Un nouveau lieutenant à la brigade de gendarmerie

Le lieutenant Olivier Buffel lors de la cérémonie de prise de commandement.
Le lieutenant Olivier Buffel lors de la cérémonie de prise de commandement.

Le lieutenant Olivier Buffel, qui commande depuis le 1er août dernier la brigade de Saint-Girons, vient d’être officiellement nommé dans ses nouvelles fonctions lors de la cérémonie traditionnelle de prise de commandement.

Ce jeune gradé de 45 ans est entré dans le métier en 1996, par le biais du service national, en tant que gendarme auxiliaire adjoint à Aurillac. Après avoir obtenu le concours de sous-officier, il est intégré en 1998 à l’école de gendarmerie de Montluçon et, un an après, sa première affectation a été l’escadron de Mirande, où il a passé son diplôme d’officier de police judiciaire. Après Mauvezin, Miélan, Marciac, l’obtention du concours d’officier et à nouveau l’école, il a postulé pour Saint-Girons.

Quelles sont désormais vos nouvelles missions ?

En tant que lieutenant, je commande la brigade de gendarmerie de Saint-Girons. J’assure la gestion complète de 25 personnes, la notation, l’avancement, le budget et j’accorde beaucoup d’attention aux relations humaines afin que mon équipe fonctionne le mieux possible. Avec mon adjoint, le major Jean-Philippe Quersin, nous organisons l’emploi du temps de nos gendarmes en fonction des divers événements, de la délinquance, des demandes des élus. Je suis moins sur le terrain mais c’est ma nouvelle fonction qui l’exige. Nos objectifs sont de nous rapprocher encore de la population et d’essayer de remettre en place les patrouilles à pied.

Quel est votre supérieur hiérarchique ?

Je suis sous les ordres du commandant Véronique Stasio, qui dirige toutes les unités de la compagnie de Saint-Girons. Elle donne ses directives, exprime des orientations, elle impulse nos missions, fixe les priorités.

Vous êtes en poste depuis le mois d’août, comment avez-vous vécu ces premiers mois ?

Je suis très bien en Couserans, j’aime la montagne et ses animations traditionnelles, la proximité que l’on peut avoir avec la population. J’ai été longtemps dans le Gers, un département où la ruralité, comme ici, est importante. Je resterai à Saint-Girons au moins quatre ans.

Source : La Dépêche du Midi

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