americasfrontlinedoctors.org/frontlinenews/lisbon-court-rules-only-0-9-of-verified-cases-died-of-covid-numbering-152-not-17000-claimed/

Texte ci dessus traduit par DeepL :

Suite à la pétition d’un citoyen, un tribunal de Lisbonne a été contraint de fournir des données vérifiées sur la mortalité liée au COVID-19, rapporte AndreDias.net.

Selon le jugement, le nombre de décès vérifiés dus au COVID-19 entre janvier 2020 et avril 2021 n’est que de 152, et non d’environ 17 000 comme le prétendent les ministères.

Tous les « autres » sont morts pour diverses raisons, bien que leur test PCR ait été positif.

« Nous vivons dans une fraude d’une ampleur sans précédent », écrit Dias.

« Les données proviennent du Sistema de Informação dos Certificados de Óbito (Système d’information sur les certificats de décès – SICO), le seul système de ce type au Portugal. La référence à 152 certificats de décès délivrés « sous la supervision du ministère de la justice » est fallacieuse, car tous les certificats de décès sont délivrés sous les auspices du ministère de la justice, qui est la seule institution à les délivrer.

« En réponse à un procès populaire, il a fallu une ordonnance du tribunal pour que le ministère réponde, désespérant de ne pas dénoncer la fraude.

« Tous les responsables du traitement des données des ‘cas’ et des ‘décès’ ne peuvent, par la suite, qu’être jugés pour le crime s’il reste un peu de dignité à l’État de droit », poursuit-il.

« Si ces chiffres sont du même ordre de grandeur pour d’autres pays également, et il n’y a aucune raison de supposer le contraire, alors la peste est une tromperie d’une ampleur sans précédent et des crimes commis contre l’humanité à grande échelle ont été commis ici. »

Source : Américasfrontlinedoctors

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