Ukraine, plaque tournante du trafic international d’enfants et de mères porteuses

Dans les classements de la corruption, l’Ukraine se situe entre le Gabon et la Zambi, à égalité avec la Sierra Leon. Le Monde est là pour la défendre contre les calomnies russes : « Moscou se plaît à dépeindre la scène politique ukrainienne comme un “cirque” ou un “chaos”. »  « Si imparfaite et brouillonne soit-elle, la démocratie ukrainienne existe, et elle constitue une rareté précieuse dans l’espace post-soviétique de l’Europe orientale. »

L’Ukraine, plaque tournante du trafic international d’enfants

Le trafic d’enfants réfugiés par les couloirs humanitaires éveille l’inquiétude des médias. Ce n’est pourtant pas un phénomène nouveau. Un enfant sur dix victime de ce trafic dans le monde vient d’Ukraine. Il est clairement dit dans le film d’Arte ci-dessous que des adolescents ukrainiens sont vendus à des hommes politiques ukrainiens de haut vol.

Pendant la guerre, les affaires continuent

En France la gestation pour autrui (GPA) est interdite. Selon l’article 16-1 du Code civil, « Chacun a droit au respect de son corps. Le corps humain est inviolable. Le corps humain, ses éléments et ses produits ne peuvent faire l’objet d’un droit patrimonial ». Pourtant, c’est en France que la société Gestlife propose un bébé ukrainien pour 60 000 €. Beaucoup moins cher qu’au États-Unis (160 000 €).

Il est toujours possible d’acheter un bébé en Ukraine

Tablant sur la crédulité — pour ne pas dire plus — des Européens, la mafia ukrainienne fait passer son exploitation des mères porteuses pour une bonne action et la société de GPA BioTexCom pour une ONG qui protège les bébés sous les bombes par pure philanthropie (vidéo ci-dessous).

Alors que l’Ukraine est en guerre, BioTexCom profite des circonstances pour faire sa pub sur YouTube. « Depuis 2014, BioTexCom est l’un des plus grands centres européens de reproduction humaines. Chaque année, plus d’un millier de couples du monde entier y reçoivent les bébés tant attendus. Vous trouverez ici des forfaits tout compris, des résultats positifs garantis et un haut niveau d’efficacité des programmes. »

La guerre en Ukraine vue par les médias

Tous les médias ont parlé du bombardement par les Russes du mausolée du massacre de la population juive à Babi Yar. Combien ont précisé que seule l’antenne de télévision à 300 m de là avait été touchée ? Combien ont précisé que le massacre de 1941 de Babi Yar de Kiev a été commis en grande partie par des Ukrainiens aux ordres de Stepan Bandera (celui qui a une avenue à son nom dans la même ville) ?

Tous les médias, y compris le très médiatique Macron, ont parlé de la maternité de Marioupol bombardée par les troupes russes. Quels médias ont précisé que les malades avaient été éjectés par les troupes ukrainiennes auparavant ?

Le comble de l’ignominie, revient à France24 montrant un enfant de 11 ans en pleurs après avoir fait plus de 1 000 km (sic) pour fuir Zaporijjia où, tant qu’à faire, l’armée russe a mis le feu à une centrale nucléaire. On attend les excuses de France24 pour les photos de la centrale demeurée intacte et pour le titre pute à clic qui pourrait faire croire que le bambin a 1000 km dans les pattes.

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.

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