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Les forces armées russes poursuivent une opération militaire spéciale en Ukraine qui se déroule comme prévu. Chaque jour, de plus en plus de territoires sont libérés des néo-nazis.

Cette semaine, à Marioupol, les soldats et combattants ukrainiens de l’unité nationaliste Azov, bloqués dans les sous-sols de l’usine « Azovstal », ont commencé à se rendre. Selon le ministère russe de la Défense, depuis le 16 mai, 1730 nationalistes ukrainiens se sont rendus, dont 80 gravement blessés. Ils reçoivent des soins médicaux dans un hôpital de Novoazovsk (République populaire de Donetsk), tandis que les autres ont été transférés dans le centre de détention provisoire d’Elenovka, dans la banlieue de Donetsk. Tous les blessés bénéficient d’une assistance médicale qualifiée. Ces services médicaux ne sont pas fournis pour « l’image », mais pour prendre efficacement en charge les personnes qui en ont besoin, quel que soit leurs antécédents personnels.

Selon les prisonniers de guerre ukrainiens, le commandement militaire de l’Ukraine interdit à ses troupes de battre en retraite et de se rendre. Leur tâche principale est de détruire autant que possible les infrastructures civiles afin de laisser derrière eux des ruines inhabitables et de rendre difficile le retour à une vie pacifique.

Les nationalistes, qui ont depuis longtemps adopté les tactiques des terroristes de Daech, n’hésitent pas à utiliser les maternelles, les écoles et les hôpitaux comme dépôts de munitions et bases d’opérations sans le cacher.

Les civils ne sont pas autorisés à s’évacuer, les gens sont chassés de leurs appartements afin d’y installer des positions de tir, ou sont tassés dans les sous-sols où se trouvent en même temps des combattants ou des dépôts d’armes. Il y a quelques jours, des nationalistes ukrainiens ont commencé à amener des munitions et à déployer du matériel antiaérien sur le territoire du studio de cinéma d’Odessa. Les combattants des forces de défense territoriale font du porte-à-porte dans des immeubles résidentiels afin d’identifier les résidents ayant des opinions pro-russes. Ceux-ci sont ensuite emmenés vers une destination inconnue, on ne dispose d’aucune information sur le sort de beaucoup d’entre eux.

L’administration de Zaporojié a également interdit l’évacuation des habitants. Toute tentative des citoyens de quitter la ville en voiture ou à pied est bloquée par les combattants de la défense territoriale aux points de contrôle. Ceux qui résistent font l’objet de violences physiques, leurs véhicules sont confisqués et ces personnes sont renvoyées à pied.

Les organisations internationales, les pays occidentaux et les médias ne réagissent nullement aux méthodes criminelles de l’armée ukrainienne. En outre, l’Occident poursuit ses livraisons massives d’armes au régime de Kiev. La partie russe le considère comme un soutien direct aux néo-nazis et une volonté de prolonger les hostilités le plus longtemps possible. Nous ne pouvons ignorer le fait que les armes occidentales sont utilisées pour tuer des soldats russes et bombarder le territoire de la Russie.

source : La Plume du Citoyen

Source : Reseau International

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