La théorie des germes – Une erreur fatale

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par Dawn Lester.

La plupart des gens dans le monde pensent que le système de santé promu par les agences responsables de la santé publique, en particulier l’OMS, est solidement fondé sur des « données scientifiques fiables ». Ce système, connu sous le nom de « médecine moderne », est perçu comme représentant une branche « d’élite » de la science, ce qui laisse entendre que toute autre approche des soins de santé et de la médecine doit être une pseudo-science ou un charlatanisme. Cette attitude élitiste est inculquée aux étudiants en médecine au cours de leur formation, comme l’a vécu le Dr Carolyn Dean, qui explique dans son livre intitulé « Death by Modern Medicine » que :

« En fait, on nous a souvent dit que si nous ne l’apprenions pas à l’école de médecine, ce devait être du charlatanisme ».

Dans son livre intitulé « Confessions of a Medical Heretic », le docteur Robert Mendelsohn indique que la croyance dans « l’autorité » médicale est injustifiée. Il développe sa réflexion sur les problèmes de la « médecine moderne » en faisant référence aux similitudes entre les croyances, la religion et la « médecine moderne ». Il décrit le corps médical comme « l’église de la médecine moderne » et justifie cette description par l’affirmation suivante :

« La médecine moderne ne peut pas survivre sans notre foi, parce que la médecine moderne n’est ni un art ni une science ; c’est une religion… Il suffit de demander « pourquoi » suffisamment de fois et, tôt ou tard, vous atteindrez la limite de la foi ».

Ce sera sans doute un choc pour les gens de découvrir que la « médecine moderne » n’est pas fermement établie sur la base de la véritable « science ». L’expérimentation en laboratoire est certainement utilisée dans la médecine moderne, mais ce serait une erreur d’assimiler ces expériences à la « science », comme l’explique le Dr Peter Duesberg dans son livre intitulé « Inventing the AIDS Virus » :

« Le passage de la petite à la grande science a créé un ensemble de techniciens qualifiés mais de scientifiques médiocres, qui ont abandonné la véritable interprétation scientifique et qui assimilent même leurs expériences à la science elle-même ».

La vraie science est un processus ; c’est un processus qui implique l’étude de différents aspects du monde afin d’élargir le niveau des connaissances humaines ; elle implique également la création d’hypothèses et de théories pour expliquer les différents phénomènes observés au cours de ces investigations scientifiques. Au fur et à mesure que les différentes études progressent et que l’ensemble des connaissances s’accroît, elles peuvent révéler de nouvelles informations ou mettre en évidence des anomalies et des contradictions dans les hypothèses et les théories existantes. Dans de tels cas, il est essentiel pour les scientifiques, quel que soit le domaine qu’ils étudient, de réévaluer ces hypothèses et théories à la lumière des nouvelles découvertes ; un processus qui peut nécessiter des révisions ou des adaptations des théories en vigueur. Il peut même être nécessaire d’abandonner une théorie s’il est démontré qu’elle n’est pas étayée par des preuves empiriques.

L’une des principales théories sur lesquelles repose la « médecine moderne » est la « théorie des germes », une théorie qui prétend que les micro-organismes, en particulier les bactéries et les virus, envahissent et infectent le corps, provoquant ainsi des maladies. Cette théorie, qui est généralement attribuée à Louis Pasteur au début des années 1860, est à la base d’une grande et très importante partie des pratiques médicales ; sans elle, la plus grande partie de la médecine moderne devient superflue, ce qui explique pourquoi le corps médical refuse de reconnaître ses défauts majeurs. Le maintien de la théorie n’est pas une preuve irréfutable qu’elle est pleinement établie et représente la vérité. En fait, les recherches que nous avons menées pour notre livre, « What Really Makes You Ill ? Why Everything You Thought You Knew about Disease Is Wrong » [traduction française en cours], nous ont permis de découvrir qu’il n’y a pas de preuve pour soutenir les affirmations de la communauté médicale en ce qui concerne la « théorie des germes ». Le terme « communauté médicales » fait référence à toutes les personnes, organisations, industries et institutions universitaires et de recherche qui pratiquent, recherchent, enseignent, promeuvent et soutiennent de toute autre manière le système de la médecine moderne.

Il existe un principe fondamental selon lequel il incombe à ceux qui proposent une théorie d’en apporter la preuve. Or, dans le cas de la « théorie des germes », la « preuve » n’existe pas ; il n’y a pas de preuve scientifique originale qui prouve définitivement qu’un « germe » provoque une maladie infectieuse spécifique. Bien que cette affirmation soit considérée comme très controversée et même scandaleuse, sa véracité peut être démontrée.

Un certain nombre de sources corroborent l’affirmation selon laquelle la « théorie des germes » ne repose sur aucune preuve scientifique originale. L’une de ces sources est le docteur M.L. Leverson, qui, en mai 1911, a donné une conférence à Londres dans laquelle il a parlé de ses enquêtes qui l’avaient amené à la conclusion que :

« Toute la structure de la théorie des germes repose sur des hypothèses qui non seulement n’ont pas été prouvées, mais qui sont impossibles à prouver, et beaucoup d’entre elles peuvent être prouvées comme étant le contraire de la vérité. L’hypothèse de base de ces hypothèses non prouvées, entièrement due à Pasteur, est celle selon laquelle tous les troubles dits infectieux et contagieux sont causés par des germes ».

Le Dr M Beddow Bayly a également exposé l’absence de fondement scientifique de la « théorie des germes » ; dans son article de 1928 publié dans le journal London Medical World, il déclare que :

« Je suis prêt à soutenir, avec des faits scientifiquement établis, qu’en aucun cas il n’a été prouvé de façon concluante qu’un micro-organisme quelconque est la cause spécifique d’une maladie ».

Il est clair que les preuves à l’appui de la « théorie des germes » ont brillé par leur absence plusieurs décennies après qu’elle ait été proposée par Louis Pasteur. Cependant, la situation n’a pas été rectifiée ; la théorie des germes reste non prouvée et des preuves accablantes démontrent qu’elle reste également une erreur.

Bien que les affirmations de la communauté médicale selon lesquelles les « germes » provoquent des maladies fassent autorité, il n’existe aucune explication des mécanismes par lesquels les micro-organismes produisent la grande variété de symptômes, à des degrés d’intensité variables, qui sont censés se produire lorsqu’une personne est « infectée ». Cela représente une immense lacune dans les connaissances, bien que ce ne soit pas la seule que nous ayons découverte.

On prétend que les « germes » se multiplient dans les cellules de l’hôte et que cela peut précipiter un niveau excessif de « mort cellulaire » qui serait un indicateur de maladie. Il est communément admis que c’est le « germe » qui a provoqué la mort de la cellule ; mais c’est une hypothèse erronée. Il existe de véritables raisons pour lesquelles les cellules meurent après avoir été soumises aux procédures de préparation utilisées dans les expériences de laboratoire, comme l’expliquent Torsten Engelbrecht et le Dr Claus Köhnlein, docteur en médecine, dans leur livre intitulé « Virus Mania » :

« Ce phénomène est particulièrement virulent dans la recherche bactérienne et virale (et dans l’ensemble du développement pharmaceutique des médicaments) où les expériences de laboratoire sur des échantillons de tissus qui sont traités avec une variété de produits chimiques souvent très réactifs permettent peu de conclusions sur la réalité. Et pourtant, des conclusions sont constamment tirées – puis transmises directement à la production de médicaments et de vaccins ».

Cette explication expose l’erreur fondamentale qui consiste à mener des recherches en laboratoire sans une compréhension adéquate de l’organisme vivant qu’est le corps humain, comme ils l’affirment par la suite :

« Une autre question importante doit être soulevée : même lorsqu’un virus présumé tue des cellules dans une éprouvette (in vitro) … peut-on conclure sans risque que ces résultats peuvent être transmis à un organisme vivant (in vivo) ? »

L’hypothèse selon laquelle un « germe » particulier provoque une « infection » particulière repose uniquement sur l’affirmation que certains anticorps ont parfois été trouvés dans des échantillons prélevés sur des personnes présentant certains symptômes ; en d’autres termes, il semble y avoir une corrélation entre les symptômes et les anticorps.

Cependant, les anticorps, qui sont des protéines, sont décrits comme des particules qui neutralisent les « agents pathogènes » et aident à les éliminer de l’organisme, ce qui signifie qu’ils sont définis uniquement dans le contexte de la « théorie des germes ». Mais cette explication est très problématique. On prétend qu’un système immunitaire fort et pleinement fonctionnel est capable de détruire tous les envahisseurs ; les « agents infectieux » ne devraient donc pas se trouver dans le corps d’une personne ayant un système immunitaire fort. Pourtant, des micro-organismes dits « pathogènes » ont été découverts dans le corps de personnes en bonne santé. Cette situation s’explique notamment par le fait que certains agents pathogènes peuvent exister dans l’organisme à l’état « dormant ». Mais un système immunitaire fort ne devrait pas permettre la présence d’un quelconque agent pathogène, même à l’état « dormant ».

Dans une interview réalisée en 2005 pour le journal allemand en ligne Faktuell, le Dr Stefan Lanka a fait référence à ses études en biologie moléculaire et a affirmé avec audace que :

« Au cours de mes études, moi et d’autres n’avons pu trouver nulle part la preuve de l’existence de virus pathogènes ».

Au moment où nous écrivons ces lignes, en avril 2020, le monde serait en proie à une pandémie « mortelle » causée par un virus. Mais comme cet article et notre livre le révèlent clairement, il n’existe aucune preuve pour étayer ces affirmations.

L’objectif principal de cet article, est de montrer que l’on fait craindre aux gens quelque chose dont il n’a jamais été prouvé qu’il puisse causer du tort. C’est pour cette raison que nous invitons tous ceux qui lisent cet article à comprendre que la « théorie des germes » n’a aucun fondement scientifique réel. Il est maintenant temps que la vérité l’emporte et que la « théorie des germes » soit reconnue comme une erreur fatale qui doit être reléguée aux oubliettes de l’histoire.

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Références :

DEAN, C. – Death by Modern Medicine
DUESBERG, P. – Inventing The AIDS Virus
ENGELBRECHT, T & Köhnlein, C. – Virus Mania
LESTER, D. & Parker D. – What Really Makes You Ill? Why Everything You Thought You Knew About Disease Is Wrong
MENDELSOHN, R. – Confessions of A Medical Heretic

Dr ML Leverson MD May 1911 lecture http://www.whale.to/vaccine/shea1.html#Hume_
M Beddow Bayly MD MRCS LRCP, 1936 booklet The Case Against Vaccination
Dr Stefan Lanka – 2005 Interview in Faktuell http://www.whale.to/b/lanka.html

source : https://cv19.fr/

Source : Reseau International

 

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