Gendarmes, policiers : derrière l’uniforme, l’être humain que vos enfants regardent
À vous, gendarmes et policiers, femmes et hommes sous l’uniforme,
Ce texte s’adresse à l’être humain que vous êtes, à celui ou celle qui enlève l’uniforme le soir, quand le bruit retombe et que le silence s’installe. À ce moment où il n’y a plus de collègues, plus de hiérarchie, plus d’ordres à exécuter, seulement vous, vos pensées, et ce que vous ramenez avec vous. À ce parent qui retrouve ses enfants, aide à faire les devoirs, prépare le repas, rassure quand il y a peur, tente de transmettre des valeurs dans un monde devenu confus. À ce parent qui sait, au fond de lui, que les enfants comprennent bien plus que ce que l’on croit, et qu’un jour ils poseront les vraies questions.
Ce qui se déroule aujourd’hui n’est pas une simple suite d’opérations administratives. Ce sont des actes qui marquent une vie. Lorsque des troupeaux sont détruits sans nécessité démontrée, lorsque des animaux sont abattus par centaines, lorsque des familles sont humiliées, ruinées, réduites au silence, ce sont des crimes. Des crimes contre l’espèce animale, mais aussi des crimes contre la Nation tout entière, contre son équilibre, contre sa capacité à se nourrir, à transmettre, à rester debout. Et ces crimes ne sont pas abstraits : ce sont des êtres humains qui les vivent, qui les voient, qui parfois y sont mêlés malgré eux, et qui devront vivre avec cela bien après que les ordres auront été oubliés.
On vous demande de faire l’impensable. On vous demande d’exécuter des ordres émanant de gouvernements, de parlementaires, d’autorités qui ne verront jamais ce que vous voyez. Ils ne verront jamais le regard d’un éleveur quand tout s’effondre. Ils ne verront jamais les enfants qui pleurent parce qu’ils comprennent que ce qu’ils aiment disparaît. Ils ne porteront jamais le poids de ces images qui reviennent la nuit, ni cette sensation difficile à nommer qui pousse parfois à éviter le regard de ses proches. Pendant que vous êtes exposés, eux sont protégés.
Pendant que vous êtes sur le terrain, eux vivent à l’abri, mangent sainement, profitent des richesses, pendant que les biens, les savoir-faire et les fondements du pays sont méthodiquement détruits. Ils vous utilisent comme on utilise une force, un outil, parfois même une arme, contre votre propre peuple, puis se retirent sans jamais assumer ce que vous, vous portez.
Mais vous n’êtes pas des outils. Vous êtes des parents. Et un parent pense toujours à l’après. À ce que ses enfants verront, liront, entendront. Un jour, vos enfants apprendront ce qui s’est passé. Ils verront les images, les témoignages, les récits. Ils sauront que des troupeaux ont été abattus, que des familles ont été brisées, que des décisions injustes ont été appliquées. Et ils vous regarderont. Pas pour vous accuser avec dureté, mais pour comprendre. Pour savoir qui vous avez choisi d’être quand cela comptait vraiment.
Ce jour-là, ils ne vous demanderont pas si vous avez obéi. Ils ne vous demanderont pas si vous avez « fait votre travail ». Ils vous demanderont si vous avez été justes. Ils vous demanderont si vous avez su dire non à l’inacceptable. Non par la violence, non par la haine, mais par la fidélité à la vie, à la dignité, à ce qui fait une Nation humaine. Ils vous demanderont si vous avez su rester du côté de ce que vous leur aviez appris, du côté de l’humain, du côté de la conscience.
Imaginez ce moment. Imaginez le regard de votre enfant quand vous pourrez lui dire que vous avez refusé d’être utilisé pour des actes que vous saviez injustes. Imaginez la fierté silencieuse dans ses yeux quand il comprendra que son père ou sa mère a choisi l’humain plutôt que l’obéissance aveugle. Cette fierté là ne se donne pas par décret. Elle ne s’achète pas. Elle traverse le temps. Les institutions oublient vite. Les ordres passent. Les carrières s’achèvent. Les enfants, eux, n’oublient jamais.
Le peuple le sait. Il sait que beaucoup d’entre vous souffrent en silence, qu’ils portent des dilemmes que personne ne voit, qu’ils encaissent pour tenir. Il sait que vous aussi êtes touchés par les mêmes politiques, les mêmes renoncements, les mêmes atteintes au bien commun. Et il le dit clairement : vous n’êtes pas nos ennemis. Le peuple est prêt à accueillir celles et ceux qui choisissent de rester fidèles à la Nation, à la vie, à l’essentiel. Il est prêt à marcher avec vous, à vous regarder comme des frères et des sœurs, pas comme des adversaires.
L’histoire ne se souvient jamais des ordres. Elle se souvient des consciences. Elle se souvient de celles et ceux qui, au moment décisif, ont pensé à leurs enfants et ont refusé de trahir l’humain. Vous avez ce choix. Et ce choix, vos enfants le verront. Ils s’en souviendront.
Vous n’êtes pas seuls. Le peuple est là. Il vous voit, il vous comprend, et il est prêt à vous accueillir.

Excellente intervention de ce monsieur en soutien de nos agriculteurs
Affiche publiée par Sébastien Béraud
Nous avons cinq années de recul pour décrypter le mode opératoire hautement criminel du pouvoir politique, aidé en cela par son administration, les scientifiques, soignants et vétérinaires et les médias.
Comme nous l’avons vu avec le Covid, très peu dangereuse et létale. Ces criminels internationaux créent une maladie, la font qualifier « pandémie » par l’OMS corrompue pour installer la peur et la soumission. La finalité étant la vaccination ARNm qui fut, est et sera un véritable carnage pour l’humanité.
Même mode opératoire pour le cheptel bovin (comme ce fut le cas avec la grippe aviaire pour les volailles). On prétend « scientifiquement » une maladie dangereuse alors qu’elle ne l’est pas, la DNC. Ce qui permet d’abattre le cheptel entier et ainsi atteindre les objectifs fixés par (entre autres) les tarés de Davos, la disparition des sources alimentaires naturelles, la faillite des paysans pour nous refiler une alimentation digne des gueux que nous sommes…
Il est vital pour les paysans comme pour nous de refuser cette vaccination ARNm qui va détruire le cheptel, le rendre impropre à la consommation et à l’exportation.

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