LOLA – Circulez, y’a rien à voir !

Bonjour !

Passé une certaine taille, le padamalgam en suppositoire commence à devenir efficace même contre l’homophobie masculine. Quand, dans un de ces élans de confraternité et de partage dont on a perdu l’habitude dans nos sociétés occidentales individualistes, on viole à 3 une femme en pleine rue, c’est padamalgam. Quand plutôt que de monter bêtement le chauffage, on se réchauffe écologiquement en tabassant à 10 un élève handicapé dans une école, c’est padamalgam. Quand dans le souci de réduire son indice carbone, on viole, égorge, torture et emballe façon Tupperware une gamine de 12 ans, c’est encore padamalgam. Moi, je n’ai pas peur des amalgames et je vous le dis sans ambages : l’écologie tue !

Pour le reste, ce n’est que pure coïncidence que dans cette escalade, tel Darmanin d’une administrée nécessiteuse, de l’échelle de l’horreur (laquelle détourne les projecteurs de milliers d’autres cas moins médiatiques, mais tout aussi sordides), ceux qui subissent, avec ingratitude, une forme spécifique d’enrichissement culturel s’avèrent être majoritairement des mal dotés en mélanine (forcément privilégiés) tandis que, même en remontant très loin dans le dattier ou bananier généalogique des exploités discriminés qui les enrichissent, on a quelques difficultés à trouver un lien avec le cousin par alliance de la tante au second degré de Jeanne d’Arc (la vraie, pas celle du Puits du Fou). Il ne s’agit donc assurément que d’une anomalie statistique et nul doute que bientôt, histoire de rééquilibrer les choses, des hordes de nazis à béret sur la tête et baguette à 1 euro 50 sous le bras, vont envahir les rues et sacrifier rituellement Danièle OBONO à l’issue d’un gang bang… sans la bouche au vu d’un certain flou sur ses pratiques alimentaires.

Dans le cas de la petite Lola, au demeurant championne de France d’aérobic, on nous pousse, nous aussi, au grand écart, mais intellectuel : le fait qu’elle ait été égorgée comme un mouton pendant l’Aïd et recouverte d’inscriptions, n’ayant, bien sûr, absolument rien à voir avec un meurtre rituel motivé par des croyances en la magie noire et autres billevesées culturelles qui ne sont pas les nôtres. Il s’agit simplement d’un meurtre gratuit, ce qui, dans une période où tout augmente, relève presque du civisme et ne remet donc nullement en cause les fondements du « vivre ensemble », ou du « vivre avec », on ne sait plus très bien. Les complotistes diront que sur ses vidéos Tiktok et Instagram la jeune femme supposée avoir perpétré le meurtre n’a l’air ni SDF ni déséquilibrée, mais où irions-nous si on commençait à douter des versions officielles.

D’ailleurs, tout cela est secondaire et, dans les heures qui ont suivi les faits, de Macron à Darmanin, on a twitté allègrement sur les choses vraiment importantes comme le ballon d’or de Benzema ou des évènements culturels, en omettant cet incident bénin ; oubli dont on peut déduire avec une quasi-certitude que la victime n’avait probablement pas d’arrière-grands-parents qui ont beaucoup souffert. De même (et je me répète d’une vidéo sur l’autre), encore une fois, où est Sandrine Rousseau ? Peut-être que si la (ou les) responsables avaient pris Obono au mot et mangé la morte, grillée sur un barbecue, on aurait eu droit à un peu d’indignation tweetesque.

Comme d’habitude (ou presque) la personne arrêtée faisait l’objet d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français) document qui lui a probablement été fort utile un jour de gastro-entérite. Les mèmes qui auraient un orgasme médiatique et hurleraient au racisme si un blond aux yeux bleus transformait en sashimis une femme voilée, accusent de récupération ceux qui font un lien entre cette affaire (et toutes les autres) et la gestion déplorable de l’immigration qui fait qu’on vient de rapatrier de Syrie 15 épouses de djihadistes et leurs 40 enfants auxquels à en croire Éric Ciotti ou Marion Maréchal, il suffirait d’imposer l’uniforme à l’école pour en faire des descendants putatifs de Vercingétorix.

Certes il y a de véritables charognards politiques qui dépassent les bornes et je ne parle pas d’Élisabeth éponyme qui est à deux doigts de porter un col roulé de l’utérus, mais de ceux, notamment dans l’entourage d’un Z qui ne veut pas dire Zorro, qui sont allés jusqu’à déposer le nom Lola avec quelques dièses autour. Pour autant, comme on ne peut récupérer que quelque chose qui existe et dont personne ne fait rien, le concept même de récupération est avant tout une escroquerie intellectuelle pour justifier un deux poids deux mesures permanent selon qu’on appartient au camp du bien autodésigné ou non ; le fait pour Macron de faire une pirouette à 180° et de recevoir la famille de la victime à l’Élysée, avec un air constipé de circonstance, n’ayant, bien sûr, rien à voir avec de la récupération. Mais pourquoi s’en priverait-il puisque ça fonctionne dans un pays tombé tellement bas au niveau raisonnement que j’ai dû récemment expliquer patiemment à une femme à moustache d’un mètre 80 pourquoi un poulet aux hormones, tant qu’il ne pond pas d’œufs, est libre de couver des Kinder-surprise si ça l’amuse, mais ne saurait exiger des autres d’être appelé une poule.

C’est une évidence que la criminalité a existé avant l’immigration de masse et qu’il y a toujours eu des Landru et des Petiot, mais les faits étaient suffisamment rares pour justifier la une des journaux et leurs auteurs suffisamment complexes dans leur psychopathie pour faire de leur vie un roman apte à remplir des pages entières, alors que ces coups de couteau monotones, pour un mauvais regard ou une cigarette, qui sont devenus notre lot quotidien, même en donnant la marque du couteau et la météo du jour ne laissent plus matière qu’à quelques lignes à la rubrique des chiens écrasés par des voitures électriques ; parfois un paragraphe quand on décapite à l’opinel (le padamalgam n’étant pas la seule raison de la discrétion médiatique). J’omets volontairement, entre les deux, les simples fournisseurs de réseaux pédophiles pas forcément français à la Emile Louis qui sont déjà le produit d’une globalisation du crime.

Nous sortons quand même, et je l’ai connu dans ma jeunesse, d’une période où les rues étaient devenues sûres tant pour le Français moyen que pour la téméraire en minijupe lesquels pouvaient sortir quand bon leur semblait et aller partout sur le territoire avec une chance de survie plus que raisonnable. Donc oui, l’immigration de masse fait une différence en matière de criminalité. Ne serait-ce que parce que, contrairement à nos criminels (pour lesquels on n’a guère le choix) les leurs on peut les éviter. On me rétorquera, et c’est vrai, que si l’on considère qu’il n’y a parmi eux ne serait-ce qu’un pour cent d’individus non intégrables et potentiellement dangereux (ce qui est, à mon sens, une fourchette basse) empêcher d’entrer ou faire repartir les 99% qui restent semble particulièrement injuste et disproportionné.

Mais est-ce moins injuste, sachant que ces derniers ont, pour la plupart, un autre pays, que d’exposer nos enfants qui eux n’ont pas cette chance et sont encore plus nombreux à près de 200 000 criminels supplémentaires (sur une base de 1 pour cent) ; sans compter tous les problèmes que charrie le multiculturalisme comme les quasi-émeutes dans les collèges, non pour exiger (à la grande déception de Pap Ndiaye) encore plus de cours sur la théorie du genre et le devoir de mémoire, mais pour, entre autres revendications, réclamer le droit au port (avec un T) de l’abaya.

La raison d’être d’un Pays est justement de choisir dans ce genre de situations et précisément de choisir les siens. Un choix qui doit fonctionner dans les deux sens. Quelqu’un qui choisit un pays se devant de le faire complètement et n’ayant pas vocation à avoir une double, voire une triple nationalité et autant d’allégeances qu’elles soient religieuses ou culturelles. Le fait même que nous ayons des gens qui se considèrent eux-mêmes comme des Français de papier prouve que la république, laquelle encourage ce genre de pratique, n’est pas un pays et certainement pas la France.

Donc plutôt qu’une lutte horizontale contre ceux qu’on a fait entrer, il faudrait commencer par viser ceux qui ouvrent la porte avec, en premier lieu, un Emmanuel Macron qui, pas à une contradiction près, après nous avoir saignés à coup de 49.3, avec l’assentiment du RN et de la NUPES qui n’ont pas les couilles de signer une motion de censure ensemble, a pour projet de remplir nos campagnes, privées de chauffage, de ressortissants africains dont la résistance au froid, comme chacun le sait, est proverbiale. Si c’est le genre de raisonnement qui vous donne mal à la tête oubliez, car, petit clin d’œil cosmique, après l’essence, la pénurie du jour c’est le paracétamol. Dans d’autres pays, comme en Angleterre on vire les incapables quand ils font n’importe quoi avec le budget, mêmes si, gage d’excellence, on avait pourtant misé sur une femme prête, selon ses dires, à appuyer sur le bouton nucléaire et qui s’était entourée du premier gouvernement sans homme blanc de l’histoire britannique. Qu’est-ce qui a bien pu foirer ? On avait pourtant coché toutes les cases. Cela restera pour toujours un mystère.

Sinon, côté troisième guerre mondiale, ceux qui changent les couches de Biden veulent à tout prix une victoire symbolique avant les élections de mi-mandat afin de justifier tous les milliards dépensés en Ukraine, quitte, selon certaines rumeurs, à faire sauter un barrage hydro-électrique, au mépris de toutes les conventions internationales et ils sont prêts à sacrifier autant de chair à canon ukrainienne que nécessaire pour cela. Peu importe que ça ne serve à rien, un hiver à -20 degrés avec des installations électriques au trois quarts détruites et un nouveau front de 900 kilomètres sur le point de s’ouvrir sur la frontière biélorusse, rendant une victoire de l’amateur de piano à queue Zelinsky à peu près aussi probable que l’hétérosexualité du compagnon de Jean-Michel Trogneux.

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Source : La mite dans la caverne

En cas de censure sur Youtube, la vidéo est aussi disponible sur Odysee

Source : Jeune Nation

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