L’ivermectine : un puissant anticancéreux ?

Par Patrick Ledrappier

Parasites, virus (dont ceux du SIDA et de la dengue) et cancers…

Et si l’ivermectine était une sorte de panacée protectrice de notre organisme contre les parasites, les virus, les déchets cellulaires et les cellules cancéreuses ?

Le 28 avril 2024
   Alors qu’il m’accompagnait à la station de métro, Carlito (Juan-Carlos de son vrai prénom), un ami de longue date dont la compagne m’avait demandé à table (ils m’avaient invité à dîner) ce que je ferais si on m’annonçait qu’une tumeur cancéreuse avait été détecté dans mon organisme, et à qui j’avais répondu : mes seules certitudes actuelles sont que je n’accepterai jamais de soumettre mon corps à la chimiothérapie ou à la radiothérapie, me demanda :   – Vraiment, si on t’annonce que tu as un cancer, tu refuseras la chimiothérapie et la radiothérapie ?   – C’est une certitude absolue : jamais je ne soumettrai mon corps à ces saloperies, lui répondis-je après avoir de nouveau réfléchi quelques secondes, car ces questions ne sont jamais vraiment innocentes.   – Et tu ferais quoi ? Une cure de vitamine C, vraiment, comme tu l’as dit à Mariana ?   – Des injections à haute dose, suppression totale de tout ce qui ressemble à du sucre et des séquences de jeûne avec prise d’ivermectine… Le tout dans le plus grand secret naturellement…    – De l’ivermectine ? Mais, pourquoi ne l’as-tu pas dit à Mariana ?   – Mais qu’est-ce qui se passe avec Mariana, pourquoi cette question ?   – …

Une passionnante étude publiée le 21 septembre 2020

   Selon une étude dirigée par Qiang Fang et publiée le 21 septembre 2020 dans la revue « National Library of Medicine », l’ivermectine « aurait de puissants effets antitumoraux » :

   • Elle inhiberait la prolifération des métastases.

   • Elle empêcherait l’activité angiogénique (formation de nouveaux vaisseaux sanguins qui accélère la croissance tumorale).

   • Elle favorise la mort programmée des cellules cancéreuses, notamment l’apoptose (processus programmé de mort cellulaire), l’autophagie (processus cellulaire essentiel de dégradation et de recyclage des composants cellulaires endommagés ou inutiles) et la pyroptose (mort cellulaire déclenchée en réponse à des infections bactériennes ou virales).

   • Elle inhiberait les cellules souches tumorales.

Les auteurs de l’étude ajoutent deux précisions dont on peut sérieusement supposer qu’elles sont strictement diplomatiques (à l’attention de Big Pharma) et qu’elles ne sont que la conséquence des points précédents :

   • Elle inverserait la multirésistance aux médicaments.

   • Utilisée en association avec des médicaments de chimiothérapie, elle leur permettrait d’avoir un effet optimal.

   Un médicament anticancéreux d’un grand potentiel

   Dans leur abstract (résumé), après un rappel de l’historique de l’ivermectine, les auteurs précisent qu’il a été « récemment » rapporté (nous sommes en 2020), que « l’ivermectine inhibe la prolifération de plusieurs cellules tumorales en régulant plusieurs voies de signalisation. Cela suggère que l’ivermectine pourrait être un médicament anticancéreux doté d’un grand potentiel. ».

Ils ajoutent qu’ils ont examiné les mécanismes inhibiteurs du développement de différents cancers de l’ivermectine, ainsi que ceux qui favorisent la mort cellulaire programmée (des cellules cancéreuses).

   Un article publié le 21 mars 2024 dans « The Epoch Times »

   « L’ivermectine pourrait être un « médicament puissant » pour lutter contre le cancer, voici pourquoi » titrait « The Epoch Times » le 21 mars 2024.

   Un cancer du côlon en phase terminale

   L’article commence ainsi : « Différent de nombreux traitements anticancéreux conventionnels, l’ivermectine tue les cellules cancéreuses en renforçant la réponse immunitaire. », avant de nous raconter l’histoire de Rick Alderson que je vous résume :

   • En novembre 2020, on annonce à Rick Alderson qu’il est atteint d’un cancer du côlon en phase terminale.

   • Alors qu’il avait souffert pendant des mois de douleurs intestinales, un gastro-entérologue lui annonce, ainsi qu’à son épouse, qu’il avait une grosse tumeur au rectum et qu’il ne lui restait que six mois à vivre.

• Compte tenu de l’âge de Rick Alderson et de la gravité de son état, jugeant que cela était inutile, les médecins refusèrent de soigner cette tumeur.

   • Rick Alderson et son épouse écartèrent l’idée de baisser les bras, ils réussirent à lui permettre de suivre un traitement de radiothérapie, puis de chimiothérapie, alors que le cancer du côlon s’était métastasé et qu’il avait été détecté 25 tumeurs dans le foie.

   • Lorsqu’il entreprit une radiothérapie, l’antigène carcinoembryonnaire (CEA), une glycoprotéine présente dans le sang qui est un marqueur de l’activité tumorale cancéreuse, était à 480 nanogrammes par millilitre de sang (ng/mL). Le taux normal d’un adulte en bonne santé est entre 2 et 4 ng/mL.

   • Un mois après avoir commencé une chimiothérapie, son taux de CEA était passé de 480 ng/mL à 1 498 ng/mL (taux normal : entre 2 et 4 ng/mL).

   Autrement dit, ni la radiothérapie et ni la chimiothérapie ne semblaient avoir le moindre effet bénéfique sur son état de santé.

   • La crise du « C19 » amena Rick Anderson à rechercher des médicaments préventifs afin de ne pas risquer d’aggraver son état de santé avec une infection pulmonaire. C’est ainsi qu’il commença à prendre de l’ivermectine.

   Nous sommes en février 2021.

   • Dix jours après avoir commencé sa prise d’ivermectine, son taux de CEA était tombé de 1 498 ng/mL à 184 ng/mL.

   • En mars 2021, toujours sous ivermectine, son taux de CEA était tombé de 184 ng/mL à 47,9 ng/mL.

   • Le 7 avril 2021, toujours sous ivermectine, son taux de CEA était tombé de 47,9 ng/mL à 20,7 ng/mL.

   • Le 21 avril, toujours sous ivermectine, son taux de CEA était tombé de 20,7 ng/mL à 13,9 ng/mL.

   • Au milieu de l’été 2021, toujours sous ivermectine, son taux était revenu dans la fourchette normale et il n’avait plus que trois tumeurs de présentes dans le foie sur 25.

   • M. Alderson a vécu encore deux ans avant de succomber à une insuffisance hépatique due à la progression de ses trois tumeurs hépatiques restantes.

   L’ivermectine aurait de multiples effets anticancéreux

   Dans le même article, on apprend que pour le Dr Alfonso Dueñas-González, oncologue et chercheur principal à l’Université nationale autonome du Mexique, « Il existe au moins neuf cibles cancéreuses parfaitement définies affectées par l’ivermectine ».

   L’ivermectine cible les cellules souches tumorales – un moteur des tumeurs cancéreuses et des rechutes – et favorise la mort des cellules cancéreuses.

   Si l’article de « The Epoch Times » rappelle que « Les thérapies anticancéreuses conventionnelles telles que la chimiothérapie et la radiothérapie visent à endommager l’ADN des cellules cancéreuses et à les tuer, dans le même temps, les traitements tuent également les cellules immunitaires et suppriment le système immunitaire. » et c’est fort judicieusement qu’il cite également le docteur Peter P. Lee (très connu aux États-Unis pour ses recherches sur l’ivermectine, le docteur Peter P. Lee est président d’immuno-oncologie à City of Hope) :

   « L’ivermectine peut tuer les cellules cancéreuses d’une manière qui stimule la réponse immunitaire de l’hôte, ce que nous appelons la mort cellulaire immunogène ».

   J’oubliais, lorsque nous nous sommes séparés devant la station de métro, j’ai précisé à Carlito : « Ne me demande pas pourquoi, mais il semblerait qu’il y ait une sorte de certitude médicale, à savoir que ce sont les malades qui choisissent eux-mêmes leurs traitements qui guérissent… »

   J’allais oublier également : vive la paix, non à la guerre, vive la liberté et surtout vive la liberté thérapeutique totale !

   Soyons nos propres maîtres, surtout en matières médicales et pharmaceutiques, et ne laissons personne décider pour nous…

Patrick Ledrappier

Président co-fondateur

Libre Consentement Éclairé

Source : Libre Consentement Éclairé

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