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Sue Browder et la récupération du mouvement des femmes

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Notre amie de Jeanne Traduction a dégotté cette interview d’une ancienne journaliste américaine qui explique comment elle a fait de faux articles toute sa carrière et dès le début elle montre une sorte de guide fourni par sa rédactrice en chef pour mentir en restant crédible pour les lectrices.

Naturellement on parle d’un magazine féminin mais cette presse a tant fait de dégâts qui apparaissent aujourd’hui que ce n’est pas indifférent car ça concerne la moitié de l’humanité.

Ensuite au plan technique rien ne dit qu’il n’en était pas de même pour la presse généraliste surtout lorsqu’on connaît l’opération « oiseau moqueur » mise en place par la CIA après la guerre pour manipuler toute la presse contre le peuple américain.

Jeanne Traduction

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???? Source de la vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=nSH-N… ???? Transcript : https://textup.fr/536354dO ???? Notes : Trafic de feotus : https://www.ouest-france.fr/monde/eta… Les feotus dans les vaccins : https://www.liberation.fr/france/2021… Loi bioéthique et avortement jusqu’au terme : https://www.valeursactuelles.com/soci…

Source : Youtube

2 Réponse(s) à "Sue Browder et la récupération du mouvement des femmes"

Claudie dit :

16 mars 2021 à 12 h 54 min

Merci Annwn.
Il est bon de rappeler que toutes les organisations, ordres, confrèries, religions, professions, toutes sans exception, ont été infiltrées dès le 18e siècle, et dévoyées par les mondialistes apatrides kabbalistiques (d’origine khazare ?) dans le but de s’approprier tous les pouvoirs et toutes les richesses.
Le chiffre 11, chiffre magique de la Kabbale, est devenu la référence de la franc-maçonnerie (3×11).
Quant au terme « juif » il est apparu pour la première fois dans une pièce de théâtre anglaise en 1775 (lieu et époque qui rejoignent vos considérations).

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Annwn dit :

16 mars 2021 à 10 h 26 min

Origine de la récupération du mouvement de TOUT : la Franc-maçonnerie moderne, anglo-saxonne, créée au XVIIIème, peu de temps avant les révolutions « Soros » de l’époque.
Rappel :
La Franc-Maçonnerie est d’origine hébraïque (les Mystères de Jérusalem), tous les mots de passe sont des vocables hébreux, ses légendes sont tirées de l’histoire du peuple d’Israël. Cependant, Joseph de Maistre, dans « Mémoire au duc de Brunswick » (1782), précise ceci : « Tout annonce que la Franc-Maçonnerie vulgaire est une branche détachée et peut-être corrompue d’une tige ancienne et respectable. ».
« C’est bien ainsi qu’il faut envisager la question, confirme René Guénon : on a trop souvent le tort de ne penser qu’à la Maçonnerie moderne, sans réfléchir que celle-ci est simplement le produit d’une déviation. Les premiers responsables de cette déviation, à ce qu’il semble, ce sont les pasteurs protestants, Anderson et Desaguliers, qui rédigèrent les Constitutions de la Grande Loge d’Angleterre, publiées en 1723, et qui firent disparaître tous les anciens documents sur lesquels ils purent mettre la main, pour qu’on ne s’aperçût pas des innovations qu’ils introduisaient, et aussi parce que ces documents contenaient des formules qu’ils estimaient fort gênante. Ce travail de déformation, les protestants l’avaient préparé en mettant à profit les quinze années qui s’écoulèrent entre la mort de Christophe Wren, dernier Grand-Maître de la Maçonnerie ancienne (1702), et la fondation de la nouvelle Grande Loge d’Angleterre (1717). Cependant, ils laissèrent subsister le symbolisme, sans se douter que celui-ci, pour quiconque le comprenait, témoignait contre eux aussi éloquemment que les textes écrits, qu’ils n’étaient d’ailleurs pas parvenus à détruire tous. Voilà, très brièvement résumé, ce que devraient savoir tous ceux qui veulent combattre efficacement les tendances de la Maçonnerie actuelle, bien qu’il y a eu ultérieurement une autre déviation dans les pays latins, celle-ci dans un sens antireligieux, mais c’est sur la « protestantisation » de la Maçonnerie anglo-saxonne qu’il convient d’insister en premier lieu. »
Et Robert Ambelain d’ajouter : « Ce nouveau rite allait lancer la FM sur une nouvelle voie… qui tendrait à saper certaines valeurs qui font la dignité de l’homme, par l’athéisme, le matérialisme, le laxisme menant à l’amoralisme désagrégateur. » (La Franc-Maçonnerie oubliée)
Dans les « Etudes traditionnelles, à l’article « Initiation féminine et initiations de métier », René Guénon nous précise que, dans la Franc-Maçonnerie moderne, nous trouvons l’existence d’une « Maçonnerie mixte » ou « Co-Masonry », comme elle est appelée dans les pays de langue anglaise, qui représente tout simplement une tentative de transporter, dans le domaine initiatique lui-même qui devrait encore plus que tout autre en être exempt, la conception « égalitaire » si cher au monde moderne, qui, se refusant à voir les différences de nature qui existent entre les êtres, en arrive à attribuer aux femmes un rôle proprement masculin, et qui est d’ailleurs manifestement à la racine de tout le « féminisme » contemporain.
Ainsi, tous les jours ne voyons-nous pas aux plus hautes fonctions de l’Etat par exemples, des médiocrités féminines se substituer à des médiocrités masculines.
La médiocrité masculine ayant progressivement augmenté avec le temps, nous avons donc des substitutions équivalentes avec les Sibeth N’Daye, Marlene Schiappa, Roselyne Bachelot, etc.
C’est ce qu’ils appellent le « progrès ».

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