Pfizer contre Pfizer : la dernière étude est frauduleuse

La firme pharmaceutique sort une étude qui incrimine son propre vaccin anti-Covid. Pourtant, les données présentant une surmortalité des vaccinés sont dissimulées par un résumé aux conclusions élogieuses.

Les malaises et arrêts cardiaques se multiplient dans le monde, mais les injections sont toujours hors de cause.

Pourtant, la dernière étude de Pfizer sur six mois incrimine son propre vaccin.

Publiée le 28 juillet 2021, puis le 15 septembre dans sa version supposément « revue par les pairs » dans le New England Journal of Medicine, elle est passée complètement inaperçue (voir l’étude ici)

Le titre et le résumé (abstract) sont élogieux, alors que les données présentées montrent de manière indiscutable que les injections ne sont ni efficaces, ni sûres. Elles ne protègent pas contre le Sars-Cov 2 et causent une surmortalité.

Nous sommes donc en présence d’une gigantesque fraude scientifique.

C’est en tout cas la conclusion sans appel à laquelle est parvenue, après analyse méticuleuse des données de l’étude, un immunologiste dont nous savons de source sûre qu’il est l’un des meilleurs spécialistes du domaine. Pour des raisons hélas évidentes, il a préféré rester anonyme et ne pas s’exposer à visage découvert.

Initialement publiés sur la plate-forme Twitter, ses résultats et critiques ont (sans surprise) été rapidement censurés.

La fraude décortiquée

Selon l’analyste, la fraude repose sur trois piliers :

Données sensibles reléguées dans les appendices
Les conclusions avancées contredisent les données montrant une absence de protection et une surmortalité importante des vaccinés. Ces données sensibles sont reléguées dans des appendices à l’article, peu susceptibles d’être épluchées.

Viol des règles fondamentales à l’élaboration d’une étude fiable
L’étude a été conçue pour camoufler certains résultats prévisibles et potentiellement embarrassants. Exemple : une règle d’or est de préserver rigoureusement l’intégrité des deux groupes testés : celui des sujets recevant l’injection – dits « vaccinés» – et ceux figurant dans le groupe contrôle recevant un placebo – dits « non-vaccinés ».

Or cette disposition cardinale a été violée : le groupe contrôle a été liquidé en cours de route. Ceci rend définitivement impossible toute comparaison des taux d’effets indésirables dans les deux groupes.

Des « raisons éthiques » ont été invoquées. Or, sachant que le risque de mortalité générale en 2020 et 2021 n’a pas été modifié en-dessous de 80 ans, donc que les participants du groupe témoin ne risquaient rien à ne PAS être injectés, cela semble constituer une malfaçon dont on peine à imaginer qu’elle soit désintéressée.

Non rétractation de l’étude malgré ses malfaçons
Malgré ces procédés frauduleux, contraires à tous les standards, l’étude n’a pas été rétractée. Au lieu de cela, cet article a servi de prétexte à une expérimentation médicale rigoureusement prohibée par les conventions internationales, dont celle d’Oviedo en particulier, ou encore de la Déclaration d’Helsinki.

En conséquence, les campagnes de vaccination massives, imposées de manière directe ou indirecte, présentant des risques et des dommages flagrants, seraient basées sur une fraude scientifique.

En temps normal, avec de telles données, un produit n’aurait jamais été approuvé et/ou aurait été retiré immédiatement. Pourtant, on ne peut que constater que les chercheurs, universitaires, médecins et autorités de santé, restent silencieux – cautionnant ainsi de fait des pratiques inacceptables voire condamnables – ou répètent des contre-vérités favorables à la vaccination génique.

Pour ceux qui souhaitent en savoir plus, CovidHub reprend ci-dessous le travail – relativement technique et touffu – du spécialiste anonyme, oeuvrant sous le pseudonyme de « Marceau ».

Suivi de l’essai clinique à 6 mois : sûr et efficace ?

Pfizer affirme dans son abstract et dans le résumé du texte principal ce que reprennent en boucle les experts et autorités sanitaires sur les plateaux: « le vaccin est sûr, efficace et très bien toléré. »

Il est donc aujourd’hui quasiment impossible pour les familles des victimes de faire reconnaître leur statut de victime et leur préjudice ou tout simplement de se faire entendre, car ce qui leur arrive est formellement nié par le gouvernement et les autorités sanitaires.

Que dit cette étude de Pfizer sur le suivi de ses injections à 6 mois ?

Prévenons tout de suite les « fact-checkers » : il s’agit ici des propres données de Pfizer, et pas d’un avis personnel !

Pour extraire les données importantes de ce suivi de l’essai clinique, il faut aller les chercher dans la partie « appendix » dont les non-scientifiques, les médecins de plateaux et les agences de santé ne connaissent sans doutepas l’existence. Le texte principal ne contient que des généralités, des conclusions fausses ou d’importants mensonges par omission.

Dans la section Appendix Table S4 p.11 :

Le suivi de l’essai clinique s’est donc fait sur un peu plus de 22’000 personnes dans chacun des deux groupes vaccinés et placebo.

On peut voir qu’il y a 2 personnes mortes du Covid dans le groupe placebo et 1 dans le groupe « vacciné ».

Ils appellent cela COVID-19 pneumonia pour ne pas mettre juste Covid-19 (formidable arnaque sémantique) !

Sur 22 000 personnes injectées on empêche donc…1 mort.

Statistiquement ce vaccin n’empêche donc pas la mort par Covid-19. Mais ce sont les seules données que nous avons et qu’ils utilisent pour nous affirmer que l’injection génique empêche les hospitalisations et la mort.

Il faut donc selon ces données injecter 22’000 personnes pour éventuellement sauver 1 vie.

Si les injections étaient sans aucun effet secondaire, pourquoi pas…

Mais les effets secondaires dans le groupe vacciné sont énormes, faisant prendre des risques disproportionnés aux populations non à risque de faire une forme grave de la maladie.

Qu’en est-il de ces effets secondaires graves et de la mortalité induite par les injections ?

Combien de morts toutes causes trouve-t-on dans ce tableau S4 ?

15 dans le groupe vacciné et 14 dans le groupe placebo, qui n’apparaissent pas dans le texte principal !

A cela il faut rajouter d’autres morts non rapportés dans ce tableau mais qui sont mentionnés dans le texte principal comme étant morts après qu’une partie du groupe placebo a été vaccinée.

C’est vraiment la chasse au trésor (sans trésor).

Le suivi d’un essai clinique doit normalement se faire sans que les participants ne sachent s’ils ont reçu le traitement ou le placebo.

Ne voulant pas garder de groupe placebo afin de couvrir les effets secondaires, Pfizer a proposé aux personnes non vaccinées de recevoir le vaccin début 2021, invoquant des raisons éthiques…

Une grosse partie du groupe placebo a donc été vaccinée début 2021, durant la phase de suivi.

Résultat :

1 autre personne du groupe initialement vacciné est morte et 2 fraîchement vaccinées qui étaient initialement dans le groupe placebo sont mortes également.

Cela ramène donc à 20 le nombre de morts dans le groupe vacciné et 14 dans le groupe placebo.

Il y a donc plus de risque de mourir dans le groupe vacciné que dans le groupe non vacciné.

Pfizer ose à ce sujet affirmer que ces morts supplémentaires ne seraient pas liés à son vaccin !

Il s’agit d’un essai clinique avec un suivi sur 6 mois.

Tous les morts doivent y être répertoriés et surtout la cause de chaque décès doit en être précisée.

Ils ne peuvent pas simplement faire disparaître ces informations capitales.

Résumé des morts :

De quoi meurt-on dans le groupe ? Pfizer ?

Il y a surtout des décès en relation avec le système cardiovasculaire (quelle surprise !) et c’est ce que nous voyons en vie réelle depuis le début de la « vaccination » génique de masse. Avec une explosion des arrêts et maladies cardiaques chez les jeunes.

Table S4 :

Il y a eu 4 arrêts cardiaques dans le groupe vacciné contre 1 seul dans le groupe placebo.

Il y a donc 4 fois plus de chance de mourir d’une crise cardiaque dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo.

Il y a aussi beaucoup plus de morts par problèmes cardiaques dans le groupe « traité » mais peu dans le groupe contrôle : artériosclérose, arrêt cardiaque, insuffisance cardiaque, cardiopathie hypertensive, etc…

Avec les données de ce tableau, il est donc impossible de démontrer un quelconque bénéfice de ces vaccins. Il vaut mieux être dans le groupe placebo que de se faire vacciner.

Comment, avec ces données du suivi à 6 mois de Pfizer, Olivier Véran, l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) et les soi-disant médecins peuvent-ils encore nier les liens directs avec la vaccination ?

Résumé des effets secondaires graves :

Pour cela il faut regarder la table S3 « Adverse Event » dans la partie Appendix p.7

Commençons par voir l’arnaque de ce suivi des effets secondaires.

Le titre de l’étude stipule « suivi sur 6 mois de la sécurité de ces injections. »

Pourtant regardez bien sous le tableau, ils ont arrêté le suivi après 1 mois seulement post dose 2.

Un suivi de 6 mois qui dure 1 mois !

Pourquoi ?

Ont-ils remarqué une explosion des effets secondaires dans le groupe vacciné et ont-ils  préféré cesser de les enregistrer ?

Au bout d’1 mois il y avait déjà 2 fois plus d’effets secondaires dans le groupe vacciné par rapport au groupe placebo !

Avoir arrêté le recensement des effets secondaires après 1 mois est une fraude car cela viole le protocole initial.

Ce qui était convenu c’était bien un suivi de 6 mois, mais une fois de plus les autorités de régulation du médicament (EMA et FDA) ferment les yeux !

Après 1 mois : 13,9% d’effets secondaires dans le groupe placebo vs. 30,2% dans le groupe vacciné.

Soit plus du double !

Pour les effets secondaires graves mettant en jeu le pronostic vital on est à 176 cas dans le groupe placebo vs. 283 dans le groupe vacciné, ce qui fait une augmentation de + 61% du risque d’hospitalisation.

Mais tout va bien : « sûrs et efficaces », affirme la conclusion.

Cette étude ne montre donc absolument AUCUN bénéfice pour empêcher la mort par Covid-19 et encore moins un effet sur la mortalité globale de la part du vaccin Pfizer-BioNTech.

Au contraire, le risque d’hospitalisation pour effets secondaires grave est plus que doublé.

Dans ces conditions et avec cette étude publiée voici à peine plus d’un mois, comment peuvent-ils encore affirmer que ces vaccins empêchent de mourir de la maladie, qu’ils sont sûrs et efficaces et surtout qu’il n’y a pas d’effets secondaires graves ou de morts provoqués par ces vaccins ?

L’étude de Pfizer dit exactement le contraire.

Un produit pareil en temps normal n’aurait JAMAIS été approuvé et/ou aurait été retiré immédiatement avec de telles données à 6 mois.

Le bénéfice de ces injections est tout simplement négatif !

En langage comptable cela se nomme un DÉFICIT ou une PERTE, dont l’ampleur ou l’accumulation peut conduire à un redressement ou à une liquidation…

De surcroît, n’oublions pas que ces données sont basées sur la souche initiale de Wuhan plus mortelle que le variant Delta.

La balance bénéfice risque est donc encore plus négative aujourd’hui.

En se basant sur les données du VAERS américain, Steve Kirsch est arrivé à la conclusion que dans la population des ados de 12-17 ans, pour sauver 1 vie de la maladie, c’est 6 ados en bonne santé qui meurent.

(Étude sur des vaccinés Pfizer (Moderna n’étant pas approuvé pour les < 18 ans aux USA).

Oui, vous avez bien lu !

Et c’est ce produit que certains politiques sans cervelle comme certains sénateurs socialistes veulent nous imposer via une obligation vaccinale dès la naissance ?Voir aussi

Les vaccins Covid ne sont pas sûrs, selon leurs fabricants

Sans parler du gouvernement français qui stigmatise en « évinçant » les ados et demain les enfants en leur imposant le « pass sanitaire » pour forcer les parents à les vacciner tout en minimisant les effets cardiaques graves qu’ils subissent.

Ci-dessous, (à sauvegarder), un résumé visuel de l’essai clinique depuis le début et du suivi à 6 mois :

  • Pfizer a désormais vacciné tout le groupe contrôle.
  • Il sera donc impossible de connaître les effets secondaires à moyen et long terme comme l’apparition de cancers, de maladies auto-immunes ou neurodégénératives à prions dont les premiers signaux pourtant commencent à être rapportés.
  • Impossible aussi de prouver les ADE (aggravations faisant suite à la vaccination) dont les vaccinés commencent pourtant à mourir.

Tout ceci pose bien sûr la question de la sincérité de Pfizer dans cette affaire et la véracité des données de cet essai clinique.

Ce qui ressort de ce suivi « à 6 mois » ce sont les morts dues à des problèmes cardiaques dont 4x plus de crises cardiaques dans le groupe vacciné.

Ensuite, relevons que le chiffre de 4 crises cardiaques semble faible pour 22’000 injectés.
Ceci est même juste impossible aux USA, pays dans lequel s’est déroulé l’essai, et voilà pourquoi :

Le CDC rapporte chaque année en moyenne 659’000 morts d’arrêts cardiaques sur une population de 328’000’000 d’habitants.

Donc ramené à 22’000 participants dans cet essai clinique sur une période de 6 mois (la durée du suivi total) on aurait dû avoir 659’000/328’000’000x 22’000 x 0,5 = 22 crises cardiaques dans chaque groupe (autour de 20) mais il n’en est rien.

Comment Pfizer arrive-t-il à ne trouver que 4 cas dans le groupe vacciné et 1 cas dans le groupe placebo dans son essai clinique ?

Il n’y a juste aucune chance que cela arrive par hasard.  Quelqu’un a forcément joué avec les données pour arriver à ces chiffres aussi bas.

Pourquoi personne n’a fait ce calcul de base en étudiant les données de l’essai clinique, ou juste posé la question ?

Ces données ont forcément été bidonnées pour minimiser la prévalence de problèmes cardiaques dans le groupe traité.

Qu’est ce qui a donc aussi été caché, modifié ?

Le Pr. P. Doshi & Steve Krisch avaient déjà alerté dans le British Medical Journal sur le nombre important de personnes ayant été écartées du groupe « vaccinés » pour cause inconnues sans qu’aucune investigation n’ait été demandée par la FDA ou l’EMA.

Belles violations du protocole clinique – sans aucune conséquence.

Pfizer a rendu également très difficile la remontée d’effets secondaires et beaucoup ont été ignorés car Pfizer les a considérés comme n’étant pas liés aux injections alors que ce n’est pas à eux de décider de cela.

Ceci est une autre violation du protocole !

De son côté, Facebook a effacé toutes les pages de témoignages de personnes vaccinées victimes d’effets secondaires graves et qui voulaient simplement témoigner de leur calvaire et demander de l’aide.

Facebook a donc contribué à effacer toutes les preuves concrètes de cette fraude de Pfizer permettant ainsi la validation de ces produits qui deviennent quasiment obligatoires pour des millions de personnes qui n’en ont pas besoin.

Par exemple, la jeune Maddie De Garay, 12 ans, exclue de l’essai Pfizer «12-15 ans » après avoir développé une paralysie généralisée permanente.

Son cas n’a pas été répertorié par Pfizer qui considère que ce n’était pas lié à son poison !

En juillet 2021, le Sénateur américain Ron Johnson a écrit aux PDG de Pfizer et Moderna pour leur demander comment ils comptaient prendre en charge les personnes victimes de leurs  vaccinations.

A ce jour il dit n’avoir reçu aucune réponse !

Alors pourquoi les autorités sanitaires ferment-elles les yeux ?

Peut-être parce que les directeurs de ces agences passent ensuite dans les conseils d’administrations de ces mêmes firmes : de la FDA (Food and Drug Administratio – Agence étasunienne des produits alimentaires et médicamenteux) à Pfizer ou Moderna, du NIH (National Institute of Health) à l’Institut de virologie de Wuhan, ou encore de l’agence de presse Reuters à Pfizer.

Pour finir, soumettons une question aux juristes :

L’indication du vaccin Comirnaty de Pfizer est d’immuniser les personnes qui le reçoivent et donc d’empêcher la maladie Covid 19.

Nous savons que ceci est faux : ce produit n’empêche ni l’infection, ni la maladie, ni l’hospitalisation, ni la mort. Au mieux, il diminue pour certains le risque de faire une forme grave de la maladie.

Ce produit ne remplit donc pas le rôle pour lequel il a été approuvé et ne peut pas prétendre à la nomenclature « vaccin ».

Avec les injections de rappel qui semblent se profiler tous les 6 mois, on ne peut parler au mieux que de « traitement chronique par injection ».

Peut-on encore imposer ces produits avec cette indication qui est fausse et sous l’appellation de « vaccin » ?

Peut-on encore exclure de la société des millions de français en imposant le « pass sanitaire » ?

Rappel : Taux de survie sans traitement par classe d’âge

53/53 Ou taux de mortalité sans traitement par classe d’âge, qui est plus parlant :

Pour ceux qui qui demandent où se trouvent les tableaux, il faut aller dans le texte au paragraphe EFFICACY.

Puis cliquer sur « Supplementary Appendix »

*Tableau S3 est page 10 (et non page 7 – ancienne version)

Source : Covihub.ch

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