Prélude… pour un massacre ?


« Profession Gendarme » m’a proposé de rédiger une série d’articles.


A travers ceux-ci, je vais tenter de brosser un tableau des temps actuels sous forme d’un patchwork,
duquel, je l’espère, se détachera la forme bien nette du Complot.


Le mot est lâché ! Assumé ! Complot !


Il ne sera nullement question d’accommodements ni avec les idées reçues ni avec les faits, aussi
désagréables puissent-ils être. Seule la quête obstinée de la cohérence guidera cette série d’articles.
Je n’ai pas l’illusion que cela se fera sans heurts, y compris même au sein d’un média libre comme
« Profession Gendarme », même Kairos s’étant auto-censuré.


Ceux qui cherchent, à tout prix le compromis, la « positivité », la modération et tous leurs
synonymes politiquement corrects risquent d’en être pour leurs frais. Ils sont prévenus.


Sur de telles bases, il va sans dire que le comité de rédaction de « Profession Gendarme » va faire
face à des angoisses et à des dilemmes dont il n’est pas certain qu’ils ne trouvent d’autre chemin,
que celui d’une (certaine) autocensure.

À chacun ses responsabilités. Y compris légales, dans ce monde de fripons adroits, sans scrupules
sous leur respectable robe noire ou …blanche. Ou justifiés par la farce de la démocratie électorale.
Au risque des instruments répressifs, toujours plus denses, plus technologiques, plus vicieux.


Les armes psychotroniques et le harcèlement en réseau d’État. Nous en reparlerons plus
longuement.
Sans oublier, banalement, la dictature sous képi, avec bouclier et auto pompes.


Dans les temps terribles que nous aurons à vivre, il est indispensable que les esprits se fortifient à la
lumière, non pas d’une « Vérité » qui n’existe que dans l’idéologie ou la religion, et certainement pas
dans l’ignoble « consensus scientifique ».
Les esprits doivent se fortifier, uniquement à l’épreuve de la cohérence, de l’acceptation des faits
dont on tâchera, ici, d’analyser l’écheveau ; leur complexité n’est qu’une apparence, volontairement
trompeuse, sinistrement organisée.


La méthode proposée sera la suivante :
Tout d’abord, AUCUNE référence ne sera proposée à l’appui de mes écrits.
Ce que je nomme le « sourcisme » est en effet, à mes yeux, un tour de passe-passe misérable,
consistant à jouer à la science, en donnant en pâture au lecteur une forme de gage à bon marché.
Noam Chomsky, dans « Manufacturing Consent » (paru en 1988), a bien montré comment
aujourd’hui, se forme le monstre de l’opinion publique.
Et même les articles scientifiques : le COVID a démontré le degré de corruption de toutes ces
sources soi-disant indiscutables. Cette corruption dans le domaine médical remonte à bien plus loin,
c’est-à-dire à la captation par Rockefeller de toute la médecine « scientifique » au début du XXe
siècle.
Les sciences plus dures comme la biologie, la physique, et même les mathématiques ne sont pas
exemptes, loin de là, de publications erronées, voire malhonnêtes. Le GIEC est un exemple
écœurant de ce dévoiement.
À quoi servirait de mettre en fin d’article quelques liens de circonstance, soigneusement choisis par
l’auteur, à titre de réassurance pour l’éditeur et pour le lecteur ?
Le lecteur paresseux ne cherchera même pas à consulter le ou les liens proposés.
Le lecteur curieux ne se contentera pas de si peu ; il cherchera par lui-même, en profondeur, en
toute liberté, si telle ou telle assertion peut-être contredite par un faisceau d’arguments.
Le « sourcisme » est de la verroterie intellectuelle, à peine satisfaisante, même pour Conspiracy
Watch et autres Julien Pain.
En conséquence, tous les 4 ou 5 articles, à périodicité bi hebdomadaire, je proposerai une revue des
critiques qui auront été émises par des lecteurs courageux et dévoués. Il y aura là une vraie matière


à débat solide, et non pas un « sérieux » de pacotille qui, au fond, n’intéresse personne.
Un débat vivifiant, évitant le danger d’une série d’homélies, satisfaisant l’ego de leur auteur,
organisant ainsi la joie du directeur de publication, … et la torpeur du lecteur.


Dr Yves Couvreur alias Citoyen Brotteaux.


« Brotteaux s’était donné pour loi de ne jamais contrarier le sentiment populaire, surtout quand il
se montrait absurde et féroce, parce qu’alors, disait-il, la voix du peuple était la voix de Dieu. »


Les dieux ont soif. Anatole France

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