Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs

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Un de mes lecteurs m’a transmis un document intitulé : « Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs » en date du 13 mai 2020. Je me permet donc de le partager avec vous. Il s’agit d’un document de synthèse pédagogique et d’information à usage interne et à diffusion restreinte.

En effet, des cadres de réserve en France ont enquêté pendant 50 jours pour clarifier les problématiques liées à la « pandémie » de 2020. Le Rapport rendu a été interdit de diffusion pour l’instant. Toutefois, devant l’urgence et la gravité des faits, ils ont choisi de le communiquer tout de même à la société civile. Nous avons donc entre les mains la version « grand public » expurgée des références au Groupe et des sigles de l’Unité.

Le groupe d’enquête met en garde contre une désinformation qui semble entourer ce dossier, sur lequel beaucoup d’avis sont divergents — notamment entre les « autorités » et les praticiens de terrain.

Toutefois, les éléments semblant former consensus ont été relevés et synthétisés, afin de constituer une bibliothèque de connaissances de nature à aider le lecteur à renforcer son système immunitaire et son hygiène de vie, face à un virus qui n’a rien d’ordinaire. Une évidence cependant : ce virus, s’il existe, n’a rien de naturel ni d’accidentel.

Le groupe d’enquête a relevé des incohérences qui ont débouché sur la mise en évidence d’une corruption manifeste et d’intentions contraires au bien public, culminant avec des intentions criminelles et génocidaires, et la mise en place d’un état totalitaire, qui sont rapportées dans les conclusions.

Que soit ici remercié le groupe d’enquête, composée de cadres de réserve qui, durant cinquante jours, ont enquêté sans relâche pour y voir plus clair dans la « pandémie de Covid-19 » et ont livré leurs conclusions – toutes recoupées et sourcées -. L’analyse livrée est parfois très éloignées de la thèse officielle. Il a fallu aux enquêteurs faire un choix – à la fois difficile et courageux – entre la servilité d’une posture conventionnelle et sans risques, se bornant au discours officiel, et la loyauté due à des populations civiles touchées au cœur et souvent désinformées par certaines institutions qui se sont avéré inféodées à l’Ordre Marchand. Cette fois encore, les réservistes seront aux côtés de la Nation.


«Le “virus” sur lequel nous avons enquêté ne serait dans les faits qu’une partie d’une vaste opération combinant armes biologiques et armes à radiations, soutenue par une opération d’enfumage et de diversion, orchestrée par une OMS notoirement corrompue ayant contribué à jeter la confusion dans les rangs des soignants, et dont les indications et les recommandations se situent factuellement à l’exact opposé des observations et des préconisations des urgentistes de terrain.»

Groupe d’enquête (officiers de réserve en France)

Lire la suite : Guy Boulianne

bandeau-Asso-APG-1024x91 copieLe logo de l’ANORGEND ayant été utilisé dans l’article d’origine, c’est avec plaisir que l’Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a enlevé ce logo et accordé au président de l’ANORGEND le doit de réponse ci-dessous :

DROIT DE REPONSE DU PRESIDENT NATIONAL DE L’ANORGEND, RENAUD RAMILLON-DEFFARGES

Ce vendredi 4 septembre 2020, le service d’information et de relations publiques des armées SIRPA-Gendarmerie portait à la connaissance des instances dirigeantes de l’ANORGEND que la fédération nationale des réservistes opérationnels et citoyens de la gendarmerie nationale (ANORGEND) serait liée à la rédaction d’un rapport sur une manipulation de l’État français dans le cadre de la crise sanitaire actuelle.

Comme j’ai pu le dire au SIRPA-G et à l’Agence France Presse qui m’ont interrogé :

1) Ce rapport est une fausse information ou « fake news »

2) L’ANORGEND n’a jamais été sollicitée à participer ou approuver cette démarche qu’elle n’aurait jamais soutenu ;

3) Ce type de démarche n’entre pas dans le champ des missions de l’ANORGEND ;

4) Imputer à l’ANORGEND la rédaction de ce prétendu rapport scientifique sur un complot ou manipulation de l’Etat français à propos de la COVID-19 est particulièrement indécent quand on sait que Cyril Boulanger, réserviste opérationnel en Picardie, a été emporté par la COVID-19 au printemps dernier et qu’actuellement, 1200 réservistes opérationnels sont employés, au sein des détachements d’appui territoriaux, pour s’assurer du respect des règles sanitaires dans le but d’éviter une deuxième vague épidémique ;

5°) L’ANORGEND s’est mobilisée avec SCHNEIDER CONSUMER GROUP pour faire bénéficier aux réservistes opérationnels et citoyens de la gendarmerie de 100 000 masques ;

6°) Le conseil d’administration de l’ANORGEND se réunira le 7 septembre pour me donner les autorisations nécessaires pour saisir les autorités judiciaires de l’utilisation frauduleuse du nom et du logo de l’ANORGEND, en fonction de l’évolution des faits.

Enfin l’AFP a repris mes propos dans une dépêche en ligne à l’adresse suivante : https://factuel.afp.com/ce-faux-rapport-dun-groupe-dofficiers-de-reserve-sur-le-covid-19-contient-des-fausses-informations

Ainsi, l’ANORGEND est totalement étrangère à ce rapport qui n’est qu’une fausse information ou « fake news ».

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