Facebook, nouvelle arme de la gendarmerie

le lieutenant-colonel Jacques Dahan, conseiller communication  à la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées et le lietenant-colonel Ronde ont lancé la page Facebook de la gendarmerie de Tarn-et-Garonne./ Photo DDM.
le lieutenant-colonel Jacques Dahan, conseiller communication à la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées et le lietenant-colonel Ronde ont lancé la page Facebook de la gendarmerie de Tarn-et-Garonne./ Photo DDM.
 

Avec ses vingt-deux brigades, la gendarmerie est déjà partout présente dans le département. Cependant, cette fois, elle débarque sur le réseau social Facebook. En effet, le groupement de gendarmerie de Tarn-et-Garonne a lancé sa page, hier après-midi.

Dès son arrivée le 1er août, le lieutenant-colonel Gaël Ronde, nouveau patron des 380 gendarmes tarn-et-garonnais voulait que le groupement investisse les réseaux sociaux, devenus incontournables pour communiquer… «Il s’agit surtout de répondre aux nouvelles formes de consommation de l’information par le public, de mieux faire connaître les missions de la gendarmerie, ses personnels, ses moyens, et son actualité. Nous allons ainsi partager le quotidien des brigades dans le cadre de reportages», explique le lieutenant-colonel Ronde.

Pas de contact d’urgence

La page de la gendarmerie de Tarn-et-Garonne sera l’occasion de signaler certaines opérations de la gendarmerie (pas les contrôles de vitesse), avec l’accord des magistrats chargés de telle ou telle affaire. Elle servira aussi à délivrer des conseils de prévention pour les cambriolages, les départs en vacances, les vols… Des appels à témoins pourront être diffusés. L’animation de la page sera pilotée par patron du groupement, son second, ainsi que les commandants des deux compagnies (Montauban et Castelsarrasin), l’escadron départemental de sécurité routière. L’information sera bien sûr complétée par des photos et des vidéos.

Précision de taille : «La page n’a pas de vocation opérationnelle. Le grand public peut faire passer des messages aux gendarmes, mais les contacts d’urgence se feront toujours par le 17 ou en allant directement à la brigade la plus proche de chez soi ou du lieu où l’on se trouve en cas dans le cadre d’une urgence», prévient le lieutenant-colonel.

Autrement, les responsables de la gendarmerie espèrent atteindre rapidement les 2 000 abonnés. «Par comparaison, des départements voisins comme le Gers, l’ont fait et doivent être aujourd’hui aux 6 000 abonnés»

Source : La Dépêche

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