Un gendarme du régiment de cavalerie de la Garde républicaine décède dans l’exercice de ses fonctions (réédition)

13 août 2023 | Catégorie: Faits divers

A la suite des « incidents de connexion » de P.G. nous republions le présent article ici :

Gendarmerie en Deuil

La Gendarmerie Nationale pleure la perte de l’adjudant Richard Chretien, membre dévoué du groupe vétérinaire du régiment de cavalerie de la Garde républicaine. Alors qu’il se trouvait en service dans sa résidence, le destin l’a frappé de manière tragique, emporté par un arrêt cardiaque malgré les efforts acharnés des secours.

Sa carrière au sein des forces de l’ordre avait débuté après sa formation à l’école de gendarmerie de Maisons-Alfort. À compter du 1er octobre 1987, l’adjudant Chretien avait fièrement servi au sein du régiment de cavalerie de la Garde républicaine.

Son engagement au sein du groupe vétérinaire depuis le 1er janvier 2020 témoigne de sa dévotion envers ses fonctions.

Agé de 56 ans, il laisse derrière lui une famille éplorée, sa femme et ses deux enfants, ainsi qu’une carrière exemplaire marquée par la reconnaissance de ses pairs relate Gendinfo.

Décoré de la médaille d’or de la Défense nationale et de la médaille de bronze de la Sécurité intérieure, son dévouement sans faille avait été récompensé à maintes reprises.

Le général d’armée Christian Rodriguez, figure emblématique à la tête de la gendarmerie nationale, a souhaité exprimer sa solidarité inébranlable envers la famille endeuillée de l’adjudant Richard Chretien. Il tient également à offrir son soutien à ses collègues d’armes touchés de plein fouet par cette tragédie.

ACTUFDO Adresse ses sincères condoléances à sa famille, à ses proches ainsi qu’à l’ensemble de la Gendarmerie Nationale. Son engagement et son dévouement resteront gravés dans nos cœurs. Nos pensées vous accompagnent en cette période difficile.

Source : Actu Forces de l’ordre

L’Association Professionnelle Gendarmerie (APG) présente, à sa famille et à ses camarades, ses sincères condoléances.

Ne vous posez surtout pas la question, notre camarade était bel et bien vacciné par obligation pour pouvoir poursuivre sa carrière. Cela lui a été imposé par sa hiérarchie. Mais chuttt !!! le « vaxxin » n’a rien à voir avec ce décès bien sur….

Commentaire de Ultrak du 13 Août 2023 :

Ultrak

dit :

13 août 2023 à 16h14

L’adjudant Richard Chretien, encore un gendarme dont nous sommes aujourd’hui orphelins, et orphelins deux fois. Orphelins une première fois à cause de la perte d’un homme valeureux et dévoué au bien de notre pays. Orphelins une deuxième fois parce que nous ne saurons jamais avec certitude la cause exacte de sa mort. Les crises cardiaques existaient avant les injections qui ont été imposées aux gendarmes et à d’autres professions. Mais nul doute qu’elles ne soient aujourd’hui plus fréquentes, surtout dans la population qui était auparavant la plus à l’abri de ce genre d’accident, l’ensemble des personnes menant une vie saine et pratiquant un exercice physique régulier.

Christian Rodriguez, vous êtes directeur général de la Gendarmerie nationale depuis la fin 2019. Vous avez donc exercé cette fonction pendant toute la dystopie covidiste. Qu’avez-vous fait pour protéger les gendarmes ? Malgré votre haute fonction, peut-être avez-vous cru benoîtement aux sornettes de la caste aux affaires. On peut alors vous traiter de sot ou de ballot, au mieux de candide ou d’ingénu, mais pas de fumier ou de salaud. On peut dénoncer votre inadéquation avec le poste qui vous a été octroyé, mais pas le manque d’intelligence qu’il vous aurait fallu pour en avoir conscience.

Par contre, si vous avez su, compris et laissé faire, vous serez comptable de chaque humiliation subie par les gendarmes qui ont refusé l’injection, de chaque handicap, de chaque mort de l’un des hommes ou de l’une des femmes qui dépendaient de votre autorité s’ils en ont été victimes. Vous serez comptable du chagrin de chacun de leurs proches, de la peine de chacun de leurs camarades, de la tristesse de chaque inconnu qui se sent concerné par le malheur d’un gendarme. Ni les condoléances de circonstance, ni le temps ne feront rien à l’affaire. Les mensonges devront un jour être justifiés ou punis. Mieux vaut qu’ils le soient ici-bas que le jour où ni uniformes ni décorations ne feront plus illusion.

Que l’adjudant Richard Chretien trouve donc la paix pour laquelle il a œuvré pendant sa vie et sa carrière dans la gendarmerie. Quant à nous, gendarmes ou simples civils, qui n’avons pas encore fini notre parcours, sachons poursuivre l’éternel combat des gens de bien pour la vérité et la justice.

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