TGV : l’agresseur sexuel d’une passagère était un lieutenant-colonel de gendarmerie

INFO E1 – L’homme, épinglé lundi pour des attouchements sur une jeune femme de 26 ans dans un train Marseille-Paris en mars 2017, s’est d’abord fait passer pour un masseur professionnel avant que les enquêteurs ne découvrent sa véritable identité.
Placé en garde à vue quelques heures lundi pour « agression sexuelle », il reconnaît seulement avoir été « très entreprenant » avec la plaignante. Se faire passer pour un masseur, un kiné ou un sophrologue, serait selon lui juste une technique de drague. Remis en liberté, le gendarme n’est pas poursuivi à ce stade car l’enquête ne fait que commencer. Des vérifications sont en cours, à la recherche d’autres victimes éventuelles.
Source : Europe 1
Le gendarme soupçonné d’agression sexuelle dans un TGV, suspendu

Lundi, il avait été brièvement placé en gade à vue, huit mois après les faits survenus à bord d’un TGV Marseille-Paris.
Le gendarme soupçonné d’une agression sexuelle sur une passagère d’un TGV en mars dernier a été suspendu à titre conservatoire, selon une information d’Europe 1. L’homme, âgé d’une cinquantaine d’années, avait été brièvement placé en garde à vue lundi.
Le lieutenant-colonel, en poste dans le sud de la France, a été suspendu à titre conservatoire par la direction de la gendarmerie nationale, en attendant les suites de l’enquête judiciaire.
En mars dernier, à bord d’un TGV Marseille-Paris, une passagère de 26 ans, assoupie dans son fauteuil, avait été victime d’une agression sexuelle par l’homme assis à côté d’elle. L’agresseur était même revenu à la charge en lui laissant une carte de visite, se présentant comme masseur à la « Maison du bonheur » à Marseille. Dès sa descente de train à Paris, la jeune femme avait porté plainte. Six mois plus tard, la procédure a été transmise au parquet de Marseille, permettant l’ouverture d’une enquête et l’identification du gendarme.
Source : Europe 1
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