Gendarmerie nautique. Ils contrôlent en fonction de la météo

La gendarmerie nautique de Port-la-Forêt intervient de la pointe de Penmarc'h au Pouldu, dans la bande des 6 milles nautiques.

La gendarmerie nautique de Port-la-Forêt intervient de la pointe de Penmarc’h au Pouldu, dans la bande des 6 milles nautiques. | Ouest-France

La gendarmerie nautique intervient dans la zone des 6 milles (environ 11 kilomètres des côtes), pour des missions de contrôle, mais aussi d’assistance et de recherche.

La gendarmerie nautique de Port-la-Forêt (Finistère), ne pas confondre avec la gendarmerie maritime, effectue ses missions de la pointe de Penmarc’h au Pouldu.

Présents à l’année sur le Sud-Finistère, les gendarmes réalisent des missions de contrôle de matériel de sécurité en fonction des conditions météo.

À la mi-saison, seulement une centaine de contrôles ont été réalisés, avec seulement un quart des plaisanciers en défaut.

Surveillance côtière par OuestFranceFR

« Avec la simplification de la « division 240 » qui réglemente le matériel de sécurité à bord des navires, professionnels et plaisanciers sont le plus souvent en règle, précise le gendarme Dominique Eudes. Les infractions le plus souvent constatées sont sur les fusées et les gilets de sauvetage. »

Lors de la sortie réalisée ce lundi aucun navire n’a pu être contrôlé, faute de plaisanciers sur l’eau. « La météo détermine la fréquentation du plan d’eau et depuis la mi-juillet et un temps plutôt gris, les plaisanciers restent au port, poursuit le gendarme Eudes. Tôt le matin ce sont les pêcheurs qui sortent, mais en ce moment, c’est le manque de poisson qui fait qu’il y a moins de contrôle. »

En revanche, si le soleil revient en août, il faudra s’attendre à voir la vedette blanche, une Guy Couach 9.80, patrouiller de manière plus assidue.

Source : Ouest-France

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