G𝐎𝐔𝐕𝐄𝐑𝐍𝐀𝐍𝐓𝐒 𝐈𝐍𝐕𝐈𝐒𝐈𝐁𝐋𝐄𝐒 𝐄𝐓 𝐒𝐎𝐂𝐈𝐄𝐓𝐄𝐒 𝐒𝐄𝐂𝐑𝐄𝐓𝐄𝐒…

L’une de nos lectrices nous propose cette publication et nous l’en remercions:

Sur le site « Echelle de Jacob blogspot », il y a une video (un peu longue mais une mine d’informations) que j’ai trouvée intéressante. Il s’agit de la lecture du livre « Gouvernants invisibles et sociétés secrètes » de Serge Hutin.

Ceci vise à expliquer le fonctionnement caché très ancien du monde, la surface immergée de l’iceberg.

Elle a retranscris les dix premières minutes de lecture, soit trois pages que vous trouverez sous la vidéo .

DOCUMENTS RARES & INEDITS

Source : L’Echelle de Jacob

« Gouvernants invisibles et sociétés secrètes »

de Serge Hutin

(retranscrit d’après la video)

« En réalité de tous temps et maintenant plus que jamais, les sociétés secrètes mènent le monde.» (Pierre Marielle « L’Europe païenne du XXe s – page 170)

Chapitre 1 : « Dans les coulisses de l’Histoire.

Il existe au nord de Nice un étonnant édifice, la Pyramide de Falicon, étudiée par nos amis Robert Charroux, Guy Tarade et Maurice Guinguand. Cette pyramide repose au-dessus d’une double cavité souterraine dite «grotte de la Chauve-Souris», en dialecte niçois «della Rata Pignata». Ces salles souterraines sont des formations naturelles aménagées depuis une époque assez ancienne – le fait est indéniable – pour servir à des cérémonies magiques secrètes. Que la pyramide ait été édifiée sur ce sanctuaire souterrain n’est certainement pas un hasard.

Au solstice d’été le soleil, juste à son lever, illumine la paroi d’une des grottes et le reflet a exactement la forme d’un triangle, symbole évident de la Trinité divine. Le site de Falicon, est situé en un lieu où s’étaient installés les Templiers, et qui se trouve de plus à proximité du Mont Chauve, montagne associée dans les antiques légendes populaires niçoises, comme c’est le cas dans le monde entier pour les hauteurs qui portent ce nom, à d’ancestrales cérémonies magiques.

N’aurait-t-il pas été utilisé encore à une date très récente, selon une tradition orale rapportée par des amis niçois ? Le temple souterrain aurait servi, en plein XXe siècle, à célébrer des initiations secrètes de très haut degré. Peut-être faut-il supposer l’existence d’un passage secret qui partirait de la salle inférieure de la caverne de la Chauve-Souris pour aboutir tout au bas de la montagne jusqu’à un sanctuaire souterrain encore plus secret, aménagé entre les deux guerres. On pourrait alors se demander, simple hypothèse, de ma part, si le quadruple monument à l’épaisse porte blindée qui se trouve pas très loin de la Pyramide, en bas de la pente, bien dissimulée aux regards des promeneurs, ne pourra pas être l’autre accès à ce souterrain secret.

Aleister Crowley connaissait très certainement toutes les dispositions de l’ensemble rituel du tunnel de Falicon, n’allait-il pas vers 1930 diriger en personne de grandes cérémonies magiques ?

L’Histoire a-t-elle un un sens ? Le déconcertant spectacle du tourbillon vertigineux des affaires humaines, les incessants bouleversements qui se sont produits au long des siècles nous amènent volontiers à nous demander si le déroulement historique lui-même a un sens. On connaît le mot de Shakespeare « l’histoire de fous racontée à d’autres fous », mais vu de haut l’ensemble apparemment chaotique ne peut-il pas prendre un sens cohérent ? On pourrait, à propos des communautés humaines et de l’humanité toute entière, avoir recours à l’image simple de la fourmilière : les fourmis nous semblent errer au hasard selon une activité fébrile et désordonnée alors qu’en fait toutes les actions individuelles concourent à un but commun dont les constantes sont déterminées de manière rigoureuse par l’âme collective de la fourmilière.

Le premier facteur à considérer est la situation géographique des divers Etats. Ce n’est pas un hasard si des ensembles comme la Lotharingie ou le Duché de Bourgogne, qui s’étendait des Flandres à la Bourgogne proprement dite, ont pu subsister longtemps alors que la France au cours des siècles a tenu à obtenir sa forme optimale celle, comme on dit, de l’Hexagone : c’est parce que ses « frontières naturelles » formaient un ensemble géométrique harmonieux.

Autre facteur, plus profond encore, l’ensemble psychique actif et structuré – l’égrégore selon la terminologie occultiste – formé par les divers peuples. Chacun porterait en lui au départ ses possibilités plus ou moins grandes de réussite, mais il convient alors de faire intervenir l’action de l’égrégore de l’humanité dans son ensemble.

Si on tente d’examiner l’histoire humaine du point de vue de Sirius, c’est-à-dire du point de vue le plus impersonnel et le plus général possible, on distingue alors une oscillation plus ou moins accentuée, parfois très violente mais sans jamais que l’un de deux termes soit complètement supprimé par l’autre entre deux pôles extrêmes : d’un côté l’équilibre, une organisation synthétique, une ordonnance totale, harmonieuse, et l’opposé, le chaos total, la désorganisation, la dissolution.

Ce second terme est-il vraiment l’effet du hasard, et le déchaînement des forces chaotiques n’obéit-il pas lui-même à des actions directrices précises ?

Un éminent auteur anglais, Robert Pain, a publié en 1951 chez l’important éditeur londonien Wingate un ouvrage intitulé « Zero, the story of terrorism » (« Zéro, l’histoire du terrorisme ») il s’était efforcé d’y montrer que derrière l’usage systématique de la terreur par les différentes formes de régimes totalitaires sans exception, on trouvait toujours le même noyau occulte qui manie savamment à l’ombre les gouvernements visibles, cette arme terrible, arme systématique qui dépassait donc de beaucoup la simple volonté individuelle ou collective justifiée de se venger d’ennemis et les empêcher de nuire.

Dès la publication du livre, se produisit une série de coïncidences bien curieuses. Avant la mise en vente de mystérieux émissaires achètent tout le stock disponible… Malgré le caractère sensationnel des révélations qu’apportait l’ouvrage, aucune critique ne paraît dans la grande presse. La maison Wingate, l’une des plus solides du marché londonien, se trouve brusquement acculée à la faillite, des hommes meurent mystérieusement quelques mois plus tard. Il ne pouvait pas s’agir en l’occurrence de divulgation de secret d’État, ni d’espionnage militaire ou industriel, l’ouvrage ne comportait aucune information de cette nature. La seule explication possible est que l’auteur avit découvert l’existence, à l’échelle mondiale de gouvernants occultes, au-delà même des grosses puissances financières qui ne jouent somme toute que le rôle subordonné de bailleurs de fonds.

Notre ami Jacques Bergier nous racontait un jour qu’il existe une série de questions dont il est absolument interdit à la presse de parler et dont la liste se trouve stipulée avec précision sur un petit carnet noir qui, quel que soit le régime politique du pays – car l’interdit est universel, mondial – se trouve remis à tout directeur d’un important organe de presse d’information, qu’il soit tributaire du grand capitalisme ou communiste.

Cependant, le fait même que des fuites aient pu se produire montre que les conditions qui prévalent aujourd’hui – ce qui marquerait selon de nombreux ésotéristes le passage de l’ère zodiacale des Poissons à celle du Verseau, rend désormais possible ce qui auparavant ne l’était pas.

Cependant, ne peut-on pas considérer que l’Histoire terrestre reflète les antagonismes, les équilibres temporaires, les affrontements successifs qui se déroulent sur un autre plan ?

Voici ce que remarque avec profondeur André Gautier-Walter «La Chevalerie et les aspects secrets de l’Histoire » : « l’Egypte est le reflet du ciel, est-il écrit dans le Livre d’Hermès. Ceci est vrai aussi pour toutes les nations lorsqu’elles sont devenues majeures, conscientes de leur destin et de leur mission envers elle-même et envers les autres.»

Se poserait alors à nouveau le problème de déterminer quel est le gouvernement idéal, problème qui se posait déjà à l’Antiquité, voir la République de Platon… Cet Etat idéal, faut-il le situer dans le passé lointain ou au contraire dans l’avenir ? Si on admet la justesse de la vision ésotérique traditionnelle des cycles, les deux réponses se révèleraient vraies ensemble : la fin d’un cycle, c’est à la fois l’Apocalypse au sens ordinaire du terme, et comme les destructions sont les conditions nécessaires de la régénération, le début d’un Nouvel Age d’Or.

Y-a-t-il des gouvernants inconnus ? Un célèbre homme d’État anglais du siècle dernier, Benjamin Disraeli, a écrit ces lignes significatives, je cite : « Le monde est gouverné par de tout autres personnages que ne l’imaginent ceux dont l’oeil ne plonge pas dans la coulisse ».

Déjà, à un niveau ordinaire, sur lequel paraissent assez souvent des informations accessibles à la grande presse, on s’aperçoit de la manière dont toutes sortes d’équipes peu voyantes et théoriquement subordonnées au gouvernement officiel, jouissent en fait de possibilités d’action autonome qui échappent à ces gouvernements. Les équipes technocratiques des administrations et des ministres sont puissantes et durables. Les ministres, voire les régimes, passent, les grands commis restent. Les services secrets et les polices parallèles jouent volontiers leur jeu personnel, complexe et enchevêtré, et les possibilités de la haute finance se situent, chacun le sait, au niveau international mais existe-t-il de véritables gouverannts invisibles ?

Le romancier André Hardellet dans son livre « Le Seuil du Jardin » écrit :

« Derrière les gouvernements qui se succèdent, vous avez dû sentir la permanence de certaines forces, de certains principes. Cette stabilité ne s’explique que par des puissances occultes qui en fait dirigent le pays. Changer le nom ou les étiquettes d’un parti ne signifie rien, et la foule se contente d’une façade. Je schématise naturellement, la réalité est plus complexe, des évolutions ont eu lieu, mais en gros les choses se passent bien ainsi. A côté du ministère officiel, il existe des organismes qui les doublent et dont le pouvoir les dépasse parfois. Je ne représente – c’est l’un des agents d’exécution du gouvernement occulte qui parle – qu’un rouage secondaire dans l’ensemble, je ne connais pas tous ceux qui travaillent dans le même sens que moi et j’ignore encore plus où aboutit le réseau des forces. Vous pouvez même supposer que personne ne détient l’autorité suprême, qu’elle émane d’une volonté commune ?»

Ceci est inscrit dans un roman, mais Hardellet s’inspire de faits réels dont il a eu connaissance. Il faudrait donc se représenter les organes du gouvernement occulte comme une série d’éléments emboités et superposés, les uns à l’échelle nationale, les autres qui dépassent même les distinctions de frontières. Chacun de ces éléments aurait un pouvoir absolu sur les instances qui lui sont inférieures mais serait lui-même totalement subordonné aux instances supérieures qu’il ne connaît que par le ou les individus chargés de faire la livraison. A supposer que des fuites et des divulgations aient lieu, aucun péril majeur, du fait du cloisonnement, ne pourrait jamais atteindre les instances supérieures. De plus les sanctions dans ce cas seraient tout à fait impitoyables, d’où le très petit nombre de trahisons…

(cf. la video)

Lien complémentaire proposés, par exemple vers la Pyramide de Falicon décrite au tout début du livre (il y a par ailleurs nombre de pyramides en France, dont beaucoup ont été détruites, au moins en partie) :

http://www.science-et-magie.com/GUIDEMYST/falicon.htm

Tout ceci a le mérite de mettre à jour un peu plus une vie parallèle dans le monde, qui dirige le monde depuis la nuit des temps.

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