Introduction au phénomène de harcèlement en réseau en Europe 

Publié par ozlecarolo Publié dans conspiration, Politique Étiquettes :FBI, gangstalking, GLADIO, Harcèlement en réseau, OTAN

Dans un précédent article, nous avions présenté la cybertorture et y avions ainsi définit ce qu’est le harcèlement électromagnétique. Nous y avions également présenté brièvement le harcèlement organisé ou harcèlement en réseau appelé « gangstalking » dans le monde anglophone.

Bien qu’à différents niveaux, ce soit reconnu par les instances des états de l’OTAN, cela reste fortement méconnu aux yeux de la population car il se pourrait bien que sa prise de conscience ébranle les fondations des « démocraties » dites Occidentales dont la réputation a été fortement entachée par la crise covid.

En effet, si avec celle-ci et auparavant celle des gilets jaunes, les citoyens se sont heurtés à la brutalité des forces de l’ordre, la nature tyrannique des états de l’OTAN était en réalité découverte depuis le scandale des réseaux gladio et du programme cointelpro Américain dont les techniques étaient proches de celles de l’union soviétique et du stasi (service de sécurité) de l’Allemagne de l’Est. Cette dernière avait mis en place une méthode nommée « zersetsung » (décomposition) dont les objectifs étaient la fragmentation, paralysie, désorganisation et isolation des citoyens jugés subversifs. Dans la pratique c’était une persécution par les services secrets visant à nuire à l’image des cibles et l’empêchement de s’épanouir socialement et professionnellement.

Le harcèlement en réseau lui-même peut être défini comme une campagne de harcèlement psychologique et physique par les services de renseignement des pays développés, elle consiste en l’utilisation accrue de techniques de surveillance et d’actions pour terroriser la cible et ainsi soit la pousser à agir d’une certaine manière soit la détruire moralement jusqu’à la pousser au suicide. Parmi les actes les plus barbares il y a l’agression directe, les accidents routiers prémédités, l’intrusion à domicile, le cambriolage, le harcèlement de quartier, de police, au travail, téléphonique, le cyberharcèlement, l’interception de courrier et de colis, le tapage nocturne ou diurne, l’abus de pouvoir administratif et judiciaire, la traque automobile ou piétonnière, le sabotage de biens (maison, voiture etc.), le piratage informatique, l’empoisonnement, le viol et le meurtre. La diffamation est monnaire courante et les victimes voient leurs réputation injustement tachées de calomnies, ce qui les ruine sur tout les plans, cela peut aller jusqu’à la mise en « liste noire » de l’état. Évidemment, les seuls agents du renseignement ne sont pas suffisants pour exécuter tout ce travail, d’où le recours à des mafias locales infiltrées pour une opacité optimale. Plusieurs victimes pointent également des sociétés secrètes telles que les franc-maçons. Les mécanismes d’entrée dans l’œil du cyclone sont complexes, étant donné de l’existence d’une spirale politico-mafieuse et de la gangrénation de la société, cela peut aller du conflit de voisinage à un commentaire négatif sur une personnalité ou un groupe politique dans les réseaux sociaux. Certaines victimes avancent également être victime depuis leur naissance. Parmi les cibles, beaucoup semblent avoir un QI élevé et avaient initialement de belles perspectives d’avenir.

Il est chose courante que lorsqu’une victime de l‘un de ces actes entreprend des démarches auprès de la police, elle soit redirigée vers la psychiatrie et malheureusement il n’est pas rare que le diagnostic de paranoïa soit hâtivement établi ou qu’un psychiatre proche de l’état profond la piège dans les griffes de son service et du lobby pharmaceutique.

Les victimes qui peuvent aller de l’innocente dame par sadisme ou erotomanie au lanceur d’alerte se retrouvent ainsi isolées, diffamées, sans perspectives d’emploi, terrifiées du monde extérieur et désespérées, beaucoup deviennent suicidaires, certaines emboîtent le pas.

Aux États-Unis, des haut gradés du FBI (Bureau Fédéral d’Investigation – police judiciaire et renseignement) ont dénoncé et documenté les activités de ciblage et de harcèlement en réseau en son sein. Le premier est Ted Gunderson qui dirigea plusieurs bureaux dont celui de Los Angeles, en lien son affidavit (écrit dans lequel on déclare solennellement devant une personne autorisée par la loi que les faits qui y sont énoncés sont vrais). Il est décédé peu de temps après cela.

L’agent du FBI Ted Gunderson

Toujours aux États-Unis ,le second pionnier de la divulgation est Geral Sobee agent du FBI et magistrat, il a également rédigé un affidavit il cite ces différentes techniques de ciblage et de harcèlement en réseau :

  • Agression par armes électromagnétiques à énergie dirigée (cybertorture)
  • Surveillance 24/7
  • Attaques chimiques
  • Psy-ops
  • Agression physiques
  • Tentatives de meurtre
  • Investigations frauduleuses
  • Élimination de preuves
  • Obstruction à la Justice
  • Chantage
  • Extorsion
  • Emprisonnement illégal
  • Surveillance électronique
  • Cambriolage et car-jacking
  • Destruction de propriété privée
  • Implantation d’appareils électroniques
Déclaration de l’agent du FBI Geral Sosbee sur l’harcèlement en réseau

Dans la francophonie les principaux dénonciateurs sont Nicolas Desurmont, consultant en criminologie qui y a dédié une étude nommée « Vers une problématique du harcèlement criminel en réseau. » et Josselyne Abadie, consultante en éthique qui a rédigé le document « du harcèlement en réseau au harcelement global ».

Cette dernière nous apprend qu’au niveau de la législation, aux États-Unis le premier état à voter une loi a été la Californie en 1990 en raison de plusieurs cas très médiatisés de traque, dont en 1982 la tentative d’assassinat de l’actrice Theresa Saldana et l’assassinat de l’actrice Rebecca Schaeffer en 1989. En 1990, la Police de Los Angeles à créé la première unité spéciale de gestion des menaces. Dans les trois années qui ont suivies chaque État aux États-Unis a créé le délit de harcèlement, sous différents noms tels que le harcèlement criminel ou de menace criminelle. Le Canada a mis en œuvre une loi avec une méthodologie d’accompagnement et d’analyse de ces cas ainsi que des sanctions allant jusqu’à des peines de prison de 10 ans. La Belgique , l’Italie, le Luxembourg, l’Allemagne, la Norvège, la Suisse, et d’autres légifèrent également ou au moins informent. La France n’a rien mis en place actuellement ; seul un projet de loi existe qui semble plus que léger et pose question quant aux réelles possibilités d’application qu’il offrirait si cette loi était votée. En l’absence de loi spécifique il est encore plus difficile d’opérer une qualification pénale et les victimes n’obtiennent ni la reconnaissance du crime ni réparation.

Bien évidemment la corruption policière constitue un obstacle à l’implémentation de ces législations et la majorité des plaintes sont classées sans suite ou mènent comme énoncé plus haut à la psychatrie.

Ainsi des milliers, peut-être des millions d’innocents individus se retrouvent victimes d’un haut crime contre l’humanité et voient leurs vies détruites. Elles se regroupent sous l’appellation d’individus ciblés ou en anglais targeted individuals mais n’arrivent pas à s’élargir à de plus grands groupe de crainte d’être à nouveau harcelées. Les médias dominants font la sourde oreille sur cette problématique et seuls certains médias alternatifs parfois donnent y donnent du crédit.

Pour terminer sur une note positive tout les citoyens réfractaires ne doivent pas craindre de subir l’entièreté de ces attaques car elles se font essentiellement sur des personnes facilement isolables.

Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste citoyen victime de harcèlement électromagnétique en réseau

Source : Ozlecarolo

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