Tout fou le camp… suite.

Introduction

Si nous sommes pris par les « élites » pour les « idiots » que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne pas le rester.

Chers nouveaux lecteurs, permettez-moi, en quelques lignes, de « planter le décor ». Pour les plus anciens, vous pouvez passer directement au sujet du jour.

Les évènements que nous subissons et que nous allons encore subir sont annoncés sur ce blog, depuis 2012. Je n’utilise pas de boule de cristal, mais je collecte et recoupe énormément d’informations. Cela me permet d’extraire les plus pertinentes. Ce recul m’amène à formuler des anticipations cohérentes.

Accéder à une masse d’informations souvent payantes, les vérifier, les trier, prends beaucoup de temps. Dans la vie, il n’y a pas de repas gratuit. Mon travail de lanceur d’alertes à un coût et donc un prix. J’offre gratuitement à un large public, un grand nombre de billets qui traitent de l’écume des choses. Pour m’aider à poursuivre ce travail, je ne demande pas de dons et n’ouvre pas de « cagnotte ».

Si vous êtes prêts à regarder en face une réalité, parfois dérangeante, mais toujours porteuse d’espoir, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques pour affronter sereinement la période compliquée qui est devant nous, ce sera votre manière de m’aider concrètement à améliorer la qualité de mon travail.

Sujet du jour : Des prélats sont-ils dans « le camp adverse » ?

Dans mon billet du 1er courant, je vous citais, parmi d’autres exemples de déliquescence de notre société, le fait que « le bon pape François » avait écrit le 9 avril 2021, une lettre à l’occasion de la réunion de printemps 2021 de la banque mondiale et du fonds monétaire international (FMI). Dans celle-ci, il appelait « à une gouvernance globale » et demandait à aider les populations « à avoir accès aux vaccins ».

Après cette « première perche » tendue au pouvoir globaliste mondial par la plus haute autorité de l’Église catholique, voici « le renfort » du président de la conférence des évêques de France, l’archevêqueÉric de Moulins-Beaufort. La France n’est-elle pas « la fille ainée de l’église » ?

C’est à la suite du rapport de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église, (plus connue du grand public sous le nom de « commission SAUVÉ », du nom de son président), que « l’archi Éric » s’est exprimé à la télévision au sujet du secret de la confession face à la pédocriminalité : « Le secret de la confession s’impose à nous et en cela, il est plus fort que les lois de la République ». Fort « logiquement », il n’en fallait pas plus pour courroucer « Jupier 1er », qui aussitôt demande à son ministre des cultes, notre célèbre « Gégé dame manin » de convoquer « Éric le rouge », pour une explication de texte !!!

À ce niveau, ce n’est plus « une perche » mais une véritable « passerelle » qui est offerte aux dociles exécutants du « Plan » concocté en « très hauts lieux ». Plan que connaissent bien les anciens lecteurs de ce blog.

Ne quittez pas… c’est Madri qui me susurre quelque chose à l’oreille gauche… Selon mon cher Madrilou, il y aurait derrière tout cela, une véritable stratégie de déstabilisation du pouvoir « spiritualo temporel » de l’église catholique … avec des « complicités internes ». Je n’ose y croire tellement c’est énorme, mais si Madri me le dit … il a peut-être des infos « de là-haut ». De plus, je sais d’expérience qu’il n’y a pas de fumée sans feu (vieux dicton de sapeur-pompier).

En effet, si l’article 434-3 du Code pénal dispose :

« Le fait, pour quiconque ayant connaissance de privations, de mauvais traitements ou d’agressions ou atteintes sexuelles infligés à un mineur ou à une personne qui n’est pas en mesure de se protéger en raison de son âge, d’une maladie, d’une infirmité, d’une déficience physique ou psychique ou d’un état de grossesse, de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives ou de continuer à ne pas informer ces autorités tant que ces infractions n’ont pas cessé est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende ».

L’article 226-13 du même code dispose :

«  La révélation d’une information à caractère secret par une personne qui en est dépositaire soit par état ou par profession, soit en raison d’une fonction ou d’une mission temporaire, est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende ».

Les luttes qui s’annoncent vont être « Croquignolesques» .

Après le secret médical qui est en train de voler en éclats … dans une passivité sidérante, c’est maintenant au tour du secret de la confession de voir sa probable extinction.

Au-delà de ces deux exemples d’actualité, c’est bien la notion de CONFIANCE dont il est question. Confiance aux dirigeants (que nous élisons), confiance en nos institutions, confiance aux autres, confiance aux médecins, confiance aux prêtres et finalement, confiance en nous même. Est-ce un monde sans confiance que nous voulons léguer à nos enfants ?

Oui, « Nous sommes en guerre » et sûr de lui qu’il est, « l’ennemi » ne se cache plus. Il est primordial que nous en prenions individuellement et collectivement conscience, afin que l’humanité puisse agir pour se développer en pleine sérénité. Comme tout bon militaire le sait : « Avant d’utiliser efficacement les armes les mieux appropriées, il est nécessaire de connaitre l’ennemi et sa stratégie ».

« Celui qui peut moralement tenir le plus longtemps est le vainqueur.

Celui qui est vainqueur, c’est celui qui peut, un quart d’heure de plus que l’adversaire,

croire qu’il n’est pas vaincu »

(Georges_Clemenceau)

Chers lecteurs, résistants ou pas, confiants ou pas, je vous aime et vous salue.

Source : Sérénité Patrimoniale

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