Lettre d’un client « fidèle » à la direction de son supermarché.

Madame ou Monsieur,

Les ordinateurs de votre programme de fidélité ne doivent pas avoir manqué le fait que je n’ai plus utilisé ma carte de fidélité dans aucun de vos magasins depuis le mois de février ou mars. Je tiens à vous informer de la bonne nouvelle : je ne suis pas mort, et je n’ai pas déménagé dans un lieu dépourvu de votre enseigne. Il se trouve que je n’ai plus franchi les portes de vos magasins depuis à peu près six mois, surtout celles de celui où je faisais depuis 20 ans la majorité de mes emplettes. Pourquoi donc ?

Ce jour-là, quelques semaines avant que l’État national-covidiste français mette fin à l’obligation de porter la muselière dans les magasins, je suis entré visage nu dans ce magasin dont je suis un fidèle & vieux client. Aussitôt, comme si j’étais un voleur, le vigile m’a intercepté. Non, ce n’était pas une erreur, cela faisait un moment que je ne couvrais plus mon visage de cet ustensile inutile & dangereux pour la santé selon toutes les études scientifiques publiées depuis deux ans (je vous laisse faire vos recherches). Un autre vigile est arrivé en renfort, et il m’a été inutile de protester, on m’a refusé l’entrée, refoulé comme un vulgaire voleur. On m’a même proposé, en vain, de me donner une muselière. Avant d’être expulsé, j’ai dit à voix basse au vigile qui m’escortait : « En plus je suis sûr que vous en tant que personne, vous savez bien que ceci n’est qu’une mascarade ridicule ». Le vigile m’a fait un grand sourire et m’a serré la main discrètement.

Le pire dans tout ça c’est que vous obligez ces salariés souvent exploités à se comporter contre leur conscience, comme beaucoup de professions soumises à l’État national-covidiste corrompu que nous avons la malchance de subir. Pour information, j’ai cessé de revêtir la muselière dans les transports en commun depuis juin 2021. Je n’ai eu que deux amendes, que je n’ai pas payées, et qui ne m’ont jamais été réclamées. La grande distribution a donc commis l’exploit d’être plus zélée que la police nationale & les contrôleurs des bus & métros dans l’application des oukases liberticides du national-covidisme. Quand je tombais sur un policier (à part le 1er confinement), il se contentait de me faire une remarque et passait son chemin. Je ne parle pas de votre enseigne en particulier, mais de tous les lieux de consommation de masse. Le sieur Leclerc s’est même manifesté en se déclarant prêt à refuser l’accès à ses magasins aux non-vaccinés, imitant son père Édouard emprisonné pendant six mois après la Libération pour avoir dénoncé des résistants. Tout cela se retourne d’ailleurs contre ce type de commerce, et les enseignes de vente par correspondance sont les grandes gagnantes de cette mascarade.

Je vous renvoie donc ma carte de fidélité. Peut-être me la renverrez-vous avec un mot d’excuse. Sinon, je finirai peut-être par revenir dans votre enseigne, mais jamais aussi naïvement qu’avant. En effet, le covidisme aura eu cet avantage de m’ouvrir les yeux. Dans tous les petits commerces que je fréquente dans le quartier, y compris le marché & les enseignes de taille moyenne qui n’ont pas de vigiles, j’entrais sans masque à la même époque que cet incident, ce qui m’a d’ailleurs permis au passage de comparer les prix, qui sont loin d’être toujours en faveur de votre enseigne qui n’a que la particularité d’être la plus grande du quartier et de proposer tout en un seul endroit. Il s’agit donc d’un problème de taille critique. Dans les établissements à taille humaine, l’État national-covidiste ne dispose pas de ces relais involontaires que constituent les vigiles pour imposer une politique inhumaine. Seuls les commerçants sont responsables, et certains ont perdu pour longtemps ma clientèle, d’autres l’ont gagnée. Il revient donc à chaque citoyen de protester en faisant au maximum ses courses dans des endroits plus modestes où l’on n’est pas fliqué à cent pour cent.

Le problème de la muselière n’est qu’un avant goût de ce qui nous attend – vous en tant que personne et moi – avec tout ce que sont en train de nous préparer les prétendues élites mondiales dirigées en réalité par Bill Gates et un certain nombre de monstres impliqués dans l’affaire Epstein, affaire qu’avec tous leurs relais ils tentent d’étouffer. Je vous laisse faire vos propres recherches ; elles ne sont guère difficiles malgré la censure magistrale en vogue sur les réseaux sociaux et sur les médias ou sites Internet majeurs dirigés par Bill Gates ou George Soros ; en effet, en théorie nous sommes encore en « démocratie », c’est-à-dire un pays où l’État peut décider du jour au lendemain de mettre toute sa population en prison sous prétexte d’une prétendue épidémie qui, comme le prouvent les chiffres au bout de deux ans et demie, n’aura pas eu la moindre incidence sur la pyramide des âges d’aucun pays.
Oui, au cas où vous ne l’auriez pas compris, il n’y a eu aucune « pandémie » particulière, juste une variété d’infection respiratoire différente de celles des années précédentes. C’était juste une fake news encore plus massive que celle des armes de destruction massive de Saddam Hussein. Il est étonnant que tous les citoyens, y compris tous les cadres comme vous et moi qui ont joué sans discuter le rôle de relais de la folie nationale-covidiste, ne se soient pas encore révoltés. Ce qui nous attend et que vous aurez à mettre en œuvre dans vos magasins si vous ne décidez pas de changer de métier, ce sera un « passe » vaccinal pour des vaccins à répétition dont il est maintenant patent qu’ils sont à la fois inutiles & nocifs sans parler de leur coût, un « passe » carbone, un « crédit social » déjà en service en Chine, etc.
Cela au nom d’une « sécurité » illusoire et d’un « réchauffement climatique » qui n’est qu’une invention des mêmes truands (là aussi, je vous laisse faire vos propres recherches).

Êtes-vous prêt à vous faire le rouage d’une telle machine totalitaire ? Moi non, raison pour laquelle, même si ça ne sert à rien, je vous envoie ce message, et je le publie partout, sans référence à votre enseigne en particulier car ce qu’il y a d’effrayant, c’est que toutes les enseignes de taille critique disposant de vigiles ont adhéré de la même façon à cette politique nationale-covidiste, preuve de la leçon fameuse de Hannah Arendt sur la « Banalité du mal ». Nous voici dans un zoo, en cages, surveillés par des vigiles qui n’ont pas envie de nous surveiller, mais qu’une entité malfaisante force à nous surveiller pour pouvoir manger. Pouvez-vous encore vous regarder dans un miroir, vous qui – contre votre gré je l’espère aussi – avez été un rouage de cette machine à broyer les peuples ? Dans mon métier j’ai refusé de faire appliquer cette mesure liberticide au bout de quelques mois, qui étaient déjà des mois de trop ; en tout cas dès le premier jour j’ai refusé d’infliger sous ce prétexte quelque sanction que ce soit aux personnes que j’avais en responsabilité.

Tout ceci nous dépasse, mais au-delà de cette période infecte dans l’histoire de l’humanité, nous sommes des êtres humains qui n’avons pas le droit de faire comme si nous ne savions pas que l’histoire se répète. Sachant cela, j’espère au moins un mot de regret avec le retour de cette « carte de fidélité ». Et en tant que simple citoyen, vous pourriez vous-même envoyer cette lettre aux magasins dont vous être client et où vous avez subi la même politique. Et bien sûr si cela revenait, protester contre le port de la muselière, les « passes » et les injections obligatoires auprès de tous les autres rouages chargés de nous les imposer (écoles, hôpitaux, théâtres, restaurants, etc.)

Cordialement,

Lionel Labosse

Source : Alter sexualité

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