Le Nobel de la honte

Jusqu’où iront-ils dans le déni, le cynisme et l’ignominie ?  C’est la question que je me suis posée en découvrant, ébahi, que le Prix Nobel de Médecine 2023 venait d’être décerné à Katalin Kariko et Drew Weissman, les deux scientifiques dont les recherches ont permis le développement des vaccins anti-covid. Y a-t-il plus monstrueuse indécence que de récompenser ainsi une technologie à la base du plus grand scandale médical de l’histoire ? N’est-ce pas cracher abjectement sur les tombes des innombrables victimes ?  La semaine dernière, je mentionnais un article évaluant que 17 millions de décès pouvaient d’ores et déjà être attribués à l’injection expérimentale, ainsi que plusieurs études sérieuses avertissant que la contamination des fioles par de l’ADN bactérien perturbait gravement  le système immunitaire des inoculés et allait fort probablement contribuer à les envoyer prématurément au cimetière. Dans une nouvelle vidéo, le statisticien Pierre Chaillot pointe de son côté que les « vaccins » à ARN messager sont également soupçonnables d’être liés à un effondrement de la natalité dans les pays hautement vaccinés. Non seulement ces poisons fauchent massivement des vies mais ils empêchent la vie de se perpétuer ! Si ce n’est pas là le double et aveuglant indice d’une entreprise criminelle de dépopulation, je me demande ce qu’il faut pour faire tomber les œillères. En tout cas, les jurés norvégiens ne pourront pas dire que le signal d’alarme n’avait pas été tiré puisque de nombreux chercheurs et experts, telle la généticienne Alexandra Henrion-Caude, l’ont déclenché avant même que les campagnes vaccinales débutent et qu’ils réclament depuis deux ans la cessation immédiate des injections. Lors de son intervention au parlement Européen,  l’auteure du livre « Les apprentis sorciers » avait d’ailleurs énuméré que tout était faux et falsifié dans la liste des promesses faites par les savants fous manipulant l’ARN à des fins immunogènes. Ça vaut la peine de revisionner ce bref discours maintenant que les faussaires sont couverts de lauriers !

Une précipitation qui dit tout

Quand bien même le désastre post-vaccinal serait ignoré ou minoré à Oslo, le choix précipité des lauréats ne peut qu’interpeler. Dans son testament, Alfred Nobel avait exigé que sa fortune serve à primer des inventions conférant un « grand bénéfice pour l’humanité ».  Or pour juger qu’une découverte scientifique satisfait à ce critère, il est absolument nécessaire de laisser du temps au temps. D’ordinaire, le Nobel de Physiologie et de Médecine est décerné longtemps après la publication des travaux et le dépôt de brevets, parfois plusieurs décennies plus tard. Les jurés s’accordent  généralement un long délai pour examiner si la trouvaille scientifique présente un réel intérêt thérapeutique. Il y a cependant un regrettable et célèbre précédent:  en 1949, le neurologue Antionio Egas Moniz a été récompensé pour la mise au point de la leucotomie, technique « psychochirurgique » consistant à sectionner des parties du cerveau pour traiter les maladies mentales et qui a accouché de la lobotomie, destruction complète d’un lobe cérébral. Au cours des trois années qui ont suivi l’attribution du prix, des dizaines de milliers de patients ont ainsi été lobotomisés, c’est-à-dire psychiquement massacrés, sans que ce traitement charlatanesque apporte le moindre bénéfice pour leur santé. Le Comité Nobel n’aurait-il pas retenu la leçon ? Ou bien l’enjeu financier est tel qu’il leur fallait céder à la pression industrielle ? Leur empressement à couronner le vaccin anti-corona est en tout cas un magnifique cadeau offert à Pfizer et Moderna, les deux labos américains à la pointe des thérapies géniques. Pour l’anecdote, mais ce n’en est pas une,  Katalin Kariko travaille depuis 10 ans pour la firme allemande BioNtech, celle-là même qui a conçu le vaccin Comirnaty en collaboration avec Pfizer. Comme l’a expliqué le Dr Martin Zizi en toute fin de la récente visioconférence de l’association Bon Sens, il est important de savoir que la « plateforme à ARN messager » est le premier jalon d’une gigantesque révolution médico-scientifique souhaitée par Big Pharma. L’objectif de ce lobby, et surtout des deux labos US liés à l’armée américaine (et sans doute à la CIA) est ni plus ni moins de remplacer TOUS les médicaments et vaccins actuels par de nouveaux produits s’accaparant le plantureux marché médical mondial ! Même s’ils font semblant de se concurrencer et de se disputer des patentes, Pfizer et Moderna manœuvrent clairement de concert au profit de l’empire américain. Le but à peine caché est de dominer mondialement le secteur de la santé comme Meta domine les réseaux sociaux et Google domine Internet, deux autres sociétés qui n’auraient pas si bien réussi sans l’appui de la Central Intelligence Agency. On se réveille, les Européens ?

Un duo d’usurpateurs

En honorant Kariko et Weissmann, le jury du Nobel n’a pas seulement trahi sa propre éthique, il a également bafoué la vérité historique. Le véritable pionnier des vaccins à ARN n’est autre que le Dr Robert Malone, qui a littéralement été spolié de ses découvertes. Comme le raconte le Dr Midwestern dans son dernier billet Substack,  Robert Malone avait déjà déchiffré l’ARN messager et défriché ses usages médicaux au siècle dernier, lorsqu’il travaillait à l’Institut Salk et que cet établissement prestigieux avait créé une « start-up » biotechnologique pour passer à l’exploitation pratique. Malheureusement pour lui, Malone avait signé un contrat de confidentialité qu’il a scrupuleusement respecté et qui l’a privé ensuite du droit de propriété intellectuelle sur la technologie innovante. C’est ainsi qu’il s’est fait voler son bébé par les deux larrons aujourd’hui nobelisés qui ont pondu un article de synthèse dans une revue universitaire et obtenu de la sorte la paternité théorique de l’invention, ainsi que les brevets d’application. Outre de se laisser piéger par sa candeur, Robert Malone aura eu le tort de commettre une impardonnable erreur, celle de faire prévaloir sa conscience sur les avancées de la science. Non sans effroi, le chercheur a en effet réalisé que la manipulation de l’ARN et son encapsulage dans les nanoparticules lipidiques comportaient de graves dangers, ce qui l’a poussé à abandonner cette méthode périlleuse. Il a donc renoncé à la gloire et aux richesses pour respecter son serment de ne pas nuire mais c’est ce même souci d’humanité qui l’a poussé ces deux dernières années à se muer en lanceur d’alerte et en chef de file de la résistance chez l’Oncle Sam. Comme le narre encore le Dr Midwestern, Malone a vainement tenté d’informer le Comité Nobel et de le dissuader d’honorer les imposteurs apprentis-sorciers. Son échec atteste qu’il était visiblement écrit et planifié quelque part que la technologie génique devait bénéficier du prix annuel et ouvrir ainsi la voie à la «  grande réinitialisation » de l’industrie pharmaceutique.

De Nobel à Orwell

Qui sont les tireurs de ficelle ? Sans verser dans un complotisme échevelé, il crève les yeux que l’héritage d’Alfred Nobel a été détourné au profit d’intérêts politiques et financiers, voire militaires et géostratégiques situés Outre-Atlantique. Il n’est que de voir ce qui est advenu du prix Nobel de la Paix. Nominé à cinq reprises, le Mahatma Gandhi n’a pourtant jamais obtenu le prix qui aurait à l’époque desservi l’Empire colonial britannique et ses alliés américains.  En revanche, le très belliqueux Henri Kissinger, impliqué dans la genèse de la guerre au Vietnam, recevra le prix pour avoir contribué à mettre fin au conflit. Et que dire de la récompense reçue en 2009 par Barak Obama ? Tout fraichement élu président des USA, ce dernier a été primé sans qu’aucune action diplomatique en faveur de la paix, si ce n’est son vague engagement pour la non-prolifération nucléaire, ne puisse lui être créditée. Au contraire, ce russophobe maladif  a passé ses deux mandats à faire la guerre (Irak, Afghanistan, Libye, Syrie, Somalie…) , à bombarder des populations civiles (des dizaines de milliers de morts) et à faire lâchement assassiner les « ennemis de l’Amérique ». Dans son article, le Dr Midwestern nous rafraîchit aussi la mémoire à ce sujet :  dès qu’il s’est installé à la Maison Blanche, Obama a supervisé un programme d’assassinats par drones. Tous les mardis, il cochait personnellement les noms des personnes qu’ils voulaient voir ciblées et tuées. Ses collaborateurs appelaient ça les « mardis de la terreur ». Au total, le Prix Nobel de la Paix 2009 a autorisé 542 frappes de drones qui ont tué environ 3.800 personnes, dont 324 civils, ce qui incluait parfois les femmes et les enfants des « cibles ». Désolé pour ce décompte macabre, mais c’est seulement pour souligner à quel point la plus haute distinction honorifique a été pervertie et vidée de sa finalité pacifique.  Nobel, c’est désormais Orwell. C’est l’univers totalitaire imaginé, ou plutôt présagé, par l’écrivain visionnaire, et où toutes les valeurs sont inversées : « La guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force ». Pour moi, le sacre du vaccin ARN mensongèrement qualifié d’ « efficace » par le Comité Nobel procède précisément de cette épouvantable inversion de la réalité puisqu’un produit à l’évidence mortifère est salué comme un progrès pour l’humanité. Honte au collège de professeurs norvégiens qui ont ainsi failli à leur mission et démontré leur soumission à un agenda orwellien.

                                       Yves Rasir  


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Source : Neo Santé

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Fondées  à Bruxelles  au début  de l’année 2011, les Editions Néosanté exercent deux activités principales : l’édition de livres et la publication d’une revue mensuelle de santé globale, réalisée par des journalistes en collaboration avec des praticiens spécialisés en décodage des maladies.

Editeur responsable de la revue Néosanté,  Yves RASIR est journaliste indépendant depuis près de 40 ans. Initié à l’hygiénisme par le naturopathe André Passebecq, il a  eu la chance de rencontrer les grands médecins et chercheurs qui ont mis à jour le sens biologique des maladies (Henri Laborit, Ryke Geerd Hamer, Alain Scohy, Robert Guinée…) et de se former auprès de certains d’entre eux (Olivier Soulier, Claude Sabbah, Gérard Athias…). Fondateur et rédacteur en chef du magazine BIOINFO pendant 13 ans, il y a promu les premiers efforts d’information du grand public sur le nouveau paradigme médical.

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