Bain-de-Bretagne : Trafic de stupéfiant démantelé par les gendarmes

La compagnie de gendarmerie de Redon a procédé au démantèlement d'un trafic de drogue qui s'étendait à l'Ille-et-Vilaine, la Loire-Atlantique et le Morbihan. Treize personnes ont été interpellées.

La compagnie de gendarmerie de Redon a procédé au démantèlement d’un trafic de drogue qui s’étendait à l’Ille-et-Vilaine, la Loire-Atlantique et le Morbihan. Treize personnes ont été interpellées. | Gendarmerie Nationale

La compagnie de gendarmerie de Redon a démantelé un important trafic de stupéfiant, le 20 juin. Treize personnes ont été interpellées en Ille-et-Vilaine et Loire-Atlantique. De la résine de cannabis, de l’argent liquide et des armes ont été saisis.

Le 20 juin, la compagnie de gendarmerie de Redon donne le signal de départ d’une opération d’interpellation dans le cadre du démantèlement d’un trafic de stupéfiant. Pas moins de soixante militaires sont alors mobilisés pour arrêter les têtes pensantes du réseau qui s’étendaient aux trois départements de l’Ille-et-Vilaine, du Morbihan et de la Loire-Atlantique.

Au cours de l’opération, treize personnes sont interpellées, à Bain-de-Bretagne, à Saint-Herblain (Loire-Atlantique) et dans d’autres communes des deux départements. Un kilo de résine de cannabis, de l’argent liquide et des armes sont saisis aux domiciles des prévenus.

Les différents accusés sont des hommes âgés de 22 à 42 ans et ayant, pour certains, des casiers judiciaires chargés. Quatre d’entre eux devaient passer en comparution immédiate le 22 juin mais ils ont demandé un délai pour préparer leur défense. Tous les quatre ont été placés en détention provisoire en attendant leur jugement, qui doit avoir lieu le 29 juillet. Six autres seront convoqués ultérieurement par la justice.

Le démantèlement de ce trafic, qualifié « de grande ampleur » par le procureur de la République, fait suite à une première opération qui avait eu lieu il y a un an. Les gendarmes avaient alors identifié ce réseau. Après trois mois d’enquête, les gendarmes ont mis fin à un trafic qui s’étendait jusque dans les centres pénitenciers de Rennes et Nantes.

Source : Ouest-France

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