« lettre d’un gendarme soutenant les associations européennes pour la vérité et la justice ».

Un Gendarme, nouvellement retraité de l’Arme, nous adresse cette lettre que nous publions ici à l’intention de nos camarades et de tous nos lecteurs.

Depuis le 27 décembre 2020, date à laquelle la campagne de vaccination a été lancée, le gouvernement a fait de la vaccination sont instrument principal de lutte contre la « pandémie » de Covid 19.

En population générale, sans aller jusqu’à imposer une obligation vaccinale, le gouvernement a incité fortement la population à se faire vacciner par la mise en place d’un «Pass sanitaire» remplacé par la suite par un «Pass vaccinal». Ce qui a correspondu à une obligation déguisée !

Par une loi du 05 août 2021, l’obligation vaccinale a été imposée à partir du 15 septembre 2021 aux personnels soignants et non soignants des établissements hospitaliers et de santé ainsi qu’aux ambulanciers et pompiers.

De même, Les militaires de la gendarmerie affectés sur le terrain ou en contact avec le public ont été soumis à l’obligation vaccinale par l’instruction n° 509040 du service de santé des Armées du 29 juillet 2021.

Cette première instruction sera abrogée par l’instruction n° 514510 du S.S.A., en date du 07 décembre 2021 qui confirmera l’obligation vaccinale des militaires des Armées et imposera, à compter du 15 janvier 2022, une dose de rappel (3ème dose).

En l’absence de chiffres officiels, 97 % des militaires de la gendarmerie, de gré ou par soumission, auraient fait l’objet d’un schéma vaccinal complet ou incomplet.

Les pressions de la hiérarchie sur les réfractaires ayant refusé la vaccination contre le Covid 19 ont été fortes et se sont traduites par des sanctions disciplinaires sans pour autant aller jusqu’à la suspension des intéressés de leurs fonctions. Étrangement, depuis maintenant deux ans, la gendarmerie doit faire face à un nombre important de démissions qui se chiffrerait en milliers de personnels.

La vérité finissant toujours par s’imposer, il est maintenant admis, même par les autorités gouvernementales, que l’injection génique proposée par Big Pharma est inefficace. En effet, elle n’empêche pas d’attraper le virus, de le transmettre ni même d’être réellement protégé contre les formes graves. Mais pire encore, elle se révèle être dangereuse pour la santé des personnes vaccinées.

Les effets secondaires liés à la vaccination ARNm anti-Covid 19 représentent maintenant un enjeu de santé majeur.

Selon certaines données officielles, les injections ARN auront été plus nocives que le virus SARS CoV2 lui-même. Alors que seuls 10 % des effets secondaires feraient l’objet d’une déclaration à la pharmacovigilance, le système EudraVigilance, sur sa base de données, annonce 24.525 décès en Europe liés aux injections ARN, à la date du 21 septembre 2021 et fait état de centaines de milliers de cas d’effets secondaires graves toujours liés aux injections ARN.

Quel est le véritable bilan des victimes de l’injection ARN aujourd’hui ?

Aucune communication officielle n’a été faite à ce jour par le service de santé des Armées, ni même par l’institution gendarmerie, sur l’impact qu’a pût avoir la campagne de vaccination massive anti Covid 19 sur la santé des personnels.

A l’évidence, comme en population générale, de nombreux gendarmes ont dû être victimes d’effets secondaires graves ou mortels. La vaccination obligatoire, anti-Covid a été imposée au prétexte de maintenir la capacité opérationnelle des personnels.

Une évaluation bénéfice/risque a-t-elle été faite par les services concernés ?

En l’absence d’une telle transparence, nous invitons les militaires de la gendarmerie qui le souhaitent, à témoigner anonymement sur le site, sur les effets secondaires graves dont ils ont été victimes, de signaler en quoi leur vie personnelle et professionnelle a été perturbée, de préciser la nature de la prise en charge médicale et psychologique dont ils ont éventuellement bénéficié.

Source : Un Gendarme en retraite

Note de la rédaction de Profession-Gendarme : Nous invitons l’ensemble de nos camarades Gendarmes retraités ou actifs à nous apporter leur témoignage. Nous garantissons l’anonymat de ces derniers.

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