Un commandant de Gendarmerie répond à un général

Note de la rédaction de Profession-Gendarme :

Les propos du général Dubois sont mentionnés ici en gras et citations les commentaires du Chef d’escadrons Giupponi sont en italique :

Je viens de lire un article du Général  Roland Dubois publié dans Bld Voltaire qui m’interpelle sérieusement et que je me suis permis de commenter pour informer les lecteurs de Profession-Gendarme afin qu’ils gardent les yeux bien ouverts.

Dans plusieurs commentaires j’ai souvent dit qu’ à avoir eu trop longtemps la tête dans les étoiles on finit par ne plus avoir les pieds sur terre.

Ce discours confirme cette sensation de déphasage avec le peuple français qui ne doit pas se laisser aveugler par l’uniforme, surtout quand leur porteur a des velléités politiques, tout le monde n’est pas De Gaulle.

C’est peu dire que l’auteur de cet article entend rester du côté du manche fut-il pourri. Autant on doit attendre de l’institution militaire l’appui qui est dû aux citoyens souverains contre la tyrannie, autant il y a lieu de se méfier des prétentions individuelles qui auraient tôt fait d’être phagocytées par la puissance corruptrice des divers lobbies.    

Jean-Louis Giupponi   Chef d’escadrons honoraire de Gendarmerie

Le pouvoir a tout raté dans le traitement de la pandémie de Covid-19. Je pourrais refaire l’inventaire des mensonges, contretemps, enfantillages, reniements, coups de gueule jamais suivis d’effet, défaillances de notre administration hypertrophiée. Mais à quoi bon ?

Mais après le constat énervant des fautes et erreurs du passé, il faut regarder devant ; c’est ça qui compte. Que faire pour essayer de sortir de la situation actuelle ?     Le seul recours, semble t-il, actuellement, est la vaccination, qui ne met pas à l’abri de tous les risques mais les réduit considérablement.

Alors je reste pantois devant l’hystérie qui s’est emparée d’une partie des commentateurs, connus ou anonymes. Les reproches faits à cette option médicale tiennent, pour l’essentiel, à deux choses.  

Que le général s’informe à d’autres sources que Big-pharma ou le « déversoir officiel » caniveau  du mensonge d’état avant d’écrire n’importe quoi. Il n’est dans cette affaire pas question de vaccination mais d’injection d’une soupe de produits toxiques qui s’ils étaient rejetés à l’égout ou dans la campagne relèverait du délit de pollution. Injectés dans un organisme vivant il s’agit d’un empoisonnement assassin et pas simplement criminel puisque les instigateurs connaissent la nature des produits qu’ils ne veulent pas publier sous prétexte de secret industriel ou de fabrication.

Je ne parle pas ici des contrats que les députés européens ont eut le plus grand mal à obtenir et encore caviardés.Par ailleurs dans cette plandémie parler « d’option médicale » relève de la fantaisie précisément parce que le plan exclut tout ce qui n’est pas « injection toxinale »

D’abord, le manque de recul devant les conséquences à long terme de l’inoculation des vaccins. Mais n’en est-il pas ainsi chaque fois que l’on lance un vaccin ? Cette fois, les délais ont été très courts,

Le crime est lancé depuis les années 2000 (Cf entretien de l’Avocat Fuellmich avec le spécialiste des brevets le Dr David Martin intitulé « pandémic fraud« .

certes, mais faut-il reprocher une précipitation débouchant si vite sur une solution que n’osaient espérer les populations ? Souvenons-nous des critiques qui se sont abattues sur les laboratoires Sanofi, incapables, au « pays de Pasteur », de trouver un vaccin en même temps que d’autres. Que de sarcasmes alors, chez nous, pour notre pays, seul membre permanent du Conseil de sécurité hors course. Notre laboratoire national prenait le temps pourtant, ce qu’on souhaite maintenant, semble-t-il. Et, contrairement à ce qui est souvent avancé, l’ARN, base de certains vaccins, n’est pas une inconnue. Il y a vingt ans qu’il est étudié dans les recherches sur le cancer. Les chercheurs ne partaient pas de zéro.

Précisément ce qui est connu c’est la thérapie génique à ARNm pour traiter quelqu’un de malade mais ici il s’agit d’empoisonner un organisme sain avec une technologie dont le but est de faire produire aux cellules la protéine spike sans possibilité de contrôle au point de réduire le système immunitaire qui deviendra trop spécialisé au contraire du système immunitaire naturel à large spectre. Ce système immunitaire spécialisé finira par s’attaquer à son propre corps ce qui constitue les maladies auto-immunes difficiles à supporter. Faut-il expliquer au général que de nombreuses équipes de recherches tant aux USA qu’en Suisse ont démontré que le soi-disant coronavirus qui n’a jamais été isolé ce qu’ont reconnu les spécialistes du CDC n’est pas ce qui est dangereux puisque dans leur démonstration il ont isolé la protéine spike sans trace de virus et c’est elle le danger qui occasionne les thromboses.

Ensuite, les atteintes au sacro-saint principe de la liberté individuelle, invoquée dès lors que sont prises des mesures qui tendent à forcer la main des Français pour qu’ils se fassent vacciner. Le « passe sanitaire » est évidemment fait pour ça. Et alors ? Certains rappellent avec juste raison que la liberté des uns finit là où commence celle des autres. On m’interdit de rouler à gauche sur la route, je ne le fais pas ; je veux brûler les mauvaises herbes de mon jardin et ne le fais pas. Je paye des impôts, je n’en ai pas envie. Par contre, mes petits-enfants ont reçu je ne sais combien de vaccins sans que le « consentement éclairé » des parents ait joué le moindre rôle. Assez d’hypocrisie ; à l’étranger, on ne fait guère mieux. On ne vit pas en société sans certaines contraintes. Hurler à la dictature, invoquer l’apartheid, menacer des élus de mort est tellement outrancier !

Ce qui est outrancier c’est de comparer  ce qui n’est pas comparable. Ses exemples routiers ou jardiniers sont débiles. Personne n’a le droit d’attenter à l’intégrité corporelle d’un être humain, il s’agit de droit naturel imprescriptible qui relèvera de la légitime défense en cas de tentative illégitime de forcer l’injection empoisonnante.

Le rapprochement avec la citation sur la liberté qui s’arrête à celle des autres n’est pas plus pertinent que tout le reste du discours. De nombreux textes nationaux et internationaux s’appuyant sur le droit naturel déjà évoqué condamnent  ce parallélisme. Et la convention d’Oviédo qui commence à dater explicite même dans un de ses articles que ce principe est intangible et que l’intérêt de la science ou de la société ne saurait être invoqué pour y contrevenir.

Le vaccin est-il une solution ? Il semble que oui, faute de mieux.

Le vaccin n’est jamais une vraie solution car c’est un principe qui s’appuie sur l’imposture de Pasteur et j’invite le Général qui comme tous les gens de notre génération ont été éduqués à vénérer Pasteur à lire tous les ouvrages qui ont été publiés après 1989 date à laquelle ses héritiers ont fait donation de ses livrets de laboratoires à la BNF à disposition des chercheurs. (Cf « Pasteur, l’imposture « de Serge Rader qui vient de disparaître dans des conditions plus que suspectes ou « Pour en finir avec Pasteur » et beaucoup d’autres dont je n’ai pas les titres en tête).

La solution est le maintien ou le renforcement du système immunitaire naturel par tous les moyens (alimentation saine, pollution environnementale, vie saine etc…) Mais ça ni le gouvernement, ni les médecins de plateaux télé ni le général n’en parlent. Psittacisme oui, jour et nuit mais réflexion jamais.

Et puis réflexion incidente personnelle ; fermons ces laboratoires criminels et laissons les chauve-souris dans leurs grottes ; elles ne viendront pas s’embrocher volontairement sur les seringues des chercheurs et ne pas adopter la thèse des idéologues du climat et de la déforestation car c’est sans relations avec les bricolages de laboratoire.

Pour le Covid l’affaire est toute autre ; il s’agit d’un crime organisé  de longue date pour injecter la population mondiale apeurée par une campagne médiatique prévue dès l’origine avec la mise en place d’un vocabulaire spécifique martelé à l’envi sur tous les écrans par tous les responsables politiques du monde. Cette expression de « nouvelle normalité » entendue mille fois dans la bouche des politiciens marionnettes de Big-pharma a pris naissance dans une documentation de Merck en 2004 (Cf Pandémic fraud)

Ce qui interroge, en fait, comme souvent, c’est moins le but des décisions prises que les modalités d’application. C’est une habitude, chez nous, de pondre des directives sans s’inquiéter de savoir comment les appliquer. Avec le passe sanitaire, on veut que les responsables privés de lieux publics soient chargés d’une mission de contrôle normalement du ressort de l’autorité publique. Que fera le restaurateur dont un client refusera le contrôle ? En outre, on envisage sans état d’âme, contre les propriétaires défaillants, des sanctions d’un niveau que n’encourent même pas les grands délinquants dans ce pays. C’est ça, qui me choque le plus. Mais, bien sûr, ces débats hystérisés ne s’expliquent que si on admet que nous sommes hors d’une situation sanitaire maîtrisable par le système hospitalier comme en temps normal.

Ceux que le Général qualifie d’hystériques sont simplement des citoyens plus curieux et donc plus informés que lui et auxquels il donne matière à réfléchir sur ses capacités à gouverner la France puisque il a déjà eu cette prétention.

Et il se trompe jusqu’au bout puisque dans la conclusion il inverse l’échelle des valeurs.

Le souci  immédiat pour la France n’est pas celui de l’objet de la fameuse lettre dite des généraux mais la dictature actuelle qu’il (s) ne veut (lent) pas voir et qui affecte l’ensemble du peuple français.  Un gouvernement non corrompu et déterminé aurait tôt fait de régler le problème qui les préoccupe (Cf les nombreux entretiens de Xavier Raufer) et qui semble confiner à l’électoralisme.

Sinon, on peut admettre que cette épidémie n’est pas si terrible que ça et qu’on peut ne rien imposer, laisser faire, à quelques mesurettes près, patienter jusqu’à l’immunité collective naturelle et, en attendant, accepter les victimes inévitables qu’elle fera, quitte à aller jusqu’au tri des malades pour ne se consacrer qu’à ceux qui peuvent être sauvés. C’est une autre option. Mais je trouve indécente cette hystérie à la simple perspective du « passe sanitaire » qui pourrait, temporairement, limiter la liberté de mouvement des non-vaccinés. Ça n’a pas de sens. Sauf rares contre-indications médicales, c’est leur choix. En tout cas, cette situation sert M. Macron, car la saturation des médias sur ce thème évite aux Français de trop penser aux problèmes plus vitaux qui assaillent notre pays et qui seront, je l’espère, l’objet essentiel des votes de 2022.  

Note de la rédaction de Profession-Gendarme :

Nous invitons le général DUBOIS à lire l’article suivant – Israël : Le Vaccin Pfizer tue plus que le Covid !

« Les vaccins Covid de Pfizer « détruisent tous les systèmes du corps humain », avertissent les experts israéliens de la santé ! « 

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