La science accuse !

Est-ce un tournant dans la saga corona? Comme j’ai déjà annoncé des virages qui ne se sont pas vraiment produits, je ne vais pas trop m’avancer. Mais il me semble quand même que nous vivons un moment charnière en cette fin d’été : on voit des scientifiques de grande envergure sortir du bois et pointer un doigt accusateur sur les injections géniques expérimentales. Je ne parle pas des médecins lanceurs d’alerte ou des savants dissidents qui dénoncent depuis longtemps les « vaccins » covid  à travers des déclarations, des livres ou des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux. Je fais allusion aux chercheurs du sérail qui, sans faire trop de bruit, ont planché sur le sujet, joué le jeu de la science et publient à présent leurs travaux dans des revues de renom. Ces dernières semaines, sont sorties trois études dont les résultats et les conclusions devraient normalement secouer le Landerneau scientifique et parvenir à l’opinion publique car elles sont autant de pavés dans la mare vaccinaliste. Maintenant, plus personne ne pourra dire que la dangerosité des produits inoculés est une lubie de « complotistes antivax » puisque les procureurs sont souvent issus de grandes universités réputées, que leurs accusations sont fondées sur une méthodologie rigoureuse et que leurs réquisitoires paraissent dans des journaux habituellement favorables à la médecine vaccinale.

 La balance penche bien  dans le mauvais sens

Postée sur Science Direct il y a quelques jours,  la première étude embarrassante est triplement intéressante : elle a été acceptée par une prestigieuse publication à comité de lecture (la revue Vaccine), elle répond aux critères les plus élevés de l’Evidence Based Medecine (c’est une analyse actualisée des essais cliniques de phase III de Pfizer et Moderna, avec randomisation et contrôle contre placebo) et elle aboutit à la conclusion que les injections à ARNm  présentent des risques (très) supérieurs à leurs bénéfices. Les auteurs de ce travail ne sont pas n’importe qui puisqu’ils appartiennent à des universités américaines de top niveau (Stanford, Louisiane, Maryland, Los Angeles) et que le rédacteur final (Peter Doshi) est éditeur associé au British Medical Journal.  Intitulée «Événements indésirables graves d’un intérêt particulier après la vaccination ARNm COVID19 dans des essais randomisés chez les adultes », l’étude confirme ce que les analyses officielles de la FDA avaient déjà détecté sur base des  données fournies par les laboratoires : les injections géniques entraînent un risque élevé d’infarctus aïgu du myocarde, d’embolie pulmonaire, de thrombocytopénie immunitaire et de coagulation intravasculaire disséminée, ces trois derniers types d’événements attestant de troubles de la coagulation. Ce type d’événement indésirable est 6%  plus fréquent chez les injectés Moderna et 36% plus fréquents chez les injectés Pfizer par rapport aux non-vaccinés. Mais l’analyse universitaire  indépendante va plus loin puisqu’elle suggère que l’impact  sanitaire de ces troubles sanguins annule et renverse l’avantage présumé de se faire vacciner.  Dans l’essai Moderna,  l’excès de coagulopathies sévères (15,1 pour 10.000 participants) était en effet  trois fois supérieur à la réduction  du risque d’hospitalisation pour Covid-19 par rapport au groupe placebo (6,4 pour 10.00 participants). Et dans l’essai Pfizer, l’excès  de désordres sanguins graves (10,1 pour 10.000) était quatre fois supérieur au risque d’évolution sévère de la maladie (2,3 pour 10.000). Dans leurs conclusions, les chercheurs notent que de nombreuses  données  sont toujours inaccessibles et que ce manque de transparence a contrarié leurs investigations, sous-entendant  ainsi que les dommages du vaccin pourraient l’emporter sur ses bénéfices de manière encore plus décisive.

 C’est la jeunesse qu’on assassine

En introduction de la seconde étude accusatrice récemment publiée aux États-Unis, vous pouvez vérifier que les auteurs ne sont pas non plus des bras cassés ou des pieds nickelés : ils émargent tous au gratin universitaire anglo-saxon (Oxford, Harvard, Washington…) et même à la Johns Hopkins University, celle-là même qui a trempé dans la répétition plandémique mise en œuvre par Bill Gates et le Forum Économique Mondial en octobre 2019. Ces distingués professeurs se sont inquiétés du fait que de nombreux étudiants  américains risquaient d’être chassés des auditoires s’ils refusaient la troisième dose et ils se sont penchés sur la balance bénéfices/risques des injections dans cette catégorie d’âge. Fondée sur les données des fabricants et sur les chiffres officiels des CDC américains, leur analyse aboutit à un verdict accablant : chez les jeunes de 18 à 29 ans, le vaccin anticovid est de 18 à 98 fois plus dangereux que le virus ! Et encore, ce calcul a été établi dans l’hypothèse où les étudiants n’auraient pas déjà contracté la maladie. Chez ceux, majoritaires,  qui sont déjà immunisés par l’infection, l’administration du booster serait encore moins favorable. Non contents de mettre ce non-sens en évidence, les chercheurs  ont formulé 5 raisons pour lesquelles ils jugent « contraire à l’éthique » l’obligation vaccinale pour les jeunes : 1) Il n’existe pas d’évaluation formelle des risques et avantages pour cette classe d’âge ; 2) La vaccination obligatoire peut entraîner un « préjudice net » dans cette partie de la population ; 3) Les dommages attendus ne sont pas compensés par des avantages pour la santé publique étant donné l’efficacité modeste et transitoire des vaccins contre la transmission ; 4) L’obligation vaccinale américaine viole le principe de réciprocité car les préjudices graves ne sont pas indemnisés de manière fiable ; 5) La vaccination sous contrainte crée un préjudice social supérieur à ses avantages supposés en termes de socialisation ou de sentiment de sécurité. Bref, les profs sont remontés contre les « mandats vaccinaux », comme on dit là-bas, et ils expriment leur opposition avec des arguments difficilement réfutables. Ce qui est assez remarquable, c’est que les enseignants se posent en boucliers des étudiants dont ils défendent la santé et la liberté. J’imagine mal que cette situation insolite soit totalement tenue sous le boisseau de ce côté-ci de l’Atlantique.

Les preuves dans le sang

 Effectuée en Italie et publiée dans l’IJVTPR (International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research),  la troisième étude qui pourrait changer le cours des choses est à mon avis la plus explosive car elle se penche – enfin ! – sur les ingrédients secrets  des vaccins trouvés dans le sang des injectés.  Certes, ça fait deux ans que des spécialistes indépendants ont obtenu des fioles et braqué des microscopes électroniques sur leur contenu. Ils y ont découvert des éléments suspects interprétés tantôt comme des vers parasites, tantôt comme de l’ADN synthétique, ou encore des nanomatériaux à base de graphène. Récemment, encore,  des scientifiques allemands ont découvert des composants métalliques très inhabituels dans tous les vaccins analysés. Mais outre le fait que ces travaux ne sont pas publiés dans des journaux peer review, on peut facilement leur objecter que les récipients ont pu être contaminés accidentellement ou volontairement. Ce qui est plus troublant, c’est de trouver des corpuscules manifestement apportés par les vaccins dans des échantillons sanguins. Et ce qui est encore plus convaincant, c’est de procéder à des analyses comparatives  sur sang vivant fraîchement prélevé chez des injectés et des non-vaccinés. Quelques experts l’ont fait de par le monde et leurs images impressionnantes ont parfois  échappé à la censure sur internet. Pour ma part, je ne les ai jamais relayées car j’attendais qu’une étude scientifique digne de ce nom soit publiée. Ce jour est arrivé car il me semble que la recherche italienne présente toutes les garanties  de sérieux  et que les photos sont suffisamment éloquentes. Je vous en ai  traduit le résumé :  « Dans la présente étude, nous avons analysé au microscope optique à fond noir la goutte de sang périphérique de 1006 sujets symptomatiques après inoculation d’une injection d’ARNm (Pfizer/BioNTech ou Moderna), à partir de mars 2021. Neuf cent quarante-huit sujets (94% de l’échantillon total) ont présenté, un mois après l’inoculation de l’ARNm, une agrégation des érythrocytes et la présence de particules de formes et de tailles diverses dont l’origine n’est pas claire. Chez 12 sujets, le sang a été examiné avec la même méthode avant la vaccination, montrant une distribution hématologique parfaitement normale. Les altérations constatées après l’inoculation des injections d’ARNm renforcent la suspicion que les modifications sont dues aux “vaccins” eux-mêmes. Nous rapportons 4 cas cliniques, choisis comme représentatifs de l’ensemble de la série de cas. D’autres études sont nécessaires pour définir la nature exacte des particules trouvées dans le sang et pour identifier les solutions possibles aux problèmes qu’elles causent manifestement. » En bref, il y a indubitablement dans les vaccins géniques de mystérieux composants – l’ARN messager et la  protéine spike ont trop bon dos –  qui altèrent la qualité du sang et qui sont très possiblement pathogènes. Et comme l’écrivent les auteurs, il est indispensable que ces « particules exogènes » soient identifiées, ainsi que leur solution. On verra si cet appel fera écho dans les labos mais en tout cas, les covidistes ne pourront plus dire qu’il s’agit là de purs fantasmes conspirationnistes. Et ça, c’est déjà un fameux tournant.

Yves Rasir

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Source : Néo Santé

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