État d’urgence permanent : les Français voteront pour celui qui y mettra un terme

Le Sénat a tranché : imposer aux Français un vaccin dont la sécurité n’a pas été évaluée serait illégal. Comment comprendre dans ce contexte le maintien d’un dispositif d’incitation à la vaccination alors que l’on sait aujourd’hui que l’immunité collective est un mythe et que nous sommes condamnés à vivre avec le virus ?

Le Covid n’est plus qu’une ombre qui se dissipe : la mortalité régresse dans le monde de manière constante depuis 11 mois, le seuil épidémique n’a pas été atteint depuis 10 mois, le nombre d’admissions journalières est de 20. On enregistrait 5 décès dans la journée du 15/10/2021. Par prudence, maintenons l’état d’urgence sanitaire 9 mois de plus.

Finalement, rien n’aura changé depuis le début de cette crise : toujours les mêmes ficelles usées jusqu’à la corde, toujours la même fausse naïveté – peut-on d’attendre à autre chose à l’issue du vote prévu le 19/10/2021 au Parlement ? – de la part d’une opposition qui soit aspire à prendre sa revanche sans exclure une gouvernance partagée, soit continue de couver la bande de louveteaux qui entendent mener le pays à la baguette et dont elle est la famille d’origine.

Détruire et interdire, deux années de mensonges

« Nous devons n’exclure aucun scénario, y compris celui d’une reprise active de la circulation virale dans notre pays. Cette épidémie nous a appris à ne jamais rien exclure par principe. Nous assumons notre refus d’un désarmement sanitaire qui serait plus que précipité », a tenté d’expliquer le jeune Attal à la sortie du conseil des ministres du 13/10/2021, avec cette insolence décomplexée, ce raffinement dans la perversion qui s’est affirmé au fil des mois comme la marque de fabrique du Gouvernement. Faut-il en rire ou en pleurer ?

Ne rien exclure ? Sauf les traitements – il faudra bien tôt ou tard en parler – et la possibilité que les vaccins puissent entraîner des effets indésirables ou à long terme, conformément à ce qui est écrit noir sur blanc dans le contrat passé avec les laboratoires : « L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus » [1].

Les parents des 5 000 enfants de moins 11 ans à qui l’on a injecté, hors AMM, un produit encore jamais testé sur cette tranche d’âge (Le Progrès) le savent-ils ? Les millions de Français qui se sont vaccinés pour ne pas perdre leur emploi ou leur logement ont-ils été informés qu’on dispose à ce jour de plus de 1 000 études démontrant que nous avons à notre disposition un arsenal thérapeutique complet de molécules éprouvées et à l’innocuité presque parfaite, y compris en population pédiatrique ? Les Français qui se sont portés volontaires car la balance bénéfice-risque penchait indiscutablement en faveur de la vaccination savent-ils que l’efficacité de ces médicaments était, pour la plupart d’entre eux, connue dés les premiers mois de la pandémie, et que nous avions donc, depuis le début, une alternative aux vaccins probablement infiniment plus efficace et sans commune mesure en termes de sécurité pour vaincre le virus et casser la progression de l’épidémie ? La barre des 1 000 000 d’événements indésirables observés post injection en Europe a été franchie il y a quelques jours, n’excluons surtout pas la concomitance.

Par principe ? Comprenons « par idéologie ».

Refus d’un désarmement sanitaire ? Trop tard, 5 700 lits ont été supprimés alors que rien ne permettait de douter qu’ils manqueraient cruellement (Le Monde). Je pense ici aux milliers de Français décédés à cause des soins qu’il a fallu reporter parce que l’hôpital était surchargé, et que l’on a confiné le pays par trois fois pour être sûr que les réanimations tiendraient.

Que reste-t-il à désarmer qui ne l’ait pas encore été ? Les soignants qu’on a obligés à venir travailler au plus fort de l’épidémie alors qu’ils étaient contagieux, et à qui des équipements de protection ont été systématiquement refusés ont été chassés par la force et remplacés par des vigiles. L’hôpital est une forteresse où aucune caméra n’a osé s’aventurer en un an comme elle le faisait lors des épidémies de grippe ou des épisodes de canicule, si ce n’est pour nous montrer des acteurs récitant, depuis les quatre coins de la planète, selon un timing parfaitement ajusté, le même texte à la virgule près : « Si j’avais su, je me serais fait vacciner. » Vraiment ? À Singapour, vacciné à plus de 80 %, le nombre de morts du Covid par million d’habitants est désormais supérieur à celui du reste du monde. Le contraste avec le Réel peut-il être plus frappant ?

Le pass sanitaire, vecteur de propagation de l’épidémie

Tout aura été fait pour forcer les Français à se faire injecter un vaccin dont tout laisse à penser, comme on le redoutait, qu’il nécessite un abonnement à vie pour compenser son inefficacité. S’il fallait s’en convaincre, on mesure aujourd’hui la précarité de l’immunité qu’il confère et son incapacité à tenir ses promesses d’un retour à une « vie normale » : chute de l’efficacité contre l’infection à partir de la fin du 1er mois, accélérée après le 4e mois pour atteindre 20 % entre le 5e et le 7e moisaprès la 2e dose ; diminution des niveaux d’anticorps après la 2e dose,en particulier chez les hommes, les personnes âgées de 65 ans ou plus et les personnes immunodéprimées.Les données publiées par le ministère israélien de la Santé suggéraient même unniveau de protection de 16 %fin juillet contre les infections selon le schéma vaccinal standard. Le risque collectif que les non-vaccinés sont censés faire peser sur la collectivité justifie-t-il qu’ils participent à l’effort de guerre alors que le vaccin est toujours en cours d’évaluation ?

Les pays vaccinés sont les pays où le virus circule le plus

On dispose aujourd’hui de près de 100 études démontrant l’extrême robustesse de l’immunité naturelle (81 études recensées par le Brownstone Institute, 15 par le Washington Post) et de sa supériorité absolue sur celle acquise par le vaccin à la fois en termes de protection individuelle (division du risque de réinfection par 7 ou 13 selon sa date d’acquisition de l’immunité naturelle [2], immunité à vie [3,4]) et de circulation virale [5], suggérant que la vaccination de masse serait en définitive un vecteur de l’épidémie : s’il fallait s’en convaincre (les cartes mondiales de l’incidence épidémiologique et de la couverture vaccinale sont criantes), on apprenait fin septembre que les contaminations ne sont pas corrélées au statut vaccinal selon une étude réalisée sur 68 pays, et que le nombre de cas serait même légèrement plus élevé dans les pays avec un pourcentage plus élevé de population entièrement vaccinée.

Cette décorrélation entre les taux d’incidence et de couverture vaccinale est confirmée par l’OMS dans son dernier bulletin épidémiologique puisqu’on y apprend que l’Afrique enregistre la baisse des nouveaux cas (– 43%) et des décès (– 25%) la plus significative malgré un niveau de vaccination le plus faible au monde alors que l’Europe rapporte le taux d’incidence hebdomadaire le plus élevé (+ 5%) et une hausse de la mortalité (+ 2%) alors que celle-ci est en baisse partout dans le monde (> 10%).

Les vaccinés ont la même charge virale que les non-vaccinés

Peut-on continuer à incriminer les vaccinés et l’insuffisance de la couverture vaccinale ? Le pass sanitaire se voulait l’arme absolue pour affamer et assécher socialement les « hésitants », présumés contagieux, qui distilleraient le poison viral dans la société : « Quand vous êtes vacciné, vous ne risquez pas de contaminer les autres, alors que si vous n’êtes pas vacciné, vous faites courir ce risque » (J.-M. Blanquer), « Les personnes vaccinées sont-elles aussi contagieuses que celles non vaccinées ? Bien sûr que non. » (B. Davido) ; « On a douze fois plus de chances d’être contaminé par quelqu’un qui n’est pas vacciné que par une personne vaccinée » (Institut Pasteur[6]. Les parlementaires sont-ils des moutons qu’on manipule ou ont-ils droit d’être intelligents ?

Le constat que dresse aujourd’hui l’ensemble des pays et que confirment les études est que les vaccinés et les non-vaccinés transmettent le virus de la même manière [7,8].C’est ce que confirme une étude publiée fin août et qu’expliquait déjà le CDC fin juillet : « La guerre a changé. Le variant Delta du Covid-19 est aussi contagieux que la varicelle, et les personnes vaccinées peuvent autant le transmettre que les non-vaccinés. » C’est que suggèrent encore les auteurs du Rapport de surveillance des vaccins Covid-19 pour la période allant du 23/08/2021 au 19/09/2021, selon lesquels la majorité des cas de Covid-19 au Royaume-Uni auraient été enregistrés parmi la population entièrement vaccinée.

Tout se passe donc comme si le statut vaccinal n’empêchait ni de transmettre le virus ni d’être infecté en retour mais que la vaccination augmentait au contraire le risque de réinfection par les variants issus de mutations, comme le montrent une étude américaine conduite dans la région de la baie de San Francisco du 1er février au 30 juin 2021, et une autre, plus récente, conduite dans la vallée du Delaware cet été, où le risque de réinfection était 3 fois plus élevé chez les personnes vaccinées.

Qu’en est-il de la protection offerte par le vaccin contre les hospitalisations et les décès ? S’il semble à peu près acquis aujourd’hui que les injections réduisent la mortalité et les formes sévères du Covid, cette efficacité semble plus proche des 50% et ne bénéficie, par définition, qu’aux personnes présentant un tel risque [9]. Y a-t-il un sens sur ce principe à vouloir vacciner chaque Français, y compris les enfants dont on sait aujourd’hui que le risque de mourir du Covid ou de contracter un Covid long sont inexistants (2/1 000 000 et < 0,035%, respectivement)  et qu’ils ne propagent que très peu l’épidémie, et à faire de la vie des non-vaccinés un enfer sous prétexte qu’ils refusent un tel chantage ? Le Gouvernement évoque aujourd’hui une reprise épidémiologique censée justifier que nous ne changions rien. Mais de quoi parle-t-on ?

Le vaccin favorise l’échappement immunitaire et les réinfections

Ces doutes sur l’efficacité vaccinale (on apprenait fin septembre que 94 % des personnes infectées de plus de 60 ans en Israël étaient en réalité complètement vaccinées) alimentaient déjà le pessimisme des autorités sanitaires israéliennes concernant l’administration de la 3e dose : « Pourtant, il est peu probable que les boosters apprivoisent une surtension Delta à eux seuls. […]. En Israël, la poussée actuelle est si forte que “même si vous obtenez les deux tiers de ces plus de 60 ans [boostés], cela nous laissera juste une semaine de plus, peut-être 2 semaines jusqu’à ce que nos hôpitaux soient inondés”. […] Le message adressé aux États-Unis et aux autres pays riches envisageant des boosters est clair : “Ne pensez pas que les boosters sont la solution.” »

Mais ce qui inquiète aujourd’hui, c’est moins le risque de réinfection que la différence de profil observée entre vaccinés, qui auraient « une maladie plus courte et souvent moins grave » et non-vaccinés, chez qui on observerait « une infection plus longue, qui dure indéfiniment et est plus grave », selon les déclarations d’un médecin israélien le 15/09/2021. C’est en substance ce que suggère la déclaration du ministre israélien de la Santé, mi-août : malgré l’administration de la 3e dose, « près de 60 % des patients gravement malades sont complètement vaccinés, les réinfections dominent et la plupart des patients hospitalisés sont en fait vaccinés, c’est un signe d’avertissement très clair pour le reste du monde. » (Science.org)

En France, l’infectiologue Karine Lacombe tirait à son tour la sonnette d’alarme le 27/09/2021 en évoquant un « profil constant » de patients doublement ou triplement vaccinés hospitalisés en réanimation : « Ce sont des personnes doublement vaccinées qui ont un profil constant dans tous les services de réanimation. Ce sont des personnes âgées avec des comorbidités, qui décompensent ces comorbidités, et ce sont des personnes immunodéprimées, qui sont doublement voire triplement vaccinées, et qui n’ont malheureusement pas monté de défenses immunitaires », très loin de la déclaration qu’elle faisait en mars dernier « La promesse du vaccin, ça va tout changer ».

Peut-on sérieusement parler d’« épidémie de non-vaccinés » et continuer d’invoquer le « paradoxe de la vaccination » selon lequel plus la population est vaccinée, plus elle est représentée à l’hôpital ou est-ce à un phénomène d’aggravation de la maladie chez les personnes vaccinées (maladie aggravée par la vaccination, VAED) [10-16] que nous assistons actuellement ? La pharmacienne et biologiste Hélène Banoun évoque une flambée des infections postvaccinale particulièrement inquiétante, mais qui semble paradoxalement avoir complètement échappé aux radars lors des essais cliniques.

Là encore, les études démentent la représentation de la situation sanitaire construite par la Gouvernement. Chacune des publications sur lesquelles le ministère de la Santé s’est basé jusqu’à lors ont été remises en cause par des chercheurs indépendants, que faut-il en conclure ? Mesure-t-on la gravité de ce qui se passe ? On sait aujourd’hui que le risque de développer une forme sévère de la maladie en cas de réinfection est nettement majoré, voire doublé [11-14] pour une personne vaccinée. Ce risque était signalé par Pfizer dans son rapport d’évaluation.

Peut-on parler de mise en danger de la vie d’autrui ?

Le Gouvernement a-t-il pris en compte cette conséquence de la vaccination ? Non si l’on en croit le déremboursement des tests sérologiques et le choix de limiter la durée de l’immunité naturelle prise en compte par le Gouvernement pour les certificats de rétablissement, qui est en totale contradiction avec les études. Peut-on parler ici de mise en danger de la vie d’autrui et d’atteinte à l’intégrité du corps ?

Cette question est notamment soulevée par la problématique du renouvellement des injections, à savoir la nécessité de recourir à une 3e ou une 4e dose, non pas pour les seules personnes âgées, mais en population générale, et le problème afférent de l’accumulation des doses Cette toxicité liée à l’accumulation des doses est la grande inconnue de ces vaccins : que se passe-t-il dans le corps des personnes vaccinées lorsqu’on les réexpose 3, 4, 5 fois, peut-être plus, au même antigène ? Plusieurs études alertent sur ce point, notamment une étude japonaise selon laquelle les anticorps facilitants s’accumuleraient dans l’organisme et augmenteraient l’infectiosité (le niveau de charge virale excrétée) des personnes vaccinées, avec des conséquences potentiellement délétères. Le Gouvernement est-il en capacité de répondre aux inquiétudes des Français sur ce point ?

Le problème de l’actuel dispositif sanitaire est-il donc uniquement son inefficacité en matière de lutte contre l’épidémie ou sa dangerosité au regard des risques collectifs et individuels auxquels il expose l’ensemble de la population ? Les parlementaires peuvent-ils seulement l’ignorer ? Non, et c’est ce qui crée un immense malaise auprès de la population.

Les morts n’existent pas, personne ne sera dédommagé

1,88 million de personnes décédées du COVID en 12 mois sans vaccins… 3,06 millions de personnes décédées du COVID et de ses variants en 9 mois depuis la vaccination… plus de 2 000 000 d’événements indésirables, 780 000 d’événements indésirables graves déclarés en Europe et aux États-Unis… un taux de déclaration compris entre 0,5% et 3,5%… Circulez il n’y a rien à voir !

Les scientifiques alertent depuis des mois. Les parlementaires sont-ils au courant ? Oui, ils ont été contactés personnellement, ils savent que la sécurité des vaccins n’a pas été évaluée et que  tout dispositif d’obligation vaccinale constitue une mise en danger caractérisée de la vie d’autrui. A. Buzyn a été mise en examen pour un stock de masques sacrifié : le retour de flammes sera donc cuisant pour les parlementaires si la bombe sanitaire annoncée par certains scientifiques explose. Peu importe, le pass sanitaire a visiblement, à défaut d’une quelconque utilité, un intérêt inestimable pour la majorité. Le suicide politique est une option parfaitement assumée, il faut que la contrepartie soit de taille.

Le Gouvernement ne peut pas ignorer que la vaccination blesse et tue. Taïwan, Australie enregistrent désormais plus de morts des suites du vaccin que de morts avec le Covid. La Thaïlande et Singapour commencent à dédommager les victimes des effets secondaires, le Royaume-Uni en fait de même, sous l’impulsion de ses parlementaires : « Nous savons qu’il existe un lien de causalité entre les vaccinations et les dommages causés par ces vaccins. […] Nous avons déjà une masse de preuves concernant les accidents voire les décès, causés par ces vaccins. Nous avons un rapport récent d’un médecin légiste quelque part dans le nord de l’Angleterre, qui conclut au vaccin comme la cause directe de la mort. […] Nous ne pouvons continuer à occulter les rapports de médecins légistes qui ont conclu que telle ou telle personne était morte suite au vaccin. »Même Martin Blachier en convient aujourd’hui après avoir expliqué sur tous les plateaux de télévision que les vaccins sont parfaitement sûrs, qu’on l’aurait constaté si ça n’avait pas été le cas : « On sait qu’il y a des effets secondaires, il y en a même beaucoup plus que ce que montre la pharmacovigilance. » Heureusement, aucun décès provoqué par le vaccin n’a pu être prouvé à ce stade en France, assurait le même jour Olivier Véran devant la Commission des lois de l’Assemblée nationale.

Peut-on l’affirmer avec une telle certitude au regard des données de pharmacovigilance française et mondiale, et plus spécifiquement au regard des règles d’imputabilité de l’ANSM ? Le ministre a-t-il menti à la représentation nationale et s’est-il sur ce principe parjuré ? C’est en tout cas la question que se posent le Dr Amine Umlil et le journaliste Éric Verhaege. Mais, et c’est probablement là le plus grave, le ministre a-t-il menti aux Français en leur assurant, sans la moindre réserve, que le vaccin était sûr ? Peut-on dès lors invoqué la qualification juridique de « produit défectueux » au regard de ces nouvelles données ?

Le registre de la preuve a remplacé celui des risques. Qui peut s’en étonner ? Les contrats ne permettent pas de distinguer qui, du ministre de la Santé ou de l’avocat des laboratoires représentera demain les intérêts des Français. Le ministre est de fait l’avocat de Pfizer, dernier survivant de la campagne de vaccination, puisque c’est lui sera accusé à sa place en cas d’accident de vaccination. Pouvait-on dans ce contexte s’attendre à autre chose ? Après avoir vicié le consentement de la première fournée de Français dont le bénéfice retiré de la vaccination est pour le moins discutable (les personnes à risque n’ont par définition pas eu à être convaincues, ce sont les seules auxquelles la vaccination aurait dû être proposée), extorqué celui de millions de Français hésitants, le Gouvernement prépare sa défense : pas vu pas pris. C’est assez pratique en fait, quand on y pense, d’être celui qui autorise et valide les autopsies, c’est-à-dire établit la responsabilité du vaccin, lorsqu’on est par ailleurs celui qui devra dédommager les victimes. C’est en tout cas une situation inédite. Comment comprendre, en tout cas, que l’État raisonne en d’autres termes et qu’il n’ait donc pas pleinement conscience à la fois des risques vaccinaux et du fait que le pass n’a rien de sanitaire ? Pourquoi, sinon, demander à la HAS de cautionner la suppression du pass sanitaire pour les Français qui n’auraient pas reçu de 3e dose, c’est-à-dire de garantir à l’État une immunité s’il devait être accusé d’avoir rendu obligatoire la vaccination en dépit des risques qu’elle comporte sur le plan de la santé, puisque c’est là le seul domaine où l’agence soit compétente pour se prononcer ? 

Seuls les morts comptent désormais, sauf ceux identifiés par les autopsies réalisées à l’étranger ou les agences de santé étrangères. Que disent-elles ?

  • En Italie, l’Agence italienne du médicament a confirmé, le 11/09/2021, une surmortalité dans la tranche d’âges 20-40 ans (taux de déclaration 3 fois supérieur à la moyenne, doublement des décès en 1 mois (Il Sussidario)), évoquant pour la première fois un lien avec les vaccins (La Verità).
  • En Allemagne, 1 230 décès postvaccinaux ont été enregistrés entre le 1er janvier et le 31 juillet 2021, vs 20 décès/an en moyenne imputés aux vaccins jusqu’en 2020. Les premières autopsies confirment que 30 à 40 % des décès sont probablement causés par le vaccin (Die Welt) selon le Pr Peter Schirmacher, l’un des 100 pathologistes les plus réputés au monde qui a procédé à l’autopsie de 40 personnes décédées dans les 2 semaines suivant leur vaccination.
  • Une équipe d’anatomopathologistes allemands a récemment indiqué n’avoir jamais enregistré autant de décès de mineurs et explique avoir découvert des lésions non observées ailleurs, permettant de les imputer formellement aux vaccins.
  • L’institut Paul-Ehrlich confirme le décès de 3 garçons de 12 à 17 ans, de 2 à 24 jours après l’administration du vaccin Pfizer.

Un tel discours est-il audible ? Un tel silence le restera-t-il longtemps ? 

Tout a été dit, écrit sur les risques associés aux vaccins : maladies auto-immunes, maladies à prions, cancers, dérèglement du système immunitaire, myocardites, péricardites, infarctus, AVC… Les études sont là, il suffit de les lire. Ce ne sont certes que des risques, qui ne se réaliseront pas systématiquement et pour chaque vacciné, mais postuler que les vaccins sont sûrs au prétexte que des millions de terriens ont survécu aux injections est factuellement faux. Quel député a osé dénoncer les mensonges professés par le ministère de la Santé et les médecins chargés de relayer la propagande vaccinale ? Aucun. Combien d’entre eux s’inquièteront demain de la surmortalité observée depuis la mise en place de la vaccination

Le mécanisme d’action des vaccins ARNm est désormais connu, ce n’est pas celui qu’avaient décrit les laboratoires : on sait que la protéine Spike est LA TOXINE du virus (le Dr R. Malone, biologiste moléculaire, épidémiologiste, spécialiste des maladies infectieuses et inventeur de la technologie de l’ARN messager l’expliquait encore récemment), qu’elle peut à elle seule provoquer tous les signes cliniques d’une forme sévère du Covid et que reprogrammer les cellules pour qu’elles les fabriquent en millions d’exemplaires, au risque qu’elles ciblent également certains organes par mimétisme moléculaire, était typiquement une fausse bonne idée. Il suffit apparemment de nier les études et de décréter que les événements indésirables enregistrés dans les bases de pharmacovigilance ne peuvent leur être imputés puisqu’ils ne sont pas cohérents avec le mécanisme vaccinal décrit par les laboratoires et qu’ils n’ont pas été retrouvés dans l’étude préliminaire. Jusqu’à quand cette stratégie de déni pourra-t-elle tenir ? Est-on sûr que les Français ne demanderont aucun compte lorsqu’il s’agira de comprendre ce qui est arrivé à leurs proches, si leur décès était évitable ou s’il n’est en définitive que le fruit du hasard ?

Le rapport d’évaluation de la demande d’autorisation du booster Comirnaty (Pfizer) par la FDA est un modèle du genre : l’agence y évoque « des risques graves de myocardite et de péricardite suite à l’administration de la série primaire (dose 1 et dose 2) », et n’exclut pas des « séquelles potentielles à long terme », mais se refuse à incriminer le vaccin dans la mesure où « un mécanisme d’action par lequel le vaccin pourrait provoquer une myocardite et une péricardite n’a pas été établi ». Est-ce la déontologie habituelle pour la surveillance d’un vaccin ? Pas selon les pathologistes qui enquêtent pour déterminer les causes de la mort, en tout cas.

Que sait-on aujourd’hui des vaccins ARNm que les parlementaires pourraient ignorer ? Marc Girardot, du Pandemics Data & Analytics (PANDA) a relevé les principaux sujets d’inquiétude qui font aujourd’hui consensus et qui constituent selon lui un faisceau de « signaux rouges » :

  • Nanoparticules errantes : Les nanoparticules lipidiques, porteuses de l’ARNm, étaient censées rester dans le muscle. Elles ont été retrouvées largement réparties dans tout le corps, notamment dans les ovaires, le foie et éventuellement la moelle osseuse. Ce vecteur de synthèse est décrit comme pouvant induire une forte réponse inflammatoire ;
  • PEG anaphylactique : Un certain nombre de préoccupations entourent l’utilisation nouvelle de propyléthylène glycol (PEG) comme adjuvant (ALC-0159), un allergène « caché » à haut risque anaphylactique [17-19]. Des recherches antérieures ont montré notamment que le risque d’anaphylaxie cardiaque était augmenté lors de la deuxième injection. La réactogénicité du vaccin Pfizer-Biontech fait partie des signaux surveillés par l’ANSM. Peut-on encore parler d’événement indésirable inattendu ?;
  • Emplacements sensibles : Les récepteurs ACE-2 susceptibles de se lier à la protéine de pointe sont fortement exprimés dans les cellules endothéliales des zones hautement sensibles, telles que le cerveau, le cœur, les poumons, le foie et les systèmes reproducteurs masculins et féminins ;
  • Pics toxiques circulant : Les protéines de pointe induites par l’ARNm/ADN des vaccins ont été démontrées pour être pathogènes, et très inflammatoires, notamment en raison de la similarité d’une séquence de pic à celui de l’entérotoxine B staphylococcique. Il s’est également avéré qu’il provoquait directement des caillots sanguins par activation plaquettaire. Un chercheur a déclaré : « Nos résultats montrent que la protéine de pointe SARS-CoV-2 provoque des lésions pulmonaires même sans la présence d’un virus intact. » Des cicatrices précoces et des lésions pulmonaires ont également été retrouvées lors des autopsies ;
  • Perturbation de la barrière hématoencéphalique : Une étude récente met en évidence le risque de perturbation de la barrière hématoencéphalique, mécanisme de filtrage fondamental pour protéger le cerveau. Plusieurs études (Nature Neuroscience, Neurobiology of Disease, MIT), ont montré que la protéine de pointe traverse la BHE et crée une inflammation dans le cerveau[19-23] ;
  • Événements indésirables élevés : Même s’il est très probablement sous-déclaré (1% seulement des effets seraient déclarés selon le VAERS et le Harvard Pilgrim Health Care Harvard), le nombre global d’événements indésirables graves par rapport aux autres vaccins traditionnels reste très élevé. Les plus de 16 700 décès observés [aux États-Unis] en six mois vs 26 000 décès enregistrés en 31 ans, tous vaccins confondus. Ceci est assez inquiétant et tend à confirmer les alarmes susmentionnées ;
  • Enfants plus à risque : Les vaccins Covid-19 semblent plus nocifs pour les enfants et les adolescents, notamment avec un nombre croissant d’événements de myocardite. Ce risque serait multiplié par 6 avec le vaccin selon une étude réalisée par l’Université de Californie, et par 5 selon une étude de cohorte israélienne chez les hommes entre 16 et 29 ans, avec des risques à long terme aujourd’hui avérés. Le fait que les doses de vaccin ne soient pas ajustées en fonction du poids corporel est notamment une source d’inquiétude compte tenu de la découverte de nanoparticules circulantes et de la toxicité des pointes.

On pourrait compléter cette liste par une actualité plus récente :

C’est un secret de Polichinelle : on sait que les laboratoires se sont contentés d’adapter une technologie qu’ils ne maîtrisaient pas à un contexte où elle n’était ni pertinente en raison de la nature hautement mutagène du virus, ni réaliste ni nécessaire, puisque des traitements existent et fonctionnent dont  l’innocuité est incomparable. Les pays qui les utilisent parviennent à juguler l’épidémie qui progresse au contraire dans ceux qui ne vaccinent pas, mais il n’est pas question de s’interroger sur la stratégie vaccinale. Elle a été validée par celui qui peut le moins ignorer les risques des vaccins ARN messager, en l’occurrence Alain Fischer, et le dispositif visant à tuer socialement ceux qui compromettraient son exécution a été imaginé au plus sommet de l’État. Le Pr Cyrille Cohen a avoué récemment que « Personne sur terre n’a d’expérience avec les vaccins ARN à long terme ». Faut-il s’en inquiéter ? Non, ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion de tester gratuitement et à aussi grande échelle une nouvelle thérapie ; l’épidémie de H1N1 n’avait pas permis de dépasser la phase 1. L’investissement sera finalement rentabilisé au centuple cette année. On pourra même réparer grâce elle les corps des survivants.

L’ARN messager n’est rien de moins que le pétrole ou l’électricité en leur temps. Finalement, les effets indésirables ne sont que les dommages collatéraux du progrès ; à l’échelle de l’humanité, ils ne sont qu’une goutte d’eau.

Les pathologistes [24-26] qui autopsient les corps des vaccinés, les thanatopracteurs qui en extraient le sang et constatent des troubles majeurs de la coagulation, les oncologues et les médecins qui examinent les patients, dénonçant pour certains un « infanticide », les laboratoires qui mesurent des niveaux de D-dimères (marqueur de thrombose) qu’ils n’avaient encore jamais observés, les analystes qui explorent les données du VAERS ou de la base EUDRA alertent chacun à leur manière : la pharmacovigilance ne fait que confirmer le mécanisme pathogène des vaccins identifié par les études. Ne changeons pas une virgule au programme répond le ministère. Les effets indésirables ne peuvent pas être provoqués par les vaccins puisque les laboratoires ont expliqué que c’était un bonbon et que tout était sous contrôle. L’immunité totale négociée avec les États en cas d’effets indésirables n’est qu’une précaution, on n’est jamais trop prudent, surtout pour soi. Il est vrai que les motifs d’inquiétude ne manquent pas.

Premier vaccin à utiliser du polyéthylène glycol en injection, premier vaccin à utiliser latechnologie des vaccins ARN contre un agent infectieux, premier produit mis sur le marché par Moderna, première fois que des responsables de la santé publique disent aux personnes vaccinées de s’attendre à une réaction indésirable, premier vaccin à être mis en œuvre publiquement sur la base de données d’efficacité préliminaires, premier vaccin à ne pas pouvoir se prononcer sur la réduction des infections, de la transmissibilité ou des décès, premier vaccin contre le coronavirus jamais tenté chez l’homme, première injection de polynucléotides génétiquement modifiés dans la population générale… [19] il faut au moins être « antivax » pour penser que quelque chose puisse ne pas se passer exactement comme prévu.

Cocktail chimique, cocktail de risques, il y en a pour tous les goûts. Faut-il s’en étonner ? On sait aujourd’hui que le vaccin circule dans tout le corps, contamine tous les organes notamment le cerveau, les ovaires, les testicules, les poumons, et séjourne dans l’organisme pendant au moins 1 mois. On ignore, en revanche, si les troubles menstruels observés dans des proportions affolantes, si affolantes que les instituts américains de la santé (NHIS) commencent à s’inquiéter et dépêchent enfin les premières études, ou si le remaniement tissulaire et la réduction du volume de sperme découvert en autopsiant les testicules de jeunes hommes vaccinés pourraient être l’expression d’une stérilité temporaire ou définitive comme le suggère deux études parues en octobre et novembre 2020 ; si la protéine Spike passe dans le lait maternel ou si c’est uniquement le cas des anticorps du vaccin, ce qui pourrait le cas échéant expliquer l’incidence des morts in utero observées post injection en France (ANSM) et aux États-Unis (VAERS). Peu importe, les femmes enceintes et allaitantes ont déjà été vaccinées. On ignore également si les risques des dons de sang sont suffisamment maîtrisés et si la toxicité de la protéine Spike a bien été prise en compte au regard des troubles sanguins graves observés. L’Établissement français du sang considère pour sa part, contrairement à d’autres pays, qu’aucun délai d’ajournement n’est requis après une vaccination, contrairement à une contamination par le COVID. Sur quels critères se base-t-il ? Est-on sûr qu’il le fait en conscience ou doit-on s’attendre à un nouveau scandale du sang contaminé ?

Le scandale sanitaire est déjà là, en germe, mais ceux qui ont juré hier de pourrir la vie des non-vaccinés parce qu’ils feraient preuve d’une prudence aberrante, dont le bien-fondé est démenti par la documentation commerciale des laboratoires ne peuvent se dédire aujourd’hui.

Maladie de Creutzfeldt-Jakob (50 cas par an en moyenne en France) ? Ça ne peut pas être le vaccin, c’est forcément une coïncidence, même si la forme, le timing et la fulgurance de la progression suggèrent un lien hautement probable, et même si ce risque est d’ailleurs cité dans les documents officiels transmis par Pfizer à l’EMA (p. 38) puisqu’il a été « estimé minime ». Le nombre de cas explose, dit-on, depuis la vaccination, ce ne sont que des rumeurs. Deux cas dans la même patientèle, sur un territoire dénombrant 100 000 généralistes, difficile de prédire si une surmortalité émergera. C’est le récit auquel des millions de Français ont assisté il y a quelques jours lorsque la parole a été donnée au mari de l’une des victimes de la vaccination, auquel l’épidémiologiste Martin Blachier a eu l’indécence de répondre que les Français n’avaient pas été pris en traître, que les effets indésirables sont parfaitement connus et largement sous-estimés. L’essentiel est d’avoir réussi ce jour-là à faire croire que les vaccins sont pleinement homologués, que le corps médical et les médias ont été d’une honnêteté confondante et qu’il ne reste plus qu’à trouver un moyen d’acculer les derniers hésitants.

Parkinson ? La pharmacovigilance anglaise suggère une augmentation de l’incidence susceptible de remettre en cause la sécurité du vaccin Astra Zeneca. Il faudrait enquêter pour savoir si ces événements indésirables sont étrangers au vaccin ou s’ils sont induits par la protéine Spike, la présence d’impuretés dans les flacons, des fragments d’ARN ou une interaction avec l’ADN des personnes vaccinées qu’on sait possible depuis qu’un groupe de chercheurs de l’université Thomas Jefferson a démontré que les cellules de mammifères possèdent une transcriptase inverse native (la polymérase thêta, Polθ) qui participe à la réparation de l’ADN sur matrice d’ARN. Le temps presse, on verra plus tard. L’immunologue J. Bart Classen, ancien scientifique contractuel des National Institutes of Health (NIH), évoque un « possible tsunami d’autres types de lésions neurologiques » pouvant s’expliquer par le « potentiel des vaccins COVID à ARNm à déclencher le développement de maladies à prions [27,28], incluant la maladie d’Alzheimer, la sclérose latérale amyotrophique (SLA), l’atrophie multisystémique (MSA) ainsi que d’autres maladies chroniques ».

Cancers ? Maladies auto-immunes ? L’immunotoxicité des vaccins n’a pas été évaluée par les laboratoires. Quel est leur impact réel sur le système immunitaire ? Les cas notamment de zona et d’herpès, les récidives de varicelle, d’hépatite C, les flambées de cancers (primitifs ou quiessents) constituent potentiellement autant de signaux qui semblent confirmer ce que disent certaines études évoquant une altération du système immunitaire. Les scientifiques avaient alerté en amont de la campagne de vaccination sur le risque d’apparition ou d’aggravation de maladies auto-immunes. Est-ce ce à quoi on assiste aujourd’hui ou ces événements indésirables sont-ils le signe d’un possible dérèglement de la réponse immunitaire, mis en évidence notamment par une étude hollandaise ? Une étude plus ancienne pointait déjà une forte affinité de la protéine Spike pour les protéines anticancéreuses et sa capacité à reprogrammer le système immunitaire, plus spécifiquement à inactiver certains gènes suppresseurs de tumeur dans le corps de manière à favoriser la croissance des cellules cancéreuses. Là encore, il suffit de fermer les yeux et de plaider l’ignorance lorsque le moment sera venu.

Pouvait-on s’attendre à ce que genre de pathologies d’évolution lente se déclarent aussi rapidement ? Non sans doute, et c’est bien tout le problème.

On ne pouvait pas se douter qu’un vaccin commercialisé au bout de 6 mois, sans évaluation des effets secondaires, avec une technologie utilisée pour la première fois sur des sujets sains en prophylaxie pourrait réserver des surprises. On ne pouvait pas l’imaginer, émettre un embryon de doute, à commencer par le Gouvernement puisque ce n’est pas lui qui a signé les contrats, il ne les a probablement même pas lus. Comment comprendre sinon que l’on ait vacciné les femmes enceintes sans autre certitude sur l’utilité éventuelle de les vacciner que le consensus établi entre les agences sanitaires ? Comment comprendre sinon que l’on se soit rué sur la vaccination des + 12 ans dès son approbation par l’Agence européennne des médicaments (EMA), sans se poser la moindre question sur l’intégrité d’un essai clinique où les effets indésirables ont été masqués par le fabricant ou l’agence ? Comment comprendre qu’on continue à le faire sans conditionner la poursuite de la vaccination à la divulgation par le farbiquant de la compositon des vaccins ? Les Français n’ont pas à savoir ce qu’on leur injecte, quel parlementaire osera poser la question ?

On sait aujourd’hui que le Gouvernement ne dédommagera aucun des vaccinés volontaires, c’est en substance ce qu’a annoncé O. Véran devant la Commission des lois de l’Assemblée nationale le 15/10/2021, il fallait savoir lire entre les lignes : l’État a forcé les Français à se faire vacciner, il leur a proposé ce choix comme alternative à une mort économique et sociale programmée. Il a concédé en échange une immunité totale aux laboratoires, il n’est donc pas question qu’il paie à leur place en cas d’événement indésirable ou de décès. « On ne remet pas en cause la vaccination », expliquait récemment un ancien membre du Comité technique de l’ANSM en évoquant un « tabou bien intériorisé » au sein de l’Institution. Personne ne sera surpris, le procès du médiator s’est achevé il y a quelques mois, pouvait-on s’attendre à autre chose alors que des sommes aussi vertigineuses sont en jeu ? Les parlementaires seront rattrapés par le temps, mais qu’ont-ils donc à craindre ? Le Conseil d’État veille au grain, il suffira de voter une loi d’amnistie générale.

Peu importe de toute façon si l’État devait être condamné : nous savons aujourd’hui qu’une vie coûte 266,66 €, du moins celle des Harkis.

État d’urgence permanent, un nouvel esclavage moderne

Les antivax peuvent donc respirer ! Les sénateurs ont réaffirmé qu’ils ne sont ni des enfants ou du bétail qu’on vaccine en fonction des données épidémiologiques, éventuellement frauduleuses, ni des mineurs qui n’ont plus la capacité juridique de refuser un traitement, mais des adultes responsables qui peuvent décider en leur âme et conscience de se faire vacciner ou non. Ils pourront choisir librement de prendre ou non ce risque en fonction de leur état de santé et de leurs contre-indications médicales. Et tant pis si leurs antécédents pourraient être aggravés par la vaccination puisque les 45 signaux de surveillance [29] ne sont pas pris en compte et que les contre-indications formulées par les laboratoires les classent ironiquement parmi les publics prioritaires. Peu importe s’ils prennent un traitement contenant l’une des 269 molécules réputées interagir avec les vaccins : certains soignants ont été mis à pied alors que leur état de santé ne leur permettait pas d’être vaccinés, pourquoi devrait-on faire une exception ? Prium vaccinere, la santé peut attendre, ce n’est pas la priorié ! Le Conseil consitutionnel a déjà retoqué ces différents points au mois de juillet.

Les sénateurs ont surtout prouvé qu’ils savent parfaitement que ce serait un suicide politique si on apprenait demain que les vaccins posent un problème de sécurité alors que tant de médecins avaient alerté et que l’essai clinique, contrairement à ce qu’Olivier Véran et Martin Blachier ont tant de mal à admettre n’est terminé ni en population adulte, ni en population pédiatrique. Il le sera respectivement en décembre 2023 et en juin 2024.

La vaccination ne sera pas obligatoire, du moins jusqu’à nouvel ordre. Le Président de la République a promis qu’elle le serait à terme, il n’est pas concevable qu’elle ne le devienne pas tant que l’actuelle majorité sera au pouvoir et que la loi n’aura pas clairement statuer : faire subir aux Français des injections expérimentales au nom d’un communisme sanitaire qui ne dit pas son nom est une hérésie philosophique et une abjection morale.

Les sénateurs ont manqué de courage, ils ont feint d’ignorer que la seule solution sage, éthique et responsable serait aujourd’hui d’ordonner un moratoire sur la vaccination, comme le réclament des milliers de scientifiques et de médecins dans le monde : « La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 25 décès, ils ont tout arrêté. On a 200 rapports de décès en moyenne par an aux États-Unis tous vaccins confondus. Nous avons plus de 4 000 rapports de morts aux États-Unis ! C’est de loin l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain dans l’histoire de l’Amérique […]. Sur la base des données de sécurité disponibles, je ne peux plus le recommander. Je ne peux pas le recommander. Il a dépassé tous les plafonds pour être considéré comme un produit sûr. »[30-31] Car ce n’est pas la conditionnalité de l’autorisation de mise sur le marché qui est en cause, mais la toxicité potentielle de ces injections qui n’ont jamais été justifiées que pour une infirme partie de la population, celle pour laquelle le bénéfice l’emportait pas principe sur les risques.

Ils ont laissé ouverte une brèche qui permet aujourd’hui à la majorité de continuer à imposer, à des millions de Français une vie sous autorisation ou sur dérogation, selon le niveau de revenus. Qui peut croire qu’il en sera autrement demain, quel que soit le niveau d’alerte épidémiologique ? Peut-on un seul instant douter que l’état d’urgence sanitaire ne soit autre chose qu’un moyen d’inscrire le pass sanitaire dans le droit commun, alors que la majorité a rejeté il y a trois mois l’amendement visant à assujettir la fin du pass à celle de l’épidémie, et que celle-ci est actée depuis dix mois par le réseau Sentinelle ?

Les risques vaccinaux auraient dû mettre un terme, il y a bien longtemps, au dispositif sanitaire dont le pass et le vaccin sont en réalité indissociables : les Français ont accepté un an de sacrifices, de privation de libertés à la seule fin d’obtenir le précieux sésame qui leur permettrait de revivre normalement à condition qu’ils se fassent vacciner. Le referaient-ils aujourd’hui ? « Les confinements sont la plus grande erreur de santé publique de l’histoire », selon Le Telegraph. Pourra-t-on lire également demain dans les livres d’histoire :« La vaccination de masse forcée de l’humanité a été l’une des erreurs médicales les plus mortelles et les plus coûteuses de l’histoire » ?

Angleterre, Suède, Norvège, Danemark, Portugal… Les restrictions se lèvent peu à peu dans plusieurs pays, l’Uttar Pradesh (Inde) a même annoncé la fin de l’épidémie et dit y être parvenu grâce à l’utilisation massive de l’ivermectine. Le Japon et l’Indonésie sont sur la même voix. La Floride annonce à son tour avoir vaincu le Covid-19 sans confinements durs et sans obligation vaccinale. Tout ça pour ça ? La France serait-elle une planète isolée du reste du monde où les citoyens doivent impérativement être muselés ou tenus en laisse ?

Le pass sanitaire sera maintenu, chacun le sait déjà ; cette contrepartie a été négociée en échange de l’abandon de l’obligation vaccinale, c’est ce que confiait en substance Gérard Larcher il y a quelques jours. Il le sera même si plus rien ne le justifie en tant que dispositif sanitaire, il est finalement le meilleur moyen pour prolonger l’épidémie le plus longtemps possible : le Gouvernement a enfermé les parlementaires dans un cercle vicieux dont il n’est plus possible de sortir sauf à reconnaître l’échec de la vaccination et l’inutilité du sacrifice de millions de Français. Que les parlementaires ne s’y trompent pas : leur engouement pour le pass sanitaire n’est finalement rien d’autre que de la résilience. Pour combien de temps encore ?

On le sait aujourd’hui, le pass est une arme pointée sur la tempe des Français pour les forcer à faire ce que la loi ne permet pas encore. Il est aussi le sésame grâce auquel l’État s’arroge officiellement le droit de disposer du corps de ses concitoyens comme bon lui semblera.

Réalise-t-on la portée symbolique de ce qui se jouera à l’Assemblée tout à l’heure et au Sénat demain ? L’homologation officielle d’un essai clinique financé par les États dans lequel chaque participant aura été enrôlé malgré lui, sans dédommagement ni information des risques, et où ceux qui auront réussi à s’extraire de ce piège seront exclus de la Cité sauf à racheter leur liberté et leur droit à disposer de leur corps. On murmure d’ailleurs qu’il existe un marché noir particulièrement juteux où les pass sanitaires se vendent à prix d’or. History repeating… Quel parlementaire aura le courage de s’élever pour dénoncer l’instauration de cette forme d’esclavage moderne qui ne dit pas son nom, de comprendre pourquoi nous en sommes arrivés là ? Quel député aura la décence de s’insurger et de s’interroger à voix haute, et de poser cette simple question : où vont les trains ?

On ne sait pas, et c’est bien tout le problème, mais ce qui est certain, c’est que la minorité de Français qui a suffisamment de cohérence et de lucidité pour oser se poser la question n’aura qu’une seule exigence au printemps de 2022 : qu’il soit enfin mis un terme à ce nouvel ordre social. Rien n’est possible sans ça, aucun Français ne pourra l’ignorer d’ici cette échéance, vitale pour la démocratie.



Références

[1] France Soir. PfizerLeak : les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes. 28/07/2021. https://www.francesoir.fr/societe-sante/pfizerleak-les-contrats-surprenants-vaccins-pfizer

Lien de téléchargement du contrat : https://gogo.al/wp-content/uploads/2021/01/LEXO-KONTRATEN-E-PLOTE.pdf

[2] Gazit S, et al. Comparing SARS-CoV-2 natural immunity to vaccine-induced immunity: reinfections versus breakthrough infections. 2021 Jun 24. doi: https://doi.org/10.1101/2021.08.24.21262415

[3] Bhandari T. Good news: Mild COVID-19 induces lasting antibody protection. Washington University School of Medicine. 2021 May 24. https://medicine.wustl.edu/news/good-news-mild-covid-19-induces-lasting-antibody-protection/

[4] Haveri A, et al. Persistence of neutralizing antibodies a year after SARS-CoV-2 infection in humans. Eur J Immunol. 2021 Sep 27. doi: 10.1002/eji.202149535.

[5] Wang L. Ultrapotent antibodies against diverse and highly transmissible SARS-CoV-2 variants. Science. 2021. https://science.sciencemag.org/content/early/2021/06/30/science.abh1766

[6] Mucchielli L. Vaccins génétiques, doutes et propagande : entretien (2) avec J-P. Bourdineaud.http://www.mediaplus.site/2021/10/14/67-cha-badabada-la-controverse-entre-la-va-lse-et-le-to-ccin/

[7] Achary CB, et al. No Significant Difference in Viral Load Between Vaccinated and Unvaccinated, Asymptomatic and Symptomatic Groups Infected with SARS-CoV-2 Delta Variant. 2021 Sept 28. doi: https://doi.org/10.1101/2021.09.28.21264262

[8] Covid-19 Impfstoffe: Das israelische Fernsehen lässt die Bombe platzen [Vaccins contre le Covid-19 : la télévision israélienne largue la bombe]. 2021 Sept 27. https://uncutnews.ch/covid-19-impfstoffe-das-israelische-fernsehen-laesst-die-bombe-platzen/

[9] Sputnik. COVID-19, enfin le bout du tunnel ? Le Pr Didier Raoult répond. 30/09/2021. https://www.youtube.com/watch?v=j_aiE07BiCQ

[10] Callegaro, et al. Antibody response to SARS-CoV-2 vaccination is extremely vivacious in subjects with previous SARS-CoV-2 infection [La réponse des anticorps à la vaccination contre le SRAS-CoV-2 est extrêmement vive chez les sujets ayant déjà été infectés par le SRAS-CoV-2]. J Med Virol. 2021;93:4612-5 ; https://doi.org/10.1002/jmv.26982

[11] Krammer, et al. Antibody Responses in Seropositive Persons after a Single Dose of SARS-CoV-2 mRNA Vaccine [Réponses en anticorps chez les personnes séropositives après une dose unique de vaccin à ARNm du SRAS-CoV-2]. N Engl J Med. 2021;384;14. https://doi.org/10.1056/NEJMc2101667

[12] Goel RR, et al. Distinct antibody and memory B cell responses in SARS-CoV-2 naïve and recovered individuals following mRNA vaccination [Réponses distinctes des anticorps et des cellules B mémoire chez les individus naïfs et guéris du SRAS-CoV-2 après la vaccination par l’ARNm]. Sci Immunol. 2021Apr 15;6 (58):eabi6950 https://www.science.org/doi/10.1126/sciimmunol.abi6950

[13] Joshi, et al. Higher incidence of reported adverse events following immunisation (AEFI) after first dose of COVID-19 vaccine among previously infected health care workers [Incidence plus élevée des événements indésirables signalés après la vaccination (AEFI) après la première dose de vaccin COVID-19 parmi les agents de santé précédemment infectés]. Medical J Armed Forces India. 2021 Jul; 77(Suppl 2): S505–S507. https://doi.org/10.1016/j.mjafi.2021.05.011

[14] ZOE Global COVID symptom study, https://covid.joinzoe.com/

[15] Negro F, et al. Is antibody-dependent enhancement playing a role in COVID-19 pathogenesis? Publication Date : 16.04.2020, Swiss Med Wkly. 2020;150:w20249. https://doi.org/10.4414/smw.2020.20249

[16] WU F, Yan R, Liu M, et al. Antibody-dependent enhancement (ADE) of SARS-CoV-2 infection 2 in recovered COVID-19 patients: studies based on cellular and 3 structural biology analysis 4. https://doi.org/10.1101/2020.10.08.20209114

[17] Mohamed M, Lila AS, Shimizu T, et al. PEGylated Liposomes : Immunological Responses. Science and Technology of Advanced Materials. 2019;20(1):710-24. https://doi.org/10.1080/14686996.2019.1627174

[18] Zhou ZH, Stone CA, Jr Jakubovic B, et al. Anti-PEG IgE in Anaphylaxis Associated with Polyethylene Glycol. The Journal of Allergy and Clinical Immunology in Practice. 2020;9(4):1731-33.e3. https://doi.org/10.1016/j.jaip.2020.11.011

[19] Seneff S. Worse Than the Disease? Reviewing Some Possible Unintended Consequences of the mRNA Vaccines Against COVID-19 [Pire que la maladie ? Examen de certaines conséquences involontaires possibles des vaccins à ARNm contre le COVID-19]. Int J Vacc Th Prac Res. 2021;2 (1) https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/23. Traduction française : https://skidmark.blog/2021/07/12/pire-que-la-maladie-examen-de-certaines-consequences-involontaires-possibles-des-vaccins-a-arnm-contre-le-covid-19-par-stephanie-seneff-traduction-francaise/

[20] Rhea EM, Logsdon AF, Hansen KM, et al. The S1 protein of SARS-CoV-2 crosses the blood–brain barrier in mice. Nat Neurosci. 2020;24:368-78. https://doi.org/10.1038/s41593-020-00771-8

[21] Le lien entre protéine Spike et protéine à prion — Quels sont les effets des injections anti-Covid-19 ? Entretien exclusif entre Stephanie Seneff du MIT et le Dr Mercola. Sott.net.14/09/2021. https://fr.sott.net/article/38118-Le-lien-entre-proteine-Spike-et-proteine-a-prion-Quels-sont-les-effets-des-injections-anti-Covid-19-Entretien-exclusif-entre-Stephanie-Seneff-du-MIT-et-le-Dr-Mercola

[22] Tezt G, Tetz V. SARS-CoV-2 Prion-Like Domains in Spike Proteins Enable Higher Affinity to ACE2. 2020 March. doi: 10.20944/preprints202003.0422.v1

[23] Idreesa D, Kumarb V. SARS-CoV-2 spike protein interactions with amyloidogenic proteins: Potential clues to neurodegeneration. Biochem Biophys Res Commun. 2021 May 21;554:94-8. doi: 10.1016/j.bbrc.2021.03.100

[24] Die Welt. Heidelberger Chef-Pathologe fordert mehr Obduktionen von Geimpften [Le pathologiste en chef de Heidelberg appelle à davantage d’autopsies de personnes vaccinées]. 2021 Aug 03. https://www.welt.de/vermischtes/article232900871/Corona-Pathologe-fordert-mehr-Obduktionen-von-Geimpften.html

[25] Burkhardt A, Lang W, Bergholz W, et al. Pressekonferenz: Tod durch Impfung/Undeklarierte Bestandteile der COVID-19-Impfstoffe [Conférence de presse : Décès par vaccination / Composants non déclarés des vaccins COVID-19]. 2021 Sept 21. https://www.bitchute.com/video/Hx9lPA1SeISt/

[26] Paul-Ehrlich-Institut. Bericht über Verdachtsfälle von Nebenwirkungen und Impfkomplikationen nach Impfung zum Schutz vor COVID-19 (Berichtszeitraum 27.12.2020 bis 31.08.2021). 2021 Sept 20. https://www.pei.de/SharedDocs/Downloads/DE/newsroom/dossiers/sicherheitsberichte/sicherheitsbericht-27-12-bis-31-08-21.pdf

[27] Classen JB. COVID-19 Vaccine Associated Parkinson’s Disease, A Prion Disease Signal in the UK Yellow Card Adverse Event Database. J Med Clin Res Rev. 2021;5 (7):1-6. https://scivisionpub.com/pdfs/covid19-vaccine-associated-parkinsons-disease-a-prion-disease-signal-in-the-uk-yellow-card-adverse-event-database-1746.pdf

[28] Classen JB. COVID-19 RNA Based Vaccines and the Risk of Prion Disease. Microbiol Infect Dis. 2021;5 (1):1-3. https://scivisionpub.com/pdfs/covid19-rna-based-vaccines-and-the-risk-of-prion-disease-1503.pdf

[29] Liste des signaux de l’ANSM recensés au 30/09/2021 :

  • Réaction retardée (réactions locales douloureuses, érythémateuses, prurigineuses au site d’injection) [confirmé]
  • Trouble vasculaire de type d’hypertension artérielle [confirmé]
  • Myocardite/Péricardite [confirmé]
  • Syndrome de fuite capillaire [confirmé]
  • Syndrome de Guillain-Barré(SGB)/Polyradiculonévrite [confirmé]
  • Syndromes pseudo-grippaux [confirmé]
  • Événements thromboemboliques, dont :
  • Thrombose associée à une thrombocytopénie [confirmé]
  • Thrombopénie
  • Thrombopénie immunologique (VITT) [confirmé]
  • Hématomes spontanés
  • Dyspnée et asthme associés à des syndromes pseudo-grippaux
  • Zona et réactivation herpétique
  • Troubles du rythme cardiaque
  • Déséquilibre diabétique dans des contextes de réactogénicité
  • Échecs vaccinaux
  • Pancréatite aigüe
  • Syndrome d’activation des macrophages
  • Réactivation à virus Epstein-Barr
  • Méningoencéphalite zostérienne
  • Aplasie médullaire idiopathique
  • Hémophilie acquise
  • Polyarthrite rhumatoïde
  • Néphropathies glomérulaires
  • Troubles menstruels
  • Syndrome inflammatoire multisystémique
  • Syndrome de Parsonage-Turner (névralgie amyotrophiante)
  • Trouble du rythme
  • Réactogénicité plus sévère après la 2e dose
  • Saignement cutanéo-muqueux (principalement des ecchymoses et des saignements du nez)
  • Paralysie faciale
  • Pathologie démyélinisante centrale
  • Érythème noueux
  • Colite ischémique
  • Trouble auditif (surdité, hypoacousie et acouphènes)
  • Artérite à cellules géantes
  • Pseudopolyarthrite rhizomélique
  • Déséquilibre/récidive de pathologies chroniques
  • Ictus amnésique (amnésie transitoire)
  • Perte de connaissances, plus ou moins associée à des chutes
  • Polyarthrite rhumatoïde
  • Népropathie glomérulaire
  • Érythème polymorphe
  • Trouble menstruel
  • Morts in utero
  • HELLP syndrome
  • Contractions utérines douloureuses

[30] Peter McCullough est cardiologue consultant et vice-chef de médecine au Baylor University Medical Center à Dallas, cofondateur et actuel président de la Cardiorenal Society of America, conférencier invité à Académie des sciences de New York, au Instituts nationaux de la santé (NHS), à la Food and Drug Administration des États-Unis (FDA), à l’Agence européenne des médicaments et au Groupe de contrôle du Congrès des États-Unis. Il est probablement la personne la plus publiée aux États-Unis, avec plus de 1 000 publications et plus de 500 citations à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. « Le Pr  Peter A. McCullough est un géant de la médecine, avec une crédibilité impressionnante en tant que médecin et chercheur. Avec un h-index de 114, il est l’un des médecins les plus cités dans sa spécialité. Très tôt, il a pris un rôle important dans la réponse à la pandémie de COVID-19 en rassemblant autour de lui d’autres chercheurs et cliniciens pour mettre en place une réponse efficace et sauver le plus de vies possible. Son article de référence, l’un des rares à proposer un protocole de soin précoce, a été l’un des plus consultés cette année, et a influencé la prise en charge des patients dans le monde entier. »

[31] https://crowdbunker.com/v/X9OQaV4pcV

Version longue de l’interview : https://odysee.com/@archivalist:d/Leake-McCullough-Interview:0

Source : Médiapart

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