Jocelyne Chassard, Professeure certifiée en Documentation depuis 32 ans, s’adresse à Elise Lucet

De Jocelyne Chassard,

Citoyenne de la République française depuis 61 ans,

Professeure certifiée en Documentation depuis 32 ans,

Lanceuse d’alerte, depuis 7 longues années, contre le Harcèlement moral dans l’Éducation nationale et spécifiquement dans le rectorat de Reims,

à Élise Lucet,

Citoyenne de la République française depuis 59 ans,

Journaliste ayant eu le courage de présenter, le 27 mars 2000, l’émission Viols d’enfants : la fin du silence ?

Madame,

Vous m’avez plusieurs fois notifié avoir lu mes récents courriels relatifs au double scandale que je dénonce :

  • le harcèlement moral délibéré de plusieurs hiérarques du rectorat de Reims à mon encontre depuis le 1er juillet 2016 : il a abouti à 2 révocations iniques que je conteste devant 2 juridictions administratives ;
  • le déni de justice de 2 membres de ces juridictions : le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne (51) et la cour administrative d’appel de Nancy (54), qui sont objectivement complices du rectorat de Reims.

Je viens de déposer contre le rectorat de Reims une plainte pénale pour Dénonciation calomnieuse et Harcèlement (cf. PJ) et j’accuse de nouveau les 3 hiérarques qui m’ont délibérément prise pour cible depuis 7 ans :

  • Hélène Insel, rectrice de l’académie de Reims entre 2016 et 2019, actuelle rectrice de l’académie de Grenoble,
  • Delphine Viot-Legouda, DRH du rectorat de Reims entre 2016 et 2018, actuelle secrétaire générale de l’académie de Paris,
  • Cyrille Bourgery, DRH du rectorat de Reims depuis 2018.

J’ai joint à ma plainte les témoignages de 8 autres personnels qui ont subi, entre 2016 et 2021, la maltraitance ou le harcèlement de chef.fes d’établissement protégé.es par les 3 hiérarques précité.es.

Vous trouverez dans la vidéo ci-dessous un petit exemple de la responsabilité de Delphine Viot-Legouda, alors DRH du rectorat de Reims, envers la gestionnaire Géraldine Vitry, qui a subi en 2016 au collège de Grandpré le harcèlement de la principale remplaçante Nathalie Holas-Maufrais, contre laquelle j’ai porté (sans succès) plainte le 1er juillet 2016.

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