Le pangolin était-il américain ?

Introduction

Chers lecteurs, le temps de « philosopher » est révolu. Nous vivons actuellement et c’est tant mieux, le temps de l’apocalypse, c’est-à-dire, celui du dévoilement. Dans cette confusion apparente, les masques tombent, la vérité apparait au grand jour. Cette excellente nouvelle est la révélation que notre destin NOUS appartient. Il est temps, pour chacun de nous, de contribuer activement au futur de l’humanité.

Par « confort intellectuel », certains d’entre nous s’enfoncent dans leur avilissement et deviennent totalement soumis à ceux qui s’autorisent à manipuler la nature, les animaux et maintenant nos propres gènes. Il est temps de reprendre confiance en l’Être que nous sommes vraiment et d’agir individuellement, pour construire collectivement le merveilleux monde de demain.

L’objectif de ce blog, qui traite de « l’écume des choses », est de vous y aider. Si vous désirez être pleinement acteur de « l’ardente obligation » de changer vraiment ce monde, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques pour traverser avec profit la période actuelle, ce sera votre manière de m’aider très concrètement, à poursuivre mon travail et améliorer sa qualité.

Sujet du jour 

Souvenez-vous, entre avril et juin 2020, ce gentil petit mammifère qu’est le pangolin se voyait, selon des « études scientifiques », accusé d’être le responsable de la maladie  SARS-CoV-2, autrement dénommé « Corona-embrouillaminus ». Étant adhérent depuis mon plus jeune âge à la société protectrice des animaux (SPA), je n’ai pas pu imaginer un seul instant que le pangolin soit le vecteur de ce si dangereux virus.

C’est probablement la raison pour laquelle, dans les « Rendez-vous d’Hubert » du 16 janvier 2020… j’émettais des doutes :

 « Je n’ose penser…quoi que… cela soit une forme de guerre hybride entre les USA et la Chine ».

 Deux mois plus tard, en proie à une violente crise de « complotisme », j’écrivais :

« Le cataclysme majeur que représente le COVID-19 n’est pas naturel, comme je vous l’ai annoncé dans le numéro 8  de nos rendez-vous mensuels. Il ne cesse d’intriguer et il est probablement une arme dans le cadre d’une guerre bactériologique».

Vlatipas que le docteur Francis Anthony BOYLE, début février de cette même année 2020, déclare que le coronavirus de Wuhan 2019 est une arme de guerre biologique offensive et que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) le sait déjà. En avez-vous eu connaissance ? Pourtant ce Monsieur n’est pas « le complotiste du coin ». Il est professeur de droit international à l’Université de l’Illinois-College of LawDe plus, c’est lui qui a rédigé la législation nationale américaine de mise en œuvre de la Convention sur les armes biologiques.

En mai 2021, Nikolaï PATRUSHEV, secrétaire du conseil de sécurité russe, déclare que les États-Unis développent en secret des armes biologiques dans certains des laboratoires biologiques qu’ils financent un peu partout dans le monde. Toujours aussi « logiquement », cette information n’est pas reprise par notre « prestituée »… puisqu’elle émane des autorités russes. Pouvez-vous imaginer un seul instant que les USA puissent faire de pareilles choses… de surcroit illégales ?

Fin juillet 2021, une chaîne de télévision locale kazakhe « Channel One Eurasia », rapporte la mort massive et inattendue de bétail due à une maladie inconnue dans deux régions du Kazakhstan. Les soupçons concernant l’implication des laboratoires biologiques militaires américains dans l’émergence de maladies très étranges dans les pays où ces installations secrètes existent sont de plus en plus forts.

Cette expansion incontrôlée du réseau de laboratoires biologiques militaires secrets américains le long des frontières russes est un sujet de préoccupation non seulement pour Moscou, mais aussi pour de nombreuses républiques postsoviétiques.

Il est « normal » que nos merdias de grand chemin ne relaient pas ce genre d’information. Pensez donc… le Kazakhstan, c’est loin. De plus, ce doit être une propagande antiaméricaine primaire, inventée par POUTINE en personne !!! Pourtant, l’armée américaine produit régulièrement et depuis longtemps, des virus, bactéries et toxines mortels en violation directe de la Convention des Nations Unies sur l’interdiction des armes biologiques.

Comme vous le savez, il faut « laisser du temps au temps » et la vérité finit toujours par apparaitre au grand jour. Hélas, nous vivons une époque où est largement privilégiée l’instantanéité. Cela a pour conséquence de ne nous priver du recul et de la réflexion, pourtant indispensables afin de comprendre les choses et être en capacité de formuler des anticipations utiles.

L’actuelle guerre en Ukraine permet de mettre au jour de « bien curieuses choses ». Au cours de « l’invasion » de l’Ukraine, l’armée russe « découvre » l’existence de laboratoires biologiques militaires… financés par les États-Unis d’Amérique (j’y reviendrais). Bien sûr, nos chers merdias nationaux (et pas qu’eux) démentent cette information. Le Monde et ses « décodeurs de l’info » titre :

« Laboratoires américains en Ukraine : aux origines d’une théorie du complot ».

Le général Igor KONASHENKOV,  précise que les documents des laboratoires biologiques militaires US en Ukraine, attestent que le Pentagone menait des « travaux sur les agents pathogènes des oiseaux, des chauves-souris et des reptiles, avec une nouvelle transition vers l’étude de la possibilité de transporter la peste porcine africaine et l’anthrax ».

Le Kremlin annonce alors qu’il va publier les documents saisis dans les laboratoires biologiques états-uniens en Ukraine.

C’est certainement faux puisque tout cela vient de Vladimir Vladimirovitch POUTINE !!!

Mais la Chine y croit et du coup…son ministère des affaires étrangères demande officiellement au Pentagone (le ministère de la Défense US) de s’expliquer sur ses laboratoires biologiques à l’étranger.

Lors de son audition devant le Sénat américain, Victoria NULAND, sous-secrétaire d’État pour les Affaires politiques des USA, reconnaît que les États-Unis « collaborent » à des programmes de recherche d’armement biologique en Ukraine.

Panique à bord :

« L’ambassade américaine en Ukraine retire de son site Internet tous les documents concernant les biolabs financés par le Pentagone en Ukraine ». C’est ce qu’écrit la journaliste d’investigation Dilyana GAYTANDZHIEVA sur les médias sociaux. Le personnel de l’ambassade a oublié de retirer un document montrant que le Pentagone finance deux nouveaux biolabs à Kiev et à ODESA.

Je vous avais promis de revenir sur le financement… nous y voilà. Une des sociétés de Robert Hunter Biden, un des enfants du président américain, aurait fourni des capitaux à des entreprises à l’origine de la création de laboratoires biologiques en Ukraine. Tient, tient… il me revient que le 29 décembre 2019, j’écrivais :

« des investigations montrent que le candidat démocrate Joe Biden qui se présente contre « l’ami Donald » est mouillé… tout comme son fils Hunter, « jusqu’aux oreilles », dans des affaires ukrainiennes, disons… bien douteuses ».

Les abonnés des « Rendez-vous d’Hubert » ont eu la primeur ( le 16 octobre 2019), d’une information très complète sur les malversations du fils Biden en Ukraine et de l’intervention de son père auprès de Volodymyr ZELENSKY qui leur permet non seulement de comprendre ce qui se passe aujourd’hui, mais d’en tirer des anticipations réalistes. Merci qui ?

« Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire »

(Albert Einstein)

Chers lecteur, curieux de comprendre pour agir… ou pas, je vous aime et vous salue.

Source : Sérénité Patrimoniale

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