Le « Virus SARS-CoV-2 » est-il responsable du COVID-19 ?

Dr Julien DEVILLEGER

Dessins de KREATURA

La première représentation 3D du « novel coronavirus », devenu ensuite « SARS-CoV-2 », réalisée par Alissa Eckert et Dan Higgins, illustrateurs médicaux, est décrite comme une

« image flatteuse, en gros plan, exposant les détails, a fait le tour du monde comme une pandémie visuelle », par Stéphane Baillargeondans le journal « Le Devoir ».

Il précise qu’« il y a des protéines de pointe (S), représentées par les grappes rouges dans l’image, qui permettent au virus de se fixer aux cellules humaines. ». Il rajoute que

Jodie Jenkinson, professeure à l’Institut des sciences médicales de l’Université de Toronto disait de cette image : «  Je ne saurais pas dire à quel point cette imagedu virus aide à le comprendre. Mais c’est une image emblématique, il n’y a pas de doute(1)

Cette image est seulement une représentation VIRTUELLE du « virus SARS-CoV-2 », mais a-t-on REELLEMENT identifié ce « virus », et a-t-on démontré que ce dernier était responsable de l’épidémie de COVID-19 ?

On suspecte une épidémie quand plusieurs personnes ont présenté des symptômes comparables, dans une zone géographique précise et un laps de temps compatible.

Les causes des épidémies ne sont pas toutes virales, et peuvent être biologique, chimique, électromagnétique, radioactive, nutritionnelle, psychologique, etc.

Un toxique dans l’air ou dans l’eau peut déclencher des symptômes comparables chez plusieurs personnes, décalés de quelques heures à quelques jours.

Imaginez des campeurs se réveillant avec des maux de tête, et se rendant compte qu’ils ont dormi près d’une ligne haute tension, ou des millions de personnes déprimant en même temps, suite au deuil de leur « star » préférée…

Dans ces exemples, il n’y a pas de contamination par fluide d’une personne à l’autre, mais la chronologie des évènements est comparable à celle d’un virus.

Il ne faut pas limiter la recherche aux virus, présents partout sans être nécessairement dangereux (2), mais au contraire tester toutes les hypothèses possibles.

Le problème posé par l’hypothèse d’un « virus coupable » est qu’elle met habituellement fin à l’enquête en cours, et les autres causes possibles pouvant expliquer l’épidémie (chimiques, électromagnétiques, etc) sont alors balayées d’un revers de main !

« Modèle » technique habituel utilisé en virologie « moderne »:

1. Prélèvement d’échantillons de tissu de l’organe atteint chez plusieurs malades, et mise en culture cellulaire. Photographie au microscope électronique du « virus ».

2. On teste l’effet du virus sur les cellules (effet cytopathique : ECP), en sachant que le virus est cultivé dans une « SOUPE » chimique (milieu de culture), « indispensable » à sa culture, mais dont la toxicité est non (ou mal) évaluée. (3) On dispose le résultat de la « soupe » dans des puits, et on calcule le pourcentage de puits où l’ECP est retrouvé.

3. On teste alors la pathogénicité = induction de maladie sur animaux de laboratoires.

4. Séquençage du « virus » (expérience princeps), dont la séquence est envoyée dans une banque génétique (GenBank) avec un numéro de brevet. Les autres centres recherchent alors la séquence génétique brevetée, considérée comme responsable de la maladie.

5. On recherche des anticorps, même si la maladie n’apparaît pas.

Qu’en est-il dans le cas du « virus SARS-CoV-2 », agent présumé du COVID-19 ?

Robert Koch, père fondateur de la bactériologie, élabora les postulats de Koch en 1884, selon lesquels (4) :

– Le micro-organisme doit être présent en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais ABSENT des organismes sains.

– Le micro-organisme doit pouvoir ETRE ISOLÉ, et croître en milieu de culture PUR (ne contenant que ce seul microbe).

– Le micro-organisme cultivé doit déclencher la MÊME maladie chez un animal de laboratoire sensible.

– Le micro-organisme doit être à nouveau isolé du nouvel organisme hôte rendu malade puis identifié comme étant identique à l’agent infectieux original.

Ces critères de rigueur ne sont malheureusement pas utilisés en virologie.

En reprenant le « modèle » technique habituel utilisé en virologie « moderne » :

1. Prélèvement d’échantillons de tissu pulmonaire (5, 6) et d’autres tissus, sur malades.

2. Mise en culture du « virus SARS-CoV-2 » sur cellules Véro (7), qui sont des cellules rénales aneuploïdes (avec un nombre anormal de chromosomes) de singe vert d’Afrique, car laculture est très difficile sur cellules humaines, avec une « soupe » associant antibiotiques, antimycosiques, sérum fœtal de bœuf, trypsine, CO2 5%, et une incubation à 37°C. Chaque composant pris individuellement peut détruire une cellule (8, 9, 10, 11, 12). Une seule étude (13) a évalué la toxicité de la « soupe », mais la dose de streptomycine (antibiotique ayant une toxicité rénale) du groupe avec virus aurait été doublée par rapport au groupe contrôle, ce qui serait une fraude !

L’ECP est obtenu sur les cellules Véro (5, 6), mais pas sur les cellules humaines.

Photographie au microscope électronique du « virus », cultivé sur cellules Véro, et fixé avec une 2e « soupe »: alcool 30 à 100%, glutaraldéhyde, tétroxyde d’osmium, etc, dont la toxicité n’a pas été évaluée. Des photographies au microscope électronique sur échantillons pulmonaires lors d’autopsies, ont été réalisées sur des patients décédés du COVID-19, mais une étude du Lancet (14) a remis en cause l’origine virale des structures photographiées, considérant qu’il s’agissait de réticulum endoplasmique, de corps multi-vésiculaires, ou de vésicules enrobées. Les peroxysomes, les lysosomes et exosomes, sont comparables à certaines photos de « virus ». (Annexe 1, 2, 3).

Toutes les structures nommées (en gras) sont présentes dans TOUTE cellule normale!

3. Pathogénicité étudiée sur des souris transgéniques (15), exprimant le récepteur ACE2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2), étant donné que ce récepteur aurait joué un rôle important pour le SARS-CoV en 2003 (16).

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Après inoculation intra-nasale, AUCUNE souris décédée.

Une étude publiée (17) a testé la pathogénicité en inoculant des singes par voie intra-nasale ou intra-trachéale, MAIS AUCUN singe n’a eu de symptôme.

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4. Le séquençage a été réalisé à partir de la séquence brevetée(5), SANS PROUVER que cette dernière avait causé la pneumonie du 1er patient prélevé. Breveter une séquence génétique, enfiler un scaphandre, travailler sur du « gain de fonction » ne sont pas des preuves de la dangerosité du « virus », JAMAIS testée physiquement sur un humain ! Par contre, psychologiquement, ça marche diaboliquement bien !

Virus avant gain de fiction fonction

Virus après gain de fiction fonction :

Variant OMÉGA :

Bientôt sur TOUTES les chaînes de télévision !

Le séquençage nouvelle génération NGS (18), consiste en la création d’une banque, par fragmentation aléatoire de l’ADN (ou ARN), l’amplification clonale et Polymerase Chain Reaction (PCR), et le séquençage par synthèse, en sachant que la PCR a des limites liées aux amorces, à des erreurs de duplication, à la température d’hybridation, etc (19).

5. Les anticorps sont recherchés contre la « protéine spike », qui n’est pas isolée, mais modélisée (donc virtuelle) à partir d’images floues (1), non spécifiques (Annexe 2, 3) :

Au total :

Le « virus SARS-CoV-2 » est isolé selon les critères de virologie « moderne », mais cela :

ne prouve pas que la vésicule désignée comme « virus » soit pathologique.

ne prouve pas que la séquence génétique recherchée soit responsable d’une maladie.

ne prouve pas que l’effet toxique soit lié au seul « virus » et non au milieu de culture.

ne prouve pas qu’il existe une maladie contagieuse ou dangereuse pour l’Homme.

Pour l’instant, la preuve la plus fiable de l’existence du « virus SARS-CoV-2 » est celle-ci :

Il serait temps que les représentants politiques des Français, DÉPUTÉS et SÉNATEURS, demandent aux virologues, généticiens, infectiologues, et microbiologistes des PREUVES ÉCRITES de la responsabilité du « virus SARS-CoV-2 » dans le COVID-19, avec mise à disposition de tous,d’une liste d’études scientifiques publiées, revues par des pairs :

A) où une photographie du « virus SARS-CoV-2 » a été prise au microscope électronique suréchantillons pulmonaires et nasopharyngés de patients atteints de COVID-19, sur échantillons nasopharyngés de personnes saines, ainsi que sur échantillons pulmonaires et nasopharyngés de patients atteints de maladies inflammatoires pulmonaires (et non sur cellules de singe, dites Véro), afin de déterminer si cette structure photographiée est spécifique ou non de la COVID-19.

B) où la culture pure du « virus SARS-CoV-2 » a été réalisée sur des cellules humaines pulmonaires, associée à une réplication virale importante du « virus SARS-CoV-2 ».

C) où l’effet cytopathique (ECP) du « virus SARS-CoV-2 » avec son milieu de culture est statistiquement supérieur à l’ECP obtenu avec le milieu de culture seul. (Etudes dont la méthodologie statistique est détaillée, et dont la composition du milieu de culture utilisée est rigoureusement identique entre le groupe avec « virus » et le groupe « contrôle »).

D) où la pathogénicité étudiée sur les cobayes par inhalation du « virus SARS-CoV-2 » a entrainé un essoufflement.

E) où la séquence génétique du « virus SARS-CoV-2 » a été recherchée chez plusieurs patients atteints de COVID-19, chez plusieurs personnes saines ainsi que chez plusieurs patients atteints d’une autre maladie inflammatoire pulmonaire, afin de déterminer si cette séquence génétique est spécifique ou non de la COVID-19.

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Si les scientifiques français arrêtaient de TWITTER (annexes 1, 2, 3) et se décidaient à fournir les PREUVES SCIENTIFIQUES, quePERSONNE n’a pu encore obtenir (20), cela éviterait alors que des recherches « inutiles » d’autres causes possibles du COVID-19, notamment électromagnétiques (21), chimiques et biologiques, ne soient débutées…

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Références :

1. Stéphane Baillargeon, D’où vient l’image emblématique du nouveau coronavirus ?, Le Devoir, 2 juin 2020 https://www.ledevoir.com/societe/science/579993/trombinoscope-viral

2. Tous les virus ne nous veulent pas du mal !, Les Echos, 31 janvier 2020 https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/tous-les-virus-ne-nous-veulent-pas-du-mal-1168102

3. Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie, cv19.fr, 13 mai 2021

4. Fiche wikipédia « Postulats de Koch » https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Postulats_de_Koch

5. Peng Zhou, et al., “A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin”, Nature, 579, 12 Mar 2020: https://www.nature.com/articles/s41586-020-2012-7

6. J Harcourt, A Tamin, X Lu et al, Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 from Patient with Coronavirus Disease, United States, Emerging Infectious Diseases, Vol. 26, N°6, June 2020 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32160149/

7. Fiche wikipédia « cellule Vero » https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Vero_(cellule)

8. CU Vohwinkel, E Lecuona (…) and JI Sznadjer, Elevated C02 Levels Cause Mitochondrial Dysfunction and Impair Cell Proliferation, Journal of Biological Chemistry, Vol 286, Issue 43, October 28, 2011

https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0021925820507333

9. AK Dubey, LLavanya (…) and AK Singh, Inferences of Carbon Dioxide in Present-Day Cell Culture Systems : An Unacknowledged Problem and Perspectives, Austin Therapeutics, March 20, 2021

https://austinpublishinggroup.com/therapeutics/fulltext/therapeutics-v6-id1033.pdf

10. L Llobet, E Lopez-Gallardo, Side Effects of Culture Media Antibiotics on Cell Differentiation,

Tissue Engineering Part C Methods, June 2015 https://www.researchgate.net/profile/Laura-Llobet2/publication/277783030_Side_Effects_of_Culture_Media_Antibiotics_on_Cell_Differentiation/links/5bd0a3f545851537f597c5f9/Side-Effects-of-Culture-Media-Antibiotics-on-Cell-Differentiation.pdf

11. Z Wei et al, Fetal Bovine Serum RNA Interferes with the Cell Culture derived Extracellular RNA, Scientific Reports, 09 August 2016 https://www.nature.com/articles/srep31175

12. H-L Huang, H-W Hsing (…) and H-L Chan, Trypsin-induced proteome alteration during cell subculture in mammalian cells, Journal of Biomedical Science, vol 17, n°36, 2010

https://jbiomedsci.biomedcentral.com/articles/10.1186/1423-0127-17-36

13. Mark Bailey, A Farewell to virology, drsambailey.com, 15 september 2022

14. C Dittmayer, J Meinhardt, H Radbruch et al, Why misinterpretation of electron micrographs in SARS-CoV-2 infected tissue goes viral, The Lancet, October 05, 20202

https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736%2820%2932079-1/fulltext

15. L Bao, W Deng, B Huang et al, The pathogenicity of SARS-CoV-2 in hACE2 transgenic mice, Nature, Vol 583, 30 July 2020 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32380511/

16. A crucial role of angiotensin converting enzyme ( ACE2) in SARS coronavirus-induced lung injury, K Kuba, Y Imai (…) and JM Penninger, Nature Medicine, Vol 11, 2005 https://doi.org/10.1038%2Fnm1267

17. B Rockx et al, Comparative pathogenesis of COVID-19, MERS, and SARS in a nonhuman primate model, Science, Vol 368, 2020 https://www.science.org/doi/10.1126/science.abb7314

18. Clini Sciences https://www.clinisciences.com/achat/cat-sequencage-nouvelle-generation-3452.html

19. La PCR quantitative – Principe de la PCR quantitative, Montpellier SupAgro

https://www.supagro.fr/ress-tice/PCR/3/co/principe.html

20. Christine Massey, « 209 health/science institutions globally all failed to cite even 1 record of « SARS-CoV-2 » purification, by anyone, anywhere, ever »

https://www.fluoridefreepeel.ca/68-health-science-institutions-globally-all-failed-to-cite-even-1-record-of-sars- cov-2-purification-by-anyone-anywhere-ever/(11 sep 2022)

22. B Rubik, RR Brown, Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless comunications including 5G, Journal of Clinical and Translational Research, 2021 ; 7 (5) : 666-681https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/

Version résumée et traduite en français :

https://guyboulianne.com/2022/07/26/preuve-dun-lien-entre-la-maladie-a-covid-19-et-lexposition-aux-rayonnements-radiofrequences-des-communications-sans-fil-y-compris-la-5g/

Annexe 1 : « Preuve »de « variant » du « virus SARS-CoV-2 »

Photographie au microscope électronique Hitachi SU5000, au grossissement x45000 (x45k), alors que le grossissement maximal est de x1,5 million (x1500k)

L’échelle est notée en bas à droite : 1 micron  10 interlignes

L’image très floue la plus large mesure 1 interligne, soit environ 100 nanomètres, pouvant correspondre à de nombreuses structures présentes dans TOUTE cellule ou à l’extérieur :

Endosome, lysosome, peroxysome, vésicule enrobée, réticulum endoplasmique, exosome…

Annexe 2 : Autre « preuve » de « variant » du « virus SARS-CoV-2 »

Même microscope, mais réglages différents, avec plus de contraste, moins de grossissement.

Image plus nette, mais très petite aussi, mesurant près d’un interligne, soit 250-300nm.

Le grossissement utilisé est de x 18000 (x18,0k) seulement…

La structure photographiée est aussi isolée au milieu de nulle part, et ne semble pas du tout spécifique (cf. structures de taille compatible page précédente).

La « couronne » du « coronavirus », n’est pas spécifique, puisqu’on la retrouve dans de nombreuses structures, comme les exosomes par exemple, présents dans TOUTE cellule.

Annexe 3 : « Preuve » de « virus SARS-CoV-2 » colorisée façon « tartes aux fraises »

« On en parle plus qu’on ne le voit »…Cellule pulmonaire sur autopsie, ou cellule Véro ?

Malgré la colorisation, ces images ressemblent à des lysosomes ou à des peroxysomes, qui sont présents dans TOUTE cellule humaine :

http://mboursereau.free.fr/wordpress/p1cam/UE2/Biocell/Mitochondrie%20et%20peroxysomes/mitochondrie%20et%20peroxysomes.pdf

http://cytochemistry.net/cell-biology/lysosomes.htm

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