Les deux seuls vrais tueurs à l’hydroxychloroquine connus à ce jour ?

(Article important à lire en entier)

Par Patrick Ledrappier

Les professeurs de médecine et d’épidémiologie (Angleterre)

Sir Martin Jonathan Landray (à gauche) et Sir Peter William Horby (à droite).

Les deux seuls vrais tueurs à l’hydroxychloroquine connus à ce jour ?

L’édito politique de Libre Consentement Éclairé

Le 6 janvier 2024
   Comment comprendre qu’en janvier 2024, une revue « scientifique » peut, au sujet de l’hydroxychloroquine, faire un remake de l’escroquerie scientifique publiée par The Lancet le 22 mai 2020 ?

   Rappelons que début juin de la même année, The Lancet retira de ses publications l’article concerné au motif, selon Richard Horton le rédacteur en chef de la revue, qu’il s’agissait d’une « fraude monumentale ».

    Rappelons également que cette « fraude monumentale » a été publiée sous la direction de Sapan Desai, d’après des données de sa société « Surgisphere », qui avait comme directrice marketing une « call-girl » vendant également ses charmes sur internet.    Quant à Sapan Desai, chirurgien vasculaire, il ferait face aux États-Unis à 4 poursuites pénales pour « faute professionnelle médicale » depuis février 2020.

   16 990 décès seraient imputables à l’hydroxychloroquine sur une seule période de trois mois, dans 6 pays avec très peu de consommateurs…

   Alors que l’hydroxychloroquine est consommée quotidiennement depuis plus de 70 ans dans le monde entier, avec une très forte consommation dans une centaine de pays où le paludisme est hautement endémique, selon l’article publié le 2 janvier 2024 dans la revue « Biomedicine & Pharmacotherapy », ce médicament aurait provoqué la mort de 16 990 personnes, pour le seul premier trimestre 2020, et dans seulement six pays : la France, la Belgique, l’Italie, l’Espagne, la Turquie et les États-Unis.

   Ramenés aux 70 années de consommation de cette molécule thérapeutique, les 16 990 décès d’un seul trimestre se transformeraient en 4 757 200 morts pour seulement six pays à très faible consommation.  
Ce qui ne correspond absolument pas à la réalité et il n’est nul besoin d’une longue démonstration pour déceler une nouvelle « fraude monumentale » au sujet de ce médicament.

   Oui, l’hydroxychloroquine aurait été associée à la mort de malades, mais par la faute à d’incroyables surdosages…
   Dans un article publié le 4 juin 2023 et intitulé « Deux des tueurs à gages de Big Pharma, de l’OMS, de Bill Gates, d’Ursula von der Leyen, de Boris Johnson et d’Emmanuel Macron », Pierre Lefevre traite de la question de ces morts dus à l’hydroxychloroquine :

   « Les assassinats estampillés Bill Gates/OMS de l’essai « Recovery »  
« Afin de démontrer l’inefficacité de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine dans le traitement des pneumonies « C19 », l’OMS a sponsorisé une prétendue étude dont le seul but était de justifier l’interdiction de l’hydroxychloroquine et de la chloroquine pour pouvoir imposer les injections « va xi nales ».  
 » Il s’agit de l’étude « Recovery » (« rétablissement », « récupération »), qui est un « essai clinique » qui a débuté en avril 2020 avec 4 674 malades.   » Il s’est tenu sous la houlette de l’université d’Oxford (Royaume-Uni) et a été mené sous la responsabilité scientifique des « médecins » Peter Horby et Martin Landray.

   » « L’étalon-or » de l’étude scientifique qui cause la mort de 100 personnes »   » Cet « essai clinique » (clinique signifie qu’il concerne des êtres humains) a été présenté comme étant « l’étalon-or » de toute étude scientifique clinique, c’est-à-dire qu’il avait la prétention d’être absolument, scientifiquement et juridiquement irréprochable.   »
Or, alors que la posologie ainsi que le moment où il faut prescrire l’hydroxychloroquine et le moment où il ne faut plus la prescrire, sont parfaitement documentés grâce aux différentes études publiées en Chine, aux États-Unis, au Brésil ou encore à Marseille avec l’équipe du professeur Raoult, dans le cadre de cet essai clinique, ils ont volontairement utilisé l’hydroxychloroquine à mauvais escient :   • lorsqu’elle ne pouvait plus être efficace, car prescrite trop tardivement ;   • à des doses très supérieures aux doses maximales recommandées par les laboratoires pharmaceutiques qui la vendent. »

   » Des doses 3 fois supérieures aux doses maximales recommandées par les laboratoires pharmaceutiques eux-mêmes   » Pour le traitement des pneumonies de l’hiver 2019-2020 dans l’hémisphère Nord, que ce soit à Wuhan, en Chine, à Marseille, en France, à New York, ou dans l’hémisphère Sud comme à São Paulo, au Brésil, le protocole thérapeutique, parfaitement documenté, aurait été respecté.   »
Ce protocole recommande :  
• de prescrire l’hydroxychloroquine le plus tôt possible après l’apparition des premiers symptômes :   • de ne pas la prescrire lorsque les malades sont en réanimation ou lorsqu’ils sont en phase terminale • de respecter la posologie de 200 mg, 3 fois par jour (soit 600 mg par jour) pendant 10 jours (Ajoutons que le traitement recommandé à Wuhan à l’époque, car très efficace, comprenait 500 mg d’azithromycine (un antibiotique), le 1er jour et 250 mg les 5 jours suivants).
   
» Sans la moindre justification médicale ou scientifique, dans l’étude « Recovery », nos deux « tueurs à gages » en blouse blanche, Peter Horby et Martin Landray, ont prescrit l’hydroxychloroquine en moyenne, et volontairement :  
• 9 jours après l’apparition des premiers symptômes (alors que c’est dans les premières heures que la prescription est recommandée) ;  
• à des patients gravement malades ou en phase terminale (60 % étaient déjà sous assistance respiratoire et 17 % sous ventilation artificielle), alors que c’est formellement contre-indiqué ;  
• à des doses de 2 400 mg par jour, soit 3 fois supérieures aux doses maximales recommandées par les laboratoires pharmaceutiques (rappelons que la dose maximale est de 800 mg/jour et que la dose du protocole thérapeutique usuel pour le traitement des pneumopathies est de 600 mg/jour).     »

Résultat : une mortalité chez les malades qui passe de 0,6 % à 25 % et tue 100 malades   » Alors qu’à l’époque et à l’IHUM dirigé par le professeur Raoult, seuls 0,6 % de décès étaient constatés chez les malades traités avec l’hydroxychloroquine et l’azithromycine, avec ces deux assassins en blouse blanche, le nombre de décès de patients ayant été traités avec de l’hydroxychloroquine à des doses à tuer un cheval, passe à 25 %, ce qui représenterait 100 décès…   
» Précisons qu’il n’est fait nulle part état dans l’intégralité de la littérature médicale et scientifique disponible dans le monde entier, d’une utilisation de l’hydroxychloroquine à un tel dosage pour le traitement d’une maladie quelconque.

   » Manifestement, avant Peter Horby et Martin Landray, aucun médecin ni aucune équipe médicale n’avaient prescrit une telle dose d’hydroxychloroquine à un être humain.   » Dans l’étude « Recovery », les sbires des milliardaires mondialistes qui œuvrent à l’université d’Oxford que sont Martin Landray et Peter Horby, ont volontairement fait ce qu’il ne fallait pas faire tout en sachant pertinemment que cela pourrait tuer les patients.  
 » Nous sommes donc bel et bien en présence d’une « expérience médicale » extrêmement dangereuse pour les patients, le genre d’expériences qui ont été jugées en 1947 à Nuremberg lors du procès des « médecins » et fonctionnaires nazis. »



   Si l’actualité le permet, dans mon prochain article, j’aborderai à nouveau la question importante à laquelle chacun d’entre nous devrait réfléchir avant la survenue de l’euro numérique, celle de « l’État ».   Il s’agira d’une présentation sommaire des théories sur le sujet des principaux auteurs de l’école classique en économie.   Et je trouve cela passionnant.
Patrick Ledrappier  
Président co-fondateur  
Libre Consentement Éclairé

Source : Libre Consentement Éclairé

A lire également :

L’Express : Covid-19 : l’hydroxychloroquine responsable de 16 990 morts, un « scandale sanitaire »

L’Express, média « Mainstream » tente dans cet article de relancer la polémique sur un médicament qui depuis plus de 70 ans, en vente libre avant la Covid, n’a jamais posé problème. (6 milliards de traitement en un an)

Aujourd’hui, dans un dernier sursaut, « la Doxa » tente de se servir d’une partie de la vérité pour décrédibiliser ce médicament et justifier les décisions gouvernementales l’ayant classé dans les produits « dangereux ».

Oui c’est vrai l’hydroxychloroquine est responsable de 16 990 morts dans 6 pays mais aussi il faut voir dans quelles circonstances. Les deux médecins cités dans l’article de Libre Consentement Éclairé ci-dessus pourraient être poursuivi pour assassinat par les familles de ces 16 990 morts répertorié.

Nous sommes tous conscient qu’un médicament, quel qu’il soit, n’est pas un jouet et qu’il est facile de se suicider avec un surdosage.

Nous nous trouvons dans ce cas précis face à la même problématique de nos anciens assassinés dans les Ehpad au Rivotril. ( voir ce lien : RIVOTRIL )

Après les « Vaxxins » « SURS » à 95% qui se sont révélés ne protéger de rien, ni de la contamination ni de la transmission, mais qui par contre se révèlent être responsables de nombreux effets indésirables voir mortels, nos gouvernants sentent-ils les vents tourner ? Veulent-ils se justifier ou se décharger de leurs responsabilités et trouver des Boucs émissaires ?

Lire aussi : #Hydroxychloroquine: LES CHIFFRES SONT INVENTES ! Molimard et sa bande sont en passe de remplacer la call girl du Lancet gate

Je vous invite également à voir cette vidéo en entier. Aujourd’hui la « DOXA » n’a pas encore réalisé que nous savons maintenant ouvrir les yeux!

Entretien exclusif avec le professeur Didier Raoult

Sud Radio

4 janv. 2024 #SudRadio #LE_FACE_A_FACE

Source : Youtube

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