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Pfizer savait que son vaccin ARNm donnait le Covid…

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Selon Naomi Wolf, «Les documents de Pfizer contiennent des preuves du plus grand crime contre l’humanité de l’histoire de notre espèce. »

Les documents internes de Pfizer indiquent que l’entreprise savait avant leur déploiement général, que les vaccins étaient inefficaces et que le troisième effet secondaire le plus courant du vaccin Pfizer était «le COVID».

En l’espace d’un mois ou deux, Pfizer a reçu tellement de rapports d’effets indésirables qu’elle a embauché 2 400 personnes à temps plein pour simplement traiter la paperasserie des effets indésirables qu’elle recevait, ainsi que pour se préparer à l’afflux d’effets indésirables qu’elle savait qu’elle recevrait dans un avenir proche.

Source :

https://vk.com/video_ext.php?oid=-209702645&id=456242027&hd=2

14 Réponse(s) à "Pfizer savait que son vaccin ARNm donnait le Covid…"

Poilagratter dit :

13 décembre 2023 à 22 h 03 min

Ils le savaient parce que le but est de tuer au maximum avec plein de trucs comme le cancer injectable ( breveté en 2015) etc, . Le Covid est la 5 G.

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Toto dit :

12 décembre 2023 à 23 h 45 min

Dans le vaccin BioNTech/Pfizer, chaque U a été remplacé par le 1-méthyl-3′-pseudouridylyl, désigné par Ψ. Le plus malin est que bien que ce Ψ de remplacement apaise (calme) notre système immunitaire, il est accepté comme un U normal par les parties pertinentes de la cellule.

En sécurité informatique, nous connaissons également cette astuce – il est parfois possible de transmettre une version légèrement corrompue d’un message qui confond les pare-feu et les solutions de sécurité, mais cela est toujours accepté par les serveurs backend – qui peuvent ensuite être piratés. » C’est ici : https://berthub.eu/articles/posts/reverse-engineering-source-code-of-the-biontech-pfizer-vaccine/
Donc on peut tomber facilement malade (système immunitaire « calmé »), peut-être pire…

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Bénédicte G dit :

12 décembre 2023 à 18 h 13 min

Pfizer, multi condamné à des amendes records pour charlatanisme et tromperie, ne doute de rien. Il attaque la Pologne parce qu’elle refuse d’acheter ses vaccins. Elle lui réclamerait plus d’un milliard d’euro pour le manque à gagner

https://www.youtube.com/watch?v=W_RRJ-gvKIE

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1. Raso dit :
  
  12 décembre 2023 à 19 h 01 min
  
  La Pologne ne s »est pas laissée faire par ces escrocs…
  
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Georges-Dominique dit :

12 décembre 2023 à 12 h 38 min

« Meiji Seika Pharma, basée à Tokyo, a reçu l’approbation pour la fabrication et la commercialisation de son vaccin Kostaive sa-ARNm COVID-19, a annoncé la société dans un communiqué de presse du 28 novembre. L’ARNm du vaccin est conçu pour s’auto-amplifier lorsqu’il est administré aux cellules, ce qui génère une « forte réponse immunitaire et la possibilité d’une durée de protection prolongée ». Le vaccin est destiné à la primovaccination (2 doses) ainsi qu’à la vaccination de rappel chez l’adulte. Kostaive est « le premier produit approuvé au monde appliquant la technologie de l’ARNm auto-amplifiant », selon le communiqué de presse. L’ARNm et l’ARNm-sa sont des vaccins à ARN qui utilisent le code génétique d’un virus contre lui. Lorsqu’un vaccin à ARNm est injecté à un individu, l’ARNm demande aux cellules de fabriquer une protéine spécifique et stimule ainsi la réponse immunitaire. Un vaccin à ARNm-sa pousse ce concept plus loin en réalisant plusieurs copies d’ARNm, ce qui finit par générer davantage de protéines de pointe. Toby Young, secrétaire général de l’Union pour la liberté d’expression, un groupe d’intérêt public, a souligné dans un article X du 30 novembre que le vaccin à ARNm a été approuvé au Japon « bien qu’il n’ait été testé que sur 800 personnes, sans groupe témoin et uniquement en vérifiant ». les niveaux d’anticorps et non les taux d’infection. La réglementation des médicaments est morte avec le Covid. Une étude de phase 3 a comparé le vaccin Kostaive ARCT-154 au vaccin Comirnaty à ARNm COVID-19 de Pfizer. L’étude pré-imprimée, qui n’a pas été évaluée par des pairs, a été publiée en juillet sur MedRxiv. L’étude, financée par le ministère japonais de la Santé, du Travail et de la Protection sociale, fait suite à une étude de phase primaire qui a analysé la sécurité et l’efficacité du vaccin Kostaive. Les résultats de cette étude n’ont pas été publiés ; le manuscrit est « en préparation », selon le rapport de l’étude de phase 3. L’essai a été mené auprès de 828 personnes entre décembre 2022 et février 2023. Il s’agit d’un nombre de participants bien inférieur à celui de l’étude de phase 3 de Pfizer, qui impliquait plus de 40 000 personnes. La petite échelle du procès Kostaive a soulevé des questions quant à sa validité. Selon l’étude pré-imprimée, les receveurs de Kostaive ont signalé un nombre légèrement inférieur de réactions localisées, telles qu’une douleur ou un gonflement localisé, par rapport à Comirnaty. Cependant, les receveurs de Kostaive ont signalé des nombres plus élevés d’événements indésirables spécifiques tels que des frissons, de la diarrhée, des étourdissements, des maux de tête, des malaises, des nausées et des myalgies ou des douleurs musculaires. Selon Meiji Seika Pharma, les essais cliniques de phase 3 sur les injections de rappel ont montré que Konstaive produisait « des titres d’anticorps neutralisants plus élevés et plus durables contre la souche d’origine » ainsi qu’une sous-variante d’Omicron, par rapport à Comirnaty. Le vaccin a été développé par Arcturus Therapeutics, basé à San Diego. Meiji Seika Pharma a autorisé la vente du vaccin au Japon via CSL Seqirus, basée à Melbourne, en avril de cette année. La société collabore avec Arcalis, une entreprise de fabrication de vaccins à ARNm, pour établir des capacités de fabrication au Japon. Meiji Seika Pharma travaille à la commercialisation de Kostaive en 2024. Risques liés à l’ARNm-sa : « Étant donné que les vaccins à ARNm-sa produisent des copies d’ARNm et stimulent ainsi la production de protéines, certains experts s’inquiètent des conséquences qu’ils peuvent avoir sur le corps humain et craignent que les effets négatifs des vaccins à ARNm ne soient amplifiés par l’injection d’injections d’ARNm-sa. Lors de son témoignage au Parlement européen le mois dernier, le cardiologue Peter McCullough a déclaré qu’« il n’y a pas une seule étude montrant que l’ARN messager est dégradé » dans le corps humain une fois injecté. Puisque les vaccins sont « fabriqués de manière synthétique, ils ne peuvent pas être décomposés ». La protéine de pointe des vaccins à ARNm circule dans le corps jusqu’à six mois après la vaccination, a-t-il souligné. Le Dr McCullough a déclaré qu’il est « prouvé » dans 3 400 manuscrits évalués par des pairs que la protéine Spike provoque quatre domaines majeurs de maladies : les maladies cardiovasculaires, neurologiques, les caillots sanguins et les anomalies immunologiques. Dans un récent article d’Epoch Times, le biologiste moléculaire Klaus Steger a noté qu’« une petite quantité de saRNA [sa-mRNA] entraîne une augmentation de la quantité d’antigène produit ». « En raison de l’augmentation des niveaux d’antigènes, une injection de saRNA, qu’elle soit linéaire ou circulaire, peut provoquer des événements indésirables comparables aux injections répétées (de rappel) de modRNA. » M. Steger avait précédemment souligné que les vaccins « ARNm » de BioNTech ne sont pas fabriqués avec de l’ARN messager mais avec de l’ARN modifié (modRNA). Une étude publiée dans la revue Trends in Biotechnology en juin de cette année a admis que « les principaux défis liés à l’autorisation mondiale [des vaccins à ARNm] sont des problèmes de sécurité potentiels concernant le caractère réplicatif de ces vaccins ».

Source (ZeroEdge – Tyler Durden) : « Japan Approves World’s First ‘Self-Amplifying’ mRNA COVID-19 Vaccine Without Published Efficacy Or Safety Data ».
https://www.zerohedge.com/covid-19/japan-approves-worlds-first-self-amplifying-mrna-covid-19-vaccine-without-published

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1. Georges-Dominique dit :
  
  12 décembre 2023 à 13 h 08 min
  
  – Dr. Paul Alexander : « 7 questions que Berenson pose aux fabricants de vaccins à ARNm COVID, Pfizer et Moderna, sur la base des nouvelles découvertes de NATURE (voir ma sous-pile) ; J’en ai 3 pour Malone, Weissman, Karikó, Bourla, Bancel, Sahin :
  1) pourquoi étiez-vous silencieux sur la transcription inverse de l’ARNm
  2) silencieux sur le vaccin (et son contenu) ne restant pas au site d’injection deltoïde 3) silencieux sur le contenu NE se dissolvant PAS immédiatement
  4) avez-vous été incité à le faire ? ».
  
  « Bon travail Alex, voici le sous-stack d’Alex et les 7 questions » :
  « Ce qui précède n’est pas une analogie exacte avec ce que les scientifiques britanniques ont rapporté la semaine dernière dans Nature à propos des injections d’ARNm Covid, mais c’est proche. (Pour une explication plus complète, veuillez consulter la pile que j’ai écrite plus tôt dans la journée.) Et je ne suis pas sûr que les sociétés d’ARNm puissent ignorer cette question. Pendant trois ans, Pfizer (et son partenaire BioNTech) et Moderna ont largement bloqué toute question concernant leurs vaccins. Pourquoi ne le feraient-ils pas ? Ils sont protégés contre les poursuites judiciaires, et les médias et les régulateurs ont non seulement renoncé à leur responsabilité de surveillance, mais se sont rapprochés des co-promoteurs des tirs. Mais Nature est peut-être la revue scientifique la plus prestigieuse au monde. Et les auteurs de l’article n’ont pas lésiné sur les implications de ce qu’ils ont découvert : ces protéines aberrantes peuvent produire des réponses immunitaires aberrantes, amenant peut-être notre système immunitaire à attaquer nos propres tissus. Est-ce qu’ils? Nous ne le savons pas encore. Mais les médecins ont signalé de nombreux cas de maladies auto-immunes post-vaccination, allant de l’hépatite à l’arthrite psoriasique et même au diabète de type 1. Il a également été démontré que les vaccins provoquent une réponse immunitaire inattendue et rare, généralement observée après une stimulation répétée avec des allergènes comme le venin d’abeille – et non avec des vaccins. Pfizer et Moderna doivent désormais répondre à des questions sur le présent, l’avenir et le passé de l’ARNm : PRÉSENT : Cette découverte modifie-t-elle l’analyse risque-bénéfice des injections d’ARNm ? Les régulateurs devraient-ils envisager de les retirer ? AVENIR : À l’avenir, si l’article de Nature est correct, les futurs vaccins d’ARNm doivent-ils être repensés, comme le suggèrent les auteurs de l’article ? PASSÉ : Les entreprises étaient-elles conscientes de ce problème avant la publication de l’article Nature ? Autrement dit, que savaient-ils et quand l’ont-ils su ? — La dernière question est particulièrement importante car les sociétés d’ARNm sont extrêmement concentrées sur la manière dont leur ARNm amène les cellules humaines à fabriquer des protéines cibles. (Ils veulent utiliser le moins d’ARNm possible.) L’article de Nature suggère que près de 10 % des protéines produites par les injections de Covid n’étaient pas la protéine de pointe du coronavirus – la cible visée. Pfizer et Moderna auraient-ils vraiment pu ignorer ce fait ? Si non, quand l’ont-ils découvert ? Et quand l’ont-ils divulgué aux régulateurs ? Je ne sais pas, alors j’ai demandé ».
  
  Source (Alexander COVID News-Dr. Paul Elias Alexander’s substack) : https://palexander.substack.com/p/7-questions-berenson-has-for-covid?utm_source=post-email-title&publication_id=579356&post_id=139702404&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=2r993z&utm_medium=email
  
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Pascal dit :

12 décembre 2023 à 12 h 31 min

Vivement le vaccin contre la connerie ! Pour être sûr de ne plus en faire une…
Recette: du pur sérum physiologique, une seringue stérile, une très belle infirmière, une belle fesse et un simple geste bon pour la planète et qui rassure !

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Georges-Dominique dit :

12 décembre 2023 à 12 h 23 min

Le fait que ce fut classé « secret défonce », et que le Gouverne-ment français, et tous les autres, ne pouvaient ignorer cela, témoigne qu’ils sont COMPLICES DE CRIME CONTRE L’HUMANITÉ !!!

Ils veulent faire passer la loi liberticide pour échapper à la Justice qui pour l’instant serait intégralement acquise à leur cause.

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Eric dit :

12 décembre 2023 à 6 h 59 min

Il ne donne pas le covd, il tue les gens, faut etre clair.
Il donne le covid !? ça veut rien dire… c’est quoi le covid….

Pour ceux qui le savent pas encore ou qui croient encore à ce que disent ces gens la,
les virus, ça n’existent pas !
Quand on commence à etudier la veritable histoire de Pasteur et Bechamp y a deja un enorme probleme, mais quand on bosse reellement le sujet
(certe ça demande du temps et c’est le prix pour qu’ils ne nous prennent plus pour des billes),
tout est clair ces gens se foutent de nous de tout les cotés, histoire, medical, technologies, geographie, climat ect ect…

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1. Chercheur de vérité dit :
  
  12 décembre 2023 à 8 h 30 min
  
  Il tue certains, mais il rend principalement malade. Le choix des maladies est varié, et pour un certain nombre cela se termine par la mort. Une chose est sûre, plus les personnes recevront des injections, plus le risque d’être malade augmente.
  
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  1. Daniel22 dit :
    
    12 décembre 2023 à 9 h 22 min
    
    C’est le business plan , dévoilé par les guignols de l’info
    https://www.youtube.com/watch?v=HCp5xGiZyS0
    
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    1. Daniel22 dit :
      
      12 décembre 2023 à 9 h 26 min
      
      Une autre , ça m’étonne pas qu’ils l’ai supprimé
      https://www.youtube.com/watch?v=pL5_p-tnA-g
      
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  2. Roseau dit :
    
    12 décembre 2023 à 20 h 40 min
    
    Oui, TOUT est une question de poisons.
    
    Certains poisons sont mortels, d’autres rendent malades, infirmes, les personnes.
    
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2. Maxwell dit :
  
  12 décembre 2023 à 19 h 04 min
  
  Tout a fait d’accord,ils jouent avec notre existence comme un chat avec sa proie…cette dernière étant particulièrement conne,on est pas sorti de l’auberge…
  Qu’attendre d’individus dont le seul souhait est de pouvoir choisir ses chaînes..
  
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