L’accès aux données Coronavidesques.

Introduction.

Chers lecteurs, nous vivons une époque pleine de promesses, celle du dévoilement. En observant la confusion qui règne dans tous les domaines, nous constatons que « les masques tombent » et que la Vérité se fait jour. C’est une excellente nouvelle qui nous incite à prendre en main notre destin.

Je n’ai aucunement la prétention d’égaler le génie de Pierre DAC et de ses petites annonces, parues dans la revue « L’os à moelle » pendant la Seconde Guerre mondiale. Travaillant toujours aussi sérieusement, mais sans me prendre au sérieux, je vous propose d’aborder l’actualité économicopolitique et patrimoniale, de façon plus… légère.

La petite annonce du jour :

« Urgent : la caisse nationale d’assurance maladie recherche des « nègres ».

Faire offres de services au Sénat.

Les candidatures de personnes blanches, noires ou jaunes, sont acceptées».

le Docteur Laurent TOUBIANA est chercheur à l’institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) ainsi que fondateur et directeur de l’Institut de recherche pour la valorisation des données de santé (IRSAN). Il a déposé le 10 février 2022 une pétition ( 34 000 signatures), réclamant que le Sénat fasse procéder à une analyse de la mortalité toutes causes confondues en fonction du statut vaccinal des personnes.

Ces données existent dans le Système national des données de santé (SNDS). Leur divulgation permettrait de déterminer précisément la mortalité des personnes vaccinées et non-vaccinées par tranche d’âge. Nous pourrions ainsi savoir s’il existe ou non une relation entre la date de vaccination et la date de décès, faisant cesser toute polémique « complotiste ».

Cette demande, pourtant légitime et pleine de bon sens, a été refusée sans aucune justification par la commission sénatoriale chargée de « faire le tri » dans les pétitions. Les sénateurs sont très malins. Pour ne pas avoir à communiquer les données de la SNDS, et pour « répondre aux inquiétudes qui s’expriment »… ils ont demandé un rapport à l’office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST). Un « machin » dont le monde politique raffole. C’est une solution idéale pour « enterrer les affaires gênantes » ou bien « noyer le poison » .

Le 11 février 2017, je vous relatais le « travail remarquable » accompli par l’OPECST, dans le cadre de la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim (tient, tient, elle serait utile aujourd’hui). Le 4 juillet dernier, je vous contais par le menu, le lamentable « noyage de poisson » qu’était le rapport de l’OPECST relatif aux « effets indésirables des vaccins contre la Covid-19 et le système de pharmacovigilance français ». Mais que fait la société protectrice des animaux ???

N’accablons pas nos sénateurs ni les membres de l’OPECST. Je suis persuadé qu’ils sont prêts à rendre public un document contenant toutes les données relatives au « Z’injections ». Il s’agit juste d’une question de main-d’œuvre. En effet, extraire des millions de données des ordinateurs de la SNDS et constituer des fichiers exploitables est un travail Kôôôlossal. C’est pourquoi, comme certains auteurs littéraires, le sénat recrute des « nègres ». Afin de ne blesser personne, il est maintenant recommandé d’employer le terme « prête plume ».

« On ne peut pas dire la vérité à la télé : il y a trop de monde qui regarde »

(Michel Colucci dit Coluche)

Chers lecteurs, blancs ou de couleurs, je vous aime et vous salue.

Source : Sérénité Patrimoniale

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