La mort de deux vaillants soldats des forces spéciales

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… La mort de deux vaillants soldats des forces spéciales a suscité chez moi une colère qui gronde et ne cesse de s’amplifier… Deux soldats d’élite tués en échange de la vie de deux homos qui n’avaient rien à faire dans cette partie du globe déconseillée et infestée de terroristes islamistes… Ces deux là, Patrick Picque et Laurent Lassimouillas, venaient de se marier et étaient en voyage de noce lorsqu’ils ont été enlevés le 1er mai alors qu’ils roucoulaient dans le parc national de la Pendjari, dans le nord du Bénin… N’y-a-t-il pas là une disproportion inconvenante dans le dénombrement et le choix des victimes ? Par cette opération d’exfiltration des otages (insuffisamment préparée car trop hâtive), Macron voulait réaliser un coup d’éclat afin de redorer son blason et assurer, ainsi, la victoire de ses acolytes aux Européennes… Cela s’est traduit pas un tragique fiasco qui va, assurément, marquer à jamais le moral de nos troupes en OPEX… Mourir pour défendre la Patrie : OUI ! Mourir pour sauver deux hurluberlus en vacances qui n’ont que faire du patriotisme : NON ! Jamais !

Monsieur Macron, vous spéculez sur l’héroïsme et la vie de nos soldats : prenez garde à la colère des Légions !

José CASTANO

 

Lettre de Marcus Flavinius, centurion à la 2ème cohorte de la légion Augusta adressée à son cousin Tertullus à Rome :

 

« On nous avait dit, lorsque nous avons quitté le sol natal, que nous partions défendre les droits sacrés que nous confèrent tant de citoyens installés là-bas, tant d’années de présence, tant de bienfaits apportés à des populations qui ont besoin de notre aide et de notre civilisation.

Nous avons pu vérifier que tout était vrai et, parce que c’était vrai, nous n’avons pas hésité à verser l’impôt du sang, à sacrifier notre jeunesse, nos espoirs. Nous ne regrettons rien mais, alors qu’ici cet état d’esprit nous anime, on me dit que dans Rome se succèdent cabales et complots, que fleurit la trahison et que beaucoup, hésitants, troublés, prêtent des oreilles complaisantes aux pires tentations de l’abandon et vilipendent notre action.

Je ne puis croire que tout cela soit vrai et, pourtant, des guerres récentes ont montré à quel point pouvait être pernicieux un tel état d’âme et où il pouvait mener.

Je t’en prie, rassure-moi au plus vite et dis-moi que nos concitoyens nous comprennent , nous soutiennent, nous protègent comme nous protégeons, nous-mêmes, la grandeur de l’Empire.

S’il devait en être autrement, si nous devions laisser en vain nos os blanchis sur les pistes du désert, alors que l’on prenne garde à LA COLERE DES LEGIONS ».

Source : José CASTANO

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