Que sont devenues les polices du monde !

Un officier supérieur de gendarmerie nous adresse un écrit, sous forme de réflexion, que nous avons voulu partager avec vous et soumettre à votre réflexion. Si cet écrit s’adresse à l’ensemble des Citoyens, il s’adresse plus particulièrement à nos camarades gendarmes et collègues policiers.

Que deviennent nos polices.

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Pourquoi ne pas titrer NOS polices ?

 

Tout simplement parce que depuis quelques années on observe une dérive gravissime au regard de la démocratie des institutions policières des pays d’apparence démocratiques qui en réalité se transforment sournoisement en dictature d’une oligarchie qui pratique la manipulation des sociétés par le système psychologique imparable des fenêtres d’Overton.

 

Depuis quelques années maintenant les mesures d’affichage du style chartes, codes de bonne conduite etc… se sont mises en place mais dans la réalité de l’exercice policier quotidien les choses sont bien différentes. Il peut y avoir comme dans le passé des dérapages individuels mais le plus grave sont les dérives dues à l’instrumentalisation de sa police par l’état qui ignore sans vergogne le contenu de ce qu’il fait inscrire dans ces codes de bonne conduite dont on avait nul besoin puisque cela figure dans la constitution et ses annexes.

Dans ces conditions on ne s’étonnera pas que les policiers ne soient plus en état de réfléchir et ne se rendent pas compte qu’on les utilise à agresser les citoyens honnêtes en épargnant les voyous moins dociles. Les plus lucides quittent l’institution qu’ils ne veulent plus servir dans ces conditions, d’autres s’enkystent dans ce système délétère sans se rendre compte qu’ils se mettent tout seuls au ban de la société dont ils sont issus et malheureusement les plus fragiles choisissent de quitter ce monde qui les a broyés.

 

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Ce changement de comportement de l’état à l’égard des citoyens sans histoire semble s’enraciner dans les méthodes inacceptables que l’on a vu se mettre en oeuvre début des années 2000 aux US et au Canada lors du déploiement des compteurs communicants qu’on a voulu imposer de force contre toutes les règles du commerce, des contrats de la propriété privée etc… On a vu des citoyens maltraités, brutalisés, arrêtés simplement parce qu’ils refusaient un instruments que voulaient imposer des sociétés commerciales. C’était du jamais vu !

 

En France cela n’a certes pas pris de telles proportions mais au début et encore parfois maintenant on constate des faits inacceptables appuyés par les services de police qui au mieux ne connaissent pas la loi et au pire ne la respectent pas et sans aller chercher dans les grands textes des droits fondamentaux, le code de la consommation y pourvoie mais manifestement les intervenants sur le sujet ne l’ont jamais consulté.

En effet comment accepter de s’entendre dire par exemple que le litige entre un abonné refusant le compteur linky et Enédis est un litige commercial qui ne concerne pas les services de police ou de Gendarmerie et que les mêmes refusent les plaintes fondées sur les menaces, harcèlements, voies de faits etc… relevant du code de la consommation et sanctionnées de deux ans d’emprisonnement et 300 000 € d’amende plus des interdictions professionnelles pour les personnes morales.

L’intimidation par le policier ou gendarme de terrain pour faire accepter l’objet refusé entre aussi dans cette catégorie en empêchant le consommateur de faire respecter ses droits contractuels justement commerciaux. Venant de forces de l’ordres il y a des circonstances aggravantes encore renforcées de celles relatives à l’état de faiblesse des victimes souvent âgées ou incompétentes à faire respecter leurs droits.

 

Ce changement de situation marque la perte de vue de l’intérêt collectif et général de la population par l’état qui utilise la force publique au bénéfice d’intérêts industriels privés.

 

On croyait avoir tout vu mais l’ acmée de cette dérive est atteinte lorsque le droit de vivre et de respirer est remis en cause en s’appuyant sur des avis scientifiques corrompus et en ignorant les études anciennes et les avis contraires y compris ceux de la contestable l’OMS qui n’est qu’une organisation privée de lobbies eux mêmes à l’origine du problème et de toutes les corruptions qui s’y rattachent. ( Cf. Le monde diplomatique d’octobre 2003 page 8 « Big Pharma » ou la corruption ordinaire. 10610)

 

 

Dans la crise actuelle où les libertés sont gravement remises en cause y compris celle de respirer normalement, principe même de la vie, par l’obligation de port d’un masque dont toutes les études démontrent l’inefficacité contre un virus — confirmées par les déclarations des fabricants au points d’être inscrite sur les emballages car ils ne veulent pas être juridiquement mis en cause — les polices sont employées contre les peuples et rares sont celles qui se posent des questions.

 

Dans les manifestations de Berlin fin août on a vu la police allemande quitter les casques et refuser d’intervenir après que début août un officier de police de Dortmund ait fait un appel public dans ce sens.

 

On vient de voir une policière espagnole faire un appel émouvant à toutes les polices démocratiques pour qu’elles refusent ces missions abjectes contre le peuple mais en France réputée pays des droits de l’homme peu de voix s’élèvent dans le même sens.

 

Dans le même temps on constate des interpellations aveugles et brutales de femmes et d’hommes pour défaut de masque ou masque mal porté, par les police et gendarmerie françaises ou la police australienne* dans des conditions qui ne peuvent qu’outrer les citoyens lucides et vont alimenter une haine de la police préjudiciable à la vie de la société.

Avec la rentrée des classes c’est un autre monde qui apparaît avec un contrôle des masques par des hommes équipés d’armes de guerre devant les écoles, traumatisant les enfants et les parents et des menaces d’amende de 270 € si dans les cars scolaires en plus du mauvais port du masque la ceinture de sécurité n’est pas bouclée.

 

S’agissant d’enfants ces attitudes de personnels qui sont ou seront pères de familles montrent leur inhumanité et participent apparemment sans remords peut-être même parfois avec sadisme à ce gouvernement de la terreur dénoncé par le sociologue Michel Maffesoli.

 

L’action des services de police et de Gendarmerie de voie publique est donc légitimement contestable car elle martyrise la population innocente victime dans cette crise et l’on apprécierait que la même ardeur soit mise dans la recherche de l’origine du mal, de ses auteurs, comparses, financiers et tous les médecins et chercheurs parfaitement informés mais que l’on entend pas comme si la chape de corruption les tenait sous son talon de fer.

 

Ce qui se passait dans ce milieu et dénoncé en 2003 par le monde diplomatique pour les médicaments et les maladies qu’on invente pour en vendre toujours plus se passe depuis lors pour la vaccination qui de surcroît n’est même pas soumise aux mêmes contraintes que les médicaments. C’est donc ce créneau que des gens sans foi ni loi autre que celle de l’argent ont décidé d’investir.

 

Bricoler des virus transmissibles à l’homme et concomitamment mettre au point le vaccin ad hoc voilà une source de revenu inépuisable pour des organisations criminelles qui se parent des plumes de sauveur du monde.

 

Il faut encore une fois rappeler que fin novembre 2015 couvert par la médiatisation concentrée sur le désastre du Bataclan une polémique faisait rage dans les milieux scientifiques à propos de la fabrication d’un virus de chauve-souris manipulé pour le rendre directement transmissible à l’homme sans passer par l’hôte intermédiaire souris ou porc. (Cf. reportage RAI 3)

Le reportage attribuait cette manipulation à des chercheurs chinois et la controverse tenait en ce que les scientifiques du monde entier n’étaient pas d’accord avec ce genre de bricolage, dangereux par définition.

Depuis quelques semaines on connaît les noms des protagonistes publiés dans le livre d’un professeur italien. La chercheuse est une chinoise qui a obtenu son doctorat de microbiologie à Montpellier et qui se serait rapprochée d’un chercheur américain liée au Pentagone (Cf. France soir.fr)

 

Pourquoi les services de police judiciaire, de renseignements civils et militaires et la justice ne se saisiraient-ils pas de ces faits semblent-il bien documentés dans les milieux informés pour remonter aux origines et aux responsables dans une enquête internationale puisque tous les pays sont victimes plutôt que de s’en prendre à ceux qui en sont les cibles innocentes.

 

Doit-on voir dans ce déni de l’origine la stratégie habituelle du fort avec les faibles et faible avec les forts ?

 

Les services concernés n’en sortiront pas grandis et il faudra qu’un jour ils ouvrent les yeux sur la déliquescence de l’esprit public en grand partie due à la duplicité des gouvernants.

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Depuis les problèmes du compteur linky ou des télécoms pour lesquels on abandonne les citoyens et l’on dédouane les industriels en intercalant divers paravents dont les responsables font des allers et retours entre l’industrie et les agences de contrôle du même domaine jusqu’à la corruption criminelle de l’industrie pharmaceutique en passant par la répression des gilets jaunes, la notion juridique des droits de l’homme et de la liberté en prennent un sacré coup et il serait temps que tous ceux qui sont en charge de la protection des citoyens obtiennent l’arrêt de leur instrumentalisation par le pouvoir.

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* Pour les polices anglophones cette attitude est inhabituelle, elles que l’on montrait comme un exemple de placidité, non armée etc… et surtout avec le respect de l’habeas corpus principe intangible dans le droit de ces pays.

 

Note de la rédaction de Profession-Gendarme :

La fenêtre d’Overton, aussi connue comme la fenêtre de discours, est une allégorie qui désigne l’ensemble des idées, opinions ou pratiques considérées comme acceptables dans l’opinion publique d’une société. (source Wikipédia)

Rappelons que le 06 juuillet 2020 nous avons publié : La terrible « fenêtre d’Overton »

 

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