Gaza : du gaz sous l’eau = de l’eau dans le gaz !

INTRODUCTION 

Notre quotidien se déroule, avec ses hauts et ses bas. Notre monde s’écroule et beaucoup ne le voient pas. En prenant du recul, une fois cela comprit, s’ouvre pour chacun de nous, les perspectives d’une nouvelle vie. Loin du tourbillon médiatico-politique, retrouvons qui nous sommes vraiment.

Comprenons le sens de notre vie. Ici et maintenant, exploitons-le pleinement. Rayonnons notre puissance d’amour, pour surmonter cette période difficile. Nous pourrons ainsi aider, tous ceux qui doutent et s’interrogent encore. C’est la somme de nos actions individuelles, qui fera le bonheur collectif.

« Sois le changement que tu veux voir dans ce monde »
(Gandhi)

LA GUERRE DU GAZ FAIT RAGE

Je répète que la troisième guerre mondiale a commencé pendant la fin de la seconde, avec le débarquement « des alliés » de juin 1944. L’origine réelle de beaucoup de guerres, est l’objectif de s’emparer par la force, des richesses naturelles d’un pays.

Connaissez-vous la CNUCED ? C’est un organe intergouvernemental permanent, créé par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1964. Son siège est situé à Genève, en Suisse. C’est un des « machins » de la véritable « usine à gaz » qu’est l’Organisation des Nations unies (ONU).

Dans le cadre « des objectifs de développement durable, tels qu’ils sont définis dans l’Agenda 2030 », la CNUCED a une noble mission :

  • « Nous aidons les pays en développement à accéder plus équitablement et plus efficacement aux avantages d’une économie mondialisée. Et nous les aidons à s’équiper pour faire face aux inconvénients potentiels d’une plus grande intégration économique.
  • Pour ce faire, nous fournissons des analyses, facilitons la recherche d’un consensus et offrons une assistance technique. Cela les aide à utiliser le commerce, l’investissement, la finance et la technologie comme vecteurs d’un développement inclusif et durable».

Elle a rédigé en aout 2019, une étude de quarante-trois pages, intitulée : « Les coûts économiques de l’occupation israélienne pour le peuple palestinien: le potentiel gazier et pétrolier inexploité ». Dans ce document, elle nous apprend deux choses :

  • « Les géologues et les économistes spécialistes des ressources naturelles ont confirmé que le sous-sol du Territoire palestinien occupé recelait des réserves considérables de pétrole et de gaz naturel, notamment dans la zone C de la Cisjordanie occupée et le long de la côteméditerranéenne au large de la bande de Gaza ».
  • « La présente étude recense et évalue les réserves palestiniennes existantes et potentielles de pétrole et de gaz naturel qui pourraient être exploitées au profit des Palestiniens, mais qu’Israël les empêche de mettre en valeur ou exploiter pour son propre compte au mépris du droit international».

L’Autorité palestinienne s’est vu accorder le droit d’exercer sa souveraineté sur son propre territoire maritime par les accords d’Oslo en 1995. Quatre ans plus tard, à la suite de la découverte de gaz naturel offshore, elle a accordé à la société anglaise British Gaz (BG), une garantie de 25 ans et 90 % de participation dans une licence pour explorer, développer les champs découverts et installer l’infrastructure requise. Depuis lors, Israël a constamment bloqué ce développement.

Aujourd’hui, le « Vilain petit canard » … qui a toujours les yeux grands ouverts, nous apprend de bien curieuses choses, au sujet de ces réserves d’énergies, au large de Gaza :

  • « Le ministère israélien de l’Énergie a accordé des droits d’exploration à trois sociétés : le géant italien de l’énergie Eni, la société basée au Royaume-Uni Dana Energy et la société israélienne Ratio Petroleum, trois semaines après le début de la guerre à Gaza en octobre.
  • Des avocats représentant trois ONG palestiniennes : Al Haq, le Palestinian Centre for Human Rights et al-Mezan Center for Human Rights , ont notifié aux entreprises, dans des courriers envoyés début février, qu’ils utiliseraient « tous les mécanismes juridiques de manière exhaustive » si elles allaient de l’avant et leur ont demandé de renoncer à toute activité liée aux licences.
  • Israël avance que les frontières déclarées par les Palestiniens ne sont pas valides, soutenant que seuls les États souverains peuvent délimiter leurs frontières maritimes».

Voilà un autre aspect du conflit en Palestine, qui passe sous le radar des médias de grand chemin. C’est donc une affaire à suivre.

« La tolérance atteindra un tel niveau que les personnes intelligentes
seront interdites de toutes réflexions pour ne pas offenser les imbéciles »
(Fiodor Dostoïevski)

Chers lecteurs, utilisateurs de gaz, ou pas, je vous aime et vous salue.

POUR ALLER PLUS LOIN ET AGIR

 Vous avez pris conscience de la gravité de la situation et vous tenez à préserver votre patrimoine matériel et spirituel, du chao qui arrive.
Les rendez-vous d’Hubert vous permettent de bénéficier de mon expérience, pour anticiper et exploiter au mieux, l’évolution de la situation.
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Source : Sérénité Patrimoniale

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