Serge Rader, interviewé de Hold-up, est décédé. Un « héros des temps modernes », selon Pierre Barnérias

Publié le 31/05/2021 à 18:05

Serge Rader Capture d’écran YT

Auteur(s): FranceSoir A+A

Pharmacien et « lanceur d’alerte », Serge Rader a passé la dernière partie de sa carrière à éveiller les consciences au sujet de la santé, des médicaments et de l’industrie pharmaceutique. Il avait réussi à fédérer des milliers de pharmaciens afin d’évoquer les sérieuses dérives et problèmes liés à ces industries et ces laboratoires.

Lors de multiples vidéos, et dans plusieurs ouvrages, il critiquait le rôle des laboratoires, comme des médicaments.

Parmi eux, il a notamment participé à la rédaction de « Le racket des laboratoires », ainsi que de « Vaccins, oui ou non ? »closevolume_off

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Considéré par les médias mainstream comme un « complotiste », il avait pris part avec d’autres, au documentaire Hold-up de Pierre Barnérias.

Il n’avait pas froid aux yeux et c’est en partie pour cela qu’il a été vilipendé pour ses propos et positions. Il y a quelques semaines, il était parti en Guadeloupe pour y assurer un court remplacement en officine. À ce moment-là, il avait donc un test PCR négatif. Puis, il aurait attrapé le covid-19 là-bas, et été hospitalisé à l’hôpital de Pointe-à-Pitre. Guéri du virus, il s’apprêtait à sortir des salles blanches quand une infection nosocomiale l’y aurait ramené. Seulement quelques jours plus tard, il y décède d’un accident cardio-vasculaire, à l’âge de 68 ans.

Un proche nous déclare : « les circonstances de son décès restent questionnables, car je vois mal Serge attraper le covid-19, ne pas se soigner à temps et ne pas avoir sur lui des comprimés adéquats. » Même officiellement, la cause du décès n’est pas le covid-19. Pourtant, on trouve sur les réseaux sociaux des personnes qui s’emparent de ce funeste événement pour prôner la vaccination. Ces moments doivent être ceux du recueillement et de l’apaisement, et non pas de quelconques vindictes ou invectives…

Pierre Barnérias a eu souvent l’occasion de discuter avec lui, et le décrit comme « un chercheur de vérité n’aimant pas les injustices, traquant les médicaments tueurs. » Il rajoute : « quand on voit les casiers judiciaires des sociétés pharmaceutiques qui nous fourguent des produits, on ne peut que se poser des questions. » Enfin, « c’est un héros des temps modernes« .

Son dernier interview avec Pierre Barnérias : 

Vidéo à voir ICI

Son corps sera rapatrié aujourd’hui.

Auteur(s): FranceSoir

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