Nick Hope, survivant de l’Holocauste : « Quand je vois les nouvelles d’Autriche, je vois l’esprit d’Hitler ressusciter. Petit à petit, nous perdons nos libertés. Réveillez-vous, s’il vous plaît ! »

RAIR Foundation
Sott.net
dim., 05 déc. 2021 20:18 UTC

En février 2022, l’Autriche obligera ses citoyens à se faire vacciner, sous peine d’amende ou de peine de prison.

Nick Hope, un survivant de l’Holocauste âgé de 97 ans, emprisonné dans le camp de concentration nazi de Dachau, met en garde contre les mesures Covid autoritaires et totalitaires du gouvernement autrichien. « Quand je regarde les nouvelles en Autriche, je vois l’esprit d’Hitler, l’esprit de la force arriver là-bas », dit-il dans un message vidéo.

En novembre 2021, le chancelier fédéral non élu d’Autriche, Alexander Schallenberg, a annoncé des mesures de confinement pour les personnes non vaccinées. Peu après, le gouvernement autrichien a placé l’ensemble du pays sous un confinement strict de 20 jours. Bien que le confinement général doive prendre fin le 12 décembre, il restera en place pour les personnes qui n’ont pas reçu d’injection de sérums d’ARNm, pour une durée indéterminée.

Le chancelier controversé a ensuite annoncé que son gouvernement allait obliger tous les citoyens allemands à recevoir l’injection de thérapie génique à ARNm. Ceux qui refuseront s’exposeront à de lourdes amendes et à de possibles peines de prison à partir de février 2022.

M. Hope craint que la mesure tyrannique prise par l’Autriche ne s’applique également aux États-Unis, où il vit désormais. « Parce que progressivement, nous perdons nos libertés. S’il vous plaît, priez, réveillez-vous, s’il vous plaît », supplie le survivant de l’Holocauste.

Si l’Autriche est le premier grand pays à imposer la vaccination obligatoire à tous les citoyens, d’autres dirigeants se sont montrés ouverts à cette idée.

Ces derniers jours, l’Allemagne a également fait un pas vers une politique de vaccination obligatoire. Le futur chancelier allemand de gauche, Olaf Scholz, a déclaré qu’il soutiendrait une obligation vaccinale et qu’il voterait en sa faveur au parlement allemand.

Mercredi dernier, Ursula von der Leyen, chef de la Commission européenne, a déclaré à la presse qu’elle était favorable à l’abandon du code de Nuremberg, en vigueur depuis longtemps, et à l’obligation de se faire injecter la thérapie génique.

Source de l’article original en anglais : RAIR Foundation
Traduction : Sott.net

Source : Sott.net

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