Qu’est-ce qu’une pandémie ? Et pourquoi l’OMS en a changé la définition ?

La 5ème vague n’est qu’une épidémie de tests positifs non fiables et de simulations biaisées.

Par le dr G Delépine chirurgien oncologue statisticien

Qu’est-ce qu’une pandémie ?

Depuis toujours une pandémie se définissait par une maladie à extension mondiale touchant une grande partie des populations, et très mortifère. Quelques exemples célèbres en sont la peste noire (qui a tué 40% de la population européenne de l’époque), le typhus (qui a décimé bien plus que les combats les troupes napoléoniennes de la campagne de Russie), le choléra (tueur transmis par l’eau des métropoles industrielles naissantes) et plus récemment la grippe espagnole (dont la mortalité est surtout due aux surinfections bactériennes).

Mais il y a une dizaine d’années des experts de l’OMS dont beaucoup sont très liés à big pharma en ont changé la définition en supprimant la mortalité des conditions nécessaires. Maintenant toute épidémie à diffusion mondiale peut être déclarée pandémie même si elle est peu mortifère.

Cette modification d’apparence anodine a une conséquence majeure : celle de pouvoir lancer beaucoup plus facilement une « alerte pandémique ». Or une telle alerte permet d’activer des commandes massives de vaccin par l’ensemble des pays signataires du règlement sanitaire international.

L’alerte pandémique Covid et la propagande terrorisante des gouvernements et des médias complices constitue un Jackpot de centaines de milliards pour les fabricants et les vendeurs de pseudo vaccins.

Les tricheries qui alimentent la propagande qui rapporte des milliards

Le covid 19 n’est pas une véritable pandémie. Ce virus est réellement contagieux et se diffuse beaucoup (comme les virus grippaux), mais il ne rend pas beaucoup plus de gens malades, ni ne tue plus que les virus grippaux. Les images catastrophiques que relaient en permanence le gouvernement et les médias ne résultent que des surestimations systématiques.

La surestimation systématique du nombre de malades par les tests

Pour gonfler les chiffres des malades la propagande provax fait passer les « cas » pour des malades, alors qu’un malade se définit comme une personne qui a des signes cliniques, qui souffre, qui a de la fièvre, qui tousse, qui se sent fatigué, ou qui a perdu l’odorat. Les asymptomatiques ne sont pas des malades mais des porteurs sains et ne devrait pas être instrumentalisés pour alimenter les rumeurs d’épidémie.

Un test positif chez un asymptomatique ne signifie pas qu’il est porteur du virus, ni qu’il est malade, ni qu’il risque de devenir malade, ni qu’il peut transmettre la maladie ; il s’agit dans plus de 90% d’un faux positif ainsi que l’a définitivement prouvé le gigantesque dépistage réalisé à Wuhan (sur 10 millions de chinois). Aucun des prélèvements des asymptomatiques positifs au PCR lors de ce dépistage n’a permis de retrouver de virus après culture et aucun n’est devenu malade dans le mois qui a suivi ni n’a contaminé quiconque ; 40% d’entre eux étaient négatif aux tests des anticorps sanguins.

La surestimation considérable du nombre de morts

Pour situer la mortalité du Covid à sa juste place, rappelons que la grippe asiatique de 1956-1958 aurait, selon l’Organisation Mondiale de la Santé, causé la mort de 1 à 4 millions de personnes dont environ 100 000 morts en France pour 43 millions d’habitants de l’époque (soit l’équivalent de 150 000 morts pour notre population actuelle). Pourtant à cette époque les morts de grippe étaient ainsi déclarées uniquement lorsque les personnes étaient décédées après avoir fait une maladie grippale et pas seulement un test.

Pour terroriser la population, la propagande pro vaccinale surestime fortement la mortalité en appelant « mort du covid » tous les morts avec un test PCR positif. Selon les directives de l’OMS, relayées par la plupart des gouvernants complices, tout décès survenu dans les 28 jours d’un test positif est déclaré mort du covid même s’il n’a pas été malade et même si la mort résulte d’un accident de la route, d’une fusillade, d’un suicide ou d’un infarctus…Et pour être sûr que les médecins et directeurs d’hôpitaux appliquent cette directive avec zèle une prime est allouée pour tout malade ou tout mort déclaré Covid.

D’ailleurs toutes les études étiologiques internationales (américaines, italiennes, britanniques) ont prouvé que plus de 95% des morts déclarés « morts de Covid » avaient d’autre maladies potentiellement mortelles plus vraisemblablement en cause dans le décès.

Une 5ème vague de tests

Actuellement le gouvernement et les médias tentent d’effrayer à nouveau la population avec « la 5ème vague qui va nous submerger ». Ils utilisent une fois de plus les « cas » et des simulations fausses pour prophétiser cette prochaine poussée meurtrière.

Ils espèrent ainsi faire accepter des mesures contraignantes qui n’ont jamais été efficaces sur l’épidémie mais qui constituent le chantage à la vaccination « vaccinez-vous tous et vous serez à nouveau libres ». Mais chantage mensonger car une fois que vous aurez accepté deux injections le même chantage recommencera pour la troisième qui ne sera pas plus efficace que les précédentes, puis la 4ème et les suivantes…Toutes les victimes de chantage savent que céder une fois encourage le maitre chanteur à en demander toujours plus.

Mais si on se réfère aux vrais critères, les malades » et les décès, l’insignifiance actuelle du danger réel saute aux yeux.

Le réseau sentinelle collecte les déclarations des médecins de ville qui signalent les malades venus en consultation. Leur dernier compte rendu est clair : il n’y a guère d’augmentation des cas de covid et l’incidence (9/100000) reste bien loin du niveau d’alerte fixé pour la grippe à 150/100000.

Les données de l’OMS montrent également que depuis plus de 5 mois la mortalité Covid ne représente même pas 3% de la mortalité française, toutes causes confondues et qu’elle n’augmente pas.

En France actuellement la 5ème vague n’est qu’une épidémie de tests positifs et de simulations biaisées.

L’utilisation des exemples des pays voisins pour terroriser s’appuie aussi uniquement sur « les cas », car la mortalité n’augmente pas significativement

En Belgique, le nombre de cas a été multiplié par 6 en 1 mois (de 1919 à 12290), mais la mortalité n’a pas augmenté significativement

En Grande-Bretagne le nombre de cas journaliers avoisine les 40 000 depuis juillet. Mais la mortalité quotidienne reste stable autour de 150.

En Suisse, le nombre de cas quotidien a été multiplié par 5 en un mois, mais la mortalité n’augmente pas.

En Italie, le nombre de cas a été multiplié par 3 en un mois, mais la mortalité reste stable autour de 50 cas/jour soit là aussi moins de 3% de la mortalité toutes causes confondues.

En Espagne aussi l’épidémie est terminée

Il en est de même au Portugal : la mortalité quotidienne moyenne attribuée au covid est actuellement comprise entre 5 et 8 soit moins de 3% de la mortalité globale (255/Jour)

En Suède, la mortalité reste faible depuis juin 2021

En 2020, malgré la pandémie de Covid-19, l’Allemagne n’a pas enregistré un nombre anormalement élevé de décès, et, si le nombre de cas a été multiplié par 7 en octobre 2021, la mortalité, en légère augmentation, reste faible.

La revue des minimes mortalités actuelles dans les pays voisins du notre, malgré la progression parfois très forte des contaminations, confirme que les variants actuels sont beaucoup moins mortifères que la souche initiale. La panique que veulent raviver le gouvernement et les médias complices n’est que de la propagande pour pousser à la vaccination alors que cette reprise des cas prouve que les injections anticovid actuelles sont inefficaces.

Récemment J. Castex prétendait que sa politique serait guidée par« le pragmatisme, la proportionnalité des mesures et la transparence ».

Transparence ? Alors qu’il ment par omission en ne parlant que des tests et pas des mortalités ?

Pragmatisme ? Alors que le dogmatisme gouvernemental force les soignants, les pompiers et les gendarmes à recevoir une injection expérimentale en sachant que les pseudo vaccins actuels n’empêchent

pas de transmettre la maladie et que cette mesure a considérablement aggravé le déficit en soignants, augmentant le nombre de déserts médicaux, le nombre de lits et de services fermés, faute de personnel ?

Pragmatisme ? alors que l’épidémie s’est calmée, le refus de toute négociation

avec les guadeloupéens et l’envoi du GIGN pour obliger les soignants à se vacciner conduit à une crise politique sans précédent qui risque de s’étendre à la Martinique et de renforcer les indépendantistes.

Proportionnalité ? Alors pourquoi restreint-il les libertés publiques aussi massivement pour des bénéfices sanitaires aussi nuls ?

Dr G Delépine chirurgien oncologue statisticien

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