Le cas de Stéphane Blet, mort d’un prétendu suicide le 7 janvier 2022 à Genève.

Message à l’intention de la Doxa :

Beaucoup de nos lecteurs dans leurs commentaires pensent que la mort du Général Delawarde le 11 Mai 2025 n’est pas naturelle. Si tel était le cas vous avez transformé un Héros en Martyr et en sa mémoire tous les Réseaux de Résistance ne vont pas manquer de révéler tous les crimes sordides dont vous êtes responsables.

Si il est vrai que beaucoup de nos grands hommes, dénonçant les turpitudes de la Doxa, ont tendances à disparaître brusquement, soit d’arrêt cardiaque, d’AVC ou d’accidents, il est naturel de se poser des questions sur le « hasard » de tels évènements ou drames qui semblent bien arranger les affaires de cette Doxa…

L’un de nos fidèles lecteurs nous suggère de nous rappeler « d’un cas » tout aussi particulier sur le prétendu suicide de Stéphane Blet.

Sachant aujourd’hui quelle « valeur » accorder aux fiches wikipédia, nous allons commencer néanmoins par la fiche de l’intéressé, puis nous terminerons par l’une de ses dernières vidéos sous titrée.

Comme le disait si bien le Général Dominique Delawarde, « A chacun de se faire sa propre opinion »

Stéphane Blet, né le 9 mars 1969 à Paris et mort le 7 janvier 2022 à Genève (Suisse), est un pianiste, compositeur et polémiste français.

Ancien franc-maçon, il est également connu pour ses positions antimaçonniques et antisémites. Il est notamment l’auteur de plusieurs essais sur le sujet de la franc-maçonnerie. À partir des années 2010, il est par ailleurs un proche du mouvement Égalité et Réconciliation d’Alain Soral.

Biographie

Carrière

Disciple du pianiste américain Byron Janis[1] qui l’invite à New York dans les années 1980, il est également le jeune assistant de Vladimir Horowitz[2]. Il entame une carrière de concertiste à partir de 1986.

Ses récitals à la salle Gaveau ou au théâtre des Champs-Élysées lui valent le succès du public, comme lors de son « marathon Franz Liszt » en février 1987 où il est bissé plus de trente minutes[3], ce qui fait dire au critique musical Pierre Petit : « Stéphane Blet, c’est plus que du simple piano, c’est la musique elle-même ».

À l’âge de dix-neuf ans, il enregistre son premier disque, consacré à Franz Liszt.

Il signe un an plus tard avec Philips Classics, pour qui il enregistre deux nouveaux disques, toujours consacrés au compositeur hongrois, avec entre autres la sonate pour piano en si mineur, sélection des « meilleurs CD Diapason 1989 », qui fait écrire à André Boucourechliev : « De son corps à corps avec l’œuvre naît une superbe architecture, scandée tour à tour par la majesté et le lyrisme le plus intense. Et quelle sonorité ! […] On apprécie le véritable musicien et sa merveilleuse compréhension de l’œuvre […] on oublie tout pour s’adonner à l’émotion… c’est l’état de grâce ! ». Quant à Carlo Maria Giulini, il soulignera « une technique stupéfiante et le plus beau son de piano ».

Parallèlement, Stéphane Blet a composé plus de 300 œuvres, essentiellement pour piano, mais aussi pour violon, orchestre ou encore voix, interprétées et enregistrées par des pianistes tels Cyprien Katsaris, Alexandre Paley, İdil Biret, Evelina Borbei[4], Natalia Sitolenko et Jean Muller (en).

En 1994, il transcrit intégralement pour piano seul la monumentale Faust-Symphonie de Liszt[5], ce qui lui vaut plusieurs prix dont celui de l’Association Franz Liszt. Il compose également un grand cycle de rhapsodies turques et ottomanes et se voit décoré en 1996 par le gouvernement turc pour ce travail[6].

Il participe au jury de l’École normale de musique de Paris, avant d’y être nommé professeur, en 2001. Il a également présidé plusieurs concours internationaux, dont le Concours International de Piano d’Istanbul Orchestra Sion en 2013[6].

Il est aussi l’auteur de quelques ouvrages au sujet des œuvres de Frédéric Chopin, Erik Satie, Franz Liszt et Robert Schumann, ainsi que la traduction d’une méthode de piano américaine, Le Voyage Magique, parue aux éditions Leduc[7].

Stéphane Blet est durant vingt-cinq ans vice-président de l’Académie du disque lyrique[8]. En 2010, il crée le « Grand Orphée d’Or Leyla Gencer » en hommage à la grande cantatrice turque[9].

Militantisme antimaçonnique et antisémite

Gaël Brustier révèle en 2017 qu’il est proche d’Alain Soral et « l’un des conférenciers engagés dans la dénonciation de l’influence maçonnique. Il se livre à un exercice assez commun depuis deux siècles d’antimaçonnisme : le témoignage d’un ex-initié.

En un mois, sa conférence a été visionnée 77 000 fois sur YouTube au cours du seul mois d’août.

Stéphane Blet a réalisé un autre entretien de « repenti » visionné plus de 260 000 fois[10] ». Son antimaçonnisme comporte également une dimension antisémite, Blet déclarant que « la franc-maçonnerie est une institution juive »[11].

Il considère que la franc-maçonnerie aurait été progressivement infiltrée par les juifs, qui l’auraient ainsi détournée de son but initial afin de la transformer en une organisation nuisible aux nations et aux peuples et bénéficiant à Israël ainsi qu’au « mondialisme sioniste »[11]. Il apparaît dans La France maçonnique, film réalisé par Paul-Éric Blanrue et Julien Teil, en compagnie de Dieudonné, de Jean-Yves Le Gallou, d’Emmanuel Ratier et de Pierre Hillard[12]. En septembre 2020, Stéphane Blet affirme son soutien au militant antisémite Hervé Ryssen, alors incarcéré[13]. En 2021, il écrit la préface du livre de Dieudonné, Réponse à Éric Zemmour[14].

Stéphane Blet est condamné en 2017, à 5 000 € d’amende, pour provocation à la haine et injure raciale[15]. Il est à nouveau condamné en 2020 à six mois de prison[16].

Distinctions

Il reçoit en France la médaille d’or de la Société d’encouragement au progrès remise au Sénat, et est admis au grade de chevalier dans l’ordre des Arts et des Lettres par le gouvernement français en juillet 2005[17], dont il est exclu par arrêté du 13 juin 2019[18].

La Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (SACEM) lui décerne le prix de « Pianiste de l’année » en 2007. Le magazine Marianne le qualifie de « roi du clavier »[19].

Mort

Il meurt le 7 janvier 2022 à Genève, en tombant du balcon de l’appartement de ses amis, situé au sixième étage[20],[13]. Les enquêteurs privilégient la thèse du suicide[16].

Notes et références

Source : Wikipédia

Dernier entretien de #stephaneblet en turc, mise en ligne 13.12.2021 / sous-titres français

Nous vous invitons vivement à écouter les propos de Stéphane Blet (sous titrés en français) et vous comprendrez pourquoi « il s’est suicidé » en se jetant du 6ème étage chez ses amis….

Mehmet Yildiz

22 mai 2022 GENÈVE Dernier entretien en turc de #stephaneblet sous-titres français Source :    • Vidéo   Publié le 13 décembre 2021 sur la chaîne YouTube de Yavuz Selvi – Neler Oluyor ? (que se passe-t-il ?)    / @selviciftliği  

Source : Youtube

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *