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Dr Astrid Stuckelberger : « Il n’y a pas de virus. C’est un empoisonnement par le graphène, par lequel vous pouvez créer des pandémies synthétiques »

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🔴Dr Astrid Stuckelberger : "Il n'y a pas de virus. C'est un empoisonnement par le graphène, par lequel vous pouvez créer des pandémies synthétiques"
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47 Réponse(s) à "Dr Astrid Stuckelberger : « Il n’y a pas de virus. C’est un empoisonnement par le graphène, par lequel vous pouvez créer des pandémies synthétiques »"

Poilagratter dit :

10 octobre 2022 à 21 h 59 min

Et le Covid est la 5G :
Video end game sur beforeitsnews.

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1. Poilagratter dit :
  
  10 octobre 2022 à 22 h 53 min
  
  Et clotshot creatures (armes nano bio synthétiques auto répliquantes ( hydres synthétiques/ bouchons d artères)
  
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Georges-Dominique dit :

10 octobre 2022 à 20 h 06 min

A Case Report: Multifocal Necrotizing Encephalitis and Myocarditis after BNT162b2 mRNA Vaccination against COVID-19 (Institute of Pathology ’Georg Schmorl’, The Municipal Hospital Dresden-Friedrichstadt, Friedrichstrasse 41, 01067 Dresden, Germany – https://www.mdpi.com/2076-393X/10/10/1651) :
« Le rapport actuel présente le cas d’un homme de 76 ans atteint de la maladie de Parkinson (MP) qui est décédé trois semaines après avoir reçu sa troisième vaccination COVID-19. Le patient a été vacciné pour la première fois en mai 2021 avec le vaccin à vecteur ChAdOx1 nCov-19, suivi de deux doses du vaccin à ARNm BNT162b2 en juillet et décembre 2021. La famille du défunt a demandé une autopsie en raison de signes cliniques ambigus avant le décès. La MP a été confirmée par les examens post-mortem. En outre, des signes de pneumonie par aspiration et d’artériosclérose systémique étaient évidents. Cependant, les analyses histopathologiques du cerveau ont révélé des résultats insoupçonnés, notamment une vascularite aiguë (à prédominance lymphocytaire) ainsi qu’une encéphalite nécrosante multifocale d’étiologie inconnue avec une inflammation prononcée comprenant une réaction gliale et lymphocytaire. Au niveau du cœur, des signes de cardiomyopathie chronique ainsi qu’une myocardite et une vascularite lympho-histiocytaire aiguë légère étaient présents. Bien qu’il n’y ait pas eu d’antécédents de COVID-19 chez ce patient, une immunohistochimie pour les antigènes du SRAS-CoV-2 (protéines du pic et de la nucléocapside) a été réalisée. De façon surprenante, seule la protéine spike, mais pas la protéine nucléocapsidique, a pu être détectée dans les foyers d’inflammation du cerveau et du cœur, en particulier dans les cellules endothéliales des petits vaisseaux sanguins. Comme aucune protéine nucléocapsidique n’a pu être détectée, la présence de la protéine spike doit être attribuée à la vaccination plutôt qu’à une infection virale. Ces résultats corroborent les rapports précédents d’encéphalite et de myocardite causées par des vaccins COVID-19 à base de gènes ».
(The current report presents the case of a 76-year-old man with Parkinson’s disease (PD) who died three weeks after receiving his third COVID-19 vaccination. The patient was first vaccinated in May 2021 with the ChAdOx1 nCov-19 vector vaccine, followed by two doses of the BNT162b2 mRNA vaccine in July and December 2021. The family of the deceased requested an autopsy due to ambiguous clinical signs before death. PD was confirmed by post-mortem examinations. Furthermore, signs of aspiration pneumonia and systemic arteriosclerosis were evident. However, histopathological analyses of the brain uncovered previously unsuspected findings, including acute vasculitis (predominantly lymphocytic) as well as multifocal necrotizing encephalitis of unknown etiology with pronounced inflammation including glial and lymphocytic reaction. In the heart, signs of chronic cardiomyopathy as well as mild acute lympho-histiocytic myocarditis and vasculitis were present. Although there was no history of COVID-19 for this patient, immunohistochemistry for SARS-CoV-2 antigens (spike and nucleocapsid proteins) was performed. Surprisingly, only spike protein but no nucleocapsid protein could be detected within the foci of inflammation in both the brain and the heart, particularly in the endothelial cells of small blood vessels. Since no nucleocapsid protein could be detected, the presence of spike protein must be ascribed to vaccination rather than to viral infection. The findings corroborate previous reports of encephalitis and myocarditis caused by gene-based COVID-19 vaccines).

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1. Poilagratter dit :
  
  10 octobre 2022 à 23 h 01 min
  
  Je connais quelqu’un qui suite aux 2 premières injections est tombé plusieurs fois et a commencé à devenir fou. A présent il ne peut manger que des purées qu’on lui fait avaler.
  Avant les injections il allait très bien…et était autonome.
  Mais…personne ne fait le lien !
  
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eric dit :

10 octobre 2022 à 18 h 48 min

« Il n’y a pas de virus »

c’est encore difficile pour certains, mais c’est parfaitement vrai.
Il suffit de travailler le sujet (qui est difficile il faut bien le dire) pour comprendre tout ça.

Le site cv19.fr est pas mal sur le sujet.

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1. jean-pierre s 82 dit :
  
  10 octobre 2022 à 18 h 52 min
  
  https://cogiito.com/a-la-une/des-chercheurs-japonais-publient-detranges-cas-de-caillots-sanguins-apres-les-vaccins-covid-de-pfizer/
  jp
  
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  1. eric dit :
    
    10 octobre 2022 à 18 h 57 min
    
    tout à fait, et je pense meme que ça commence à se savoir (enfin)
    
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RIEN dit :

10 octobre 2022 à 18 h 40 min

Toujours les mêmes informations qui circulent sur la présence de graphène ou de ses dérivés dans les produits actuellement injectés à l’échelle mondiale.

La bio-compatibilité et la toxicité du graphène et de ses dérivés ont été mises en évidence dans de nombreuses études…et nous ne sommes toujours pas capables de relever ce défi ! Donc l’emploi de cette substance est encore interdite à ce jour.

S’empresser d’affirmer qu’il y a du graphène dans ces injections sans même faire d’abord une Macro Spectroscopie RAMAN, une simple mesure de routine faisant partie d’un démarche strictement scientifique de base de tout biologiste ou chimiste qui voudrait mettre en évidence la présence ou non de ces matériaux ?
Je parle bien ici de macro-Raman sur la solution et non de micro-Raman où l’on observe qu’une fraction infime de la surface disponible.

Il est parfaitement inutile de se précipiter sur les microscopes électroniques, tout simplement parce que le monde nanométrique a ses propres lois, très différentes du monde macroscopique.
Ce n’est qu’une fois la présence de graphène et son pic caractéristique mis en évidence par une Macro Spectroscopie RAMAN que l’on peut employer la microscopie électronique dans un second temps.
Mais ce n’est pas fini, car il ne suffit pas de détecter, il faut aussi doser. C’est-à-dire avoir une idée très précise de la concentration, car, comme on le sait, ce n’est pas la substance qui fait le poison, mais la dose.

Pour vous faire une idée de ce qui se passe en microscopie électronique.

Prenons une particule de graphène carrée de taille égale à 50 nanomètres.
Nous avons ainsi une surface de 50×50 = 250 nm2 = 250×10-18 mètres.
Supposons que je dispose d’une grille de microscopie électronique faisant 1 cm2. Pour balayer cette surface dans son ensemble à l’échelle de 50 nm, il me faudra explorer 10-4/2,5×10-16 = 4×1013 zones. Si l’on estime qu’il faut 0,1 secondes pour explorer une zone, il nous faudra disposer d’un temps égal à 4×1012 secondes. Cela signifie qu’il me faudra environ 127 000 années !

En microscopie électronique, on n’explore donc qu’une partie infime de la surface disponible, et si on détecte l’objet cherché, il faut encore décider s’il appartient bien à l’échantillon testé. Car, à cette échelle, on peut tout simplement observer une poussière de la pièce qui s’est déposée sur la grille. Il peut aussi s’agir d’une particule qui s’est formée sur place sous l’action du faisceau d’électrons.
Parce que toute matière organique chauffée en l’absence d’oxygène se carbonise. Et, carboniser signifie faire du graphite qui par exfoliation donnera du graphène.

D’où l’intérêt d’avoir fait auparavant un spectre Raman pour être sûr que le graphène est bien là avant l’observation au microscope électronique. Sans spectre Raman, il est impossible de conclure. Observer du graphène sur une grille de microscope électronique ne suffit donc pas. Il faut en plus démontrer que ce graphène appartient bien à l’échantillon testé et non à l’air ambiant. Et, cela peut s’avérer très difficile et fastidieux. Bref, il faut de la rigueur et c’est bien ce qui manque dans toutes les études que j’ai pu voir. Il serait, en effet, très simple de montrer les spectres Raman des solutions injectées aux gens après avoir retiré le solvant. S’il y avait du graphène en quantité significative sur le produit sec obtenu, on serait fixé. Pourtant, RIEN. On ne nous montre que des clichés sur une toute petite fraction de la matière disponible.

Quand au Dr. Noack et ses nano-rasoirs…

Ainsi, l’hydroxyde de graphène formerait des structures dans le flux sanguin d’environ 50 nm de large et 0,1 nm d’épaisseur.(Comme dans l’exemple cité plus haut !) Elles agiraient comme de petites lames de rasoir dans le flux sanguin qui peuvent couper les vaisseaux sanguins. Une fois dans la circulation sanguine, elles y resteront pour toujours (à moins que la personne ne reçoive une transfusion sanguine pour les éliminer). Leur effet sur les vaisseaux sanguins est cumulatif. Plus elles restent longtemps dans la circulation sanguine, plus les vaisseaux sanguins sont endommagés au fil du temps. Cela crée des problèmes d’hémorragie dans tout le corps.

Que vraiment penser de tout cela ?
Tout d’abord, le corps humain ne manque pas de ressources pour éliminer toute substance étrangère et potentiellement nocive.
Rien ne reste indéfiniment dans la circulation sanguine.

à vrai dire, Je trouve bien étrange pour un spécialiste des nanotechnologies, que d’affirmer que ces lames de rasoir couperaient les vaisseaux sanguins !

Laissons pour le moment la biologie pour ne considérer que l’aspect matériau.
Tout matériau possède ce que l’on appelle un module de Young qui décrit comment le matériau réagit sous l’effet d’une contrainte mécanique.

Dans ces conditions, que penser d’un feuillet de graphène dont l’épaisseur est de 0,34 nm ? C’est-à-dire 1 000 fois plus fin que le tranchant d’une lame de rasoir ?

Sauf, qu’encore une fois, nous sommes à l’échelle du nanomètre et non du millimètre.
Si nous considérons les chiffres avancés par le Dr Noack :
Soit L la taille d’une nanoparticule de graphène de densité ρ = 0,77 mg·m-2 et e son épaisseur. La pression développée par ce « nano-rasoir » sera de ce fait P = ρ×L×L×g/(e×L) = ρ×L×g/e. Ici, g = 9,81 m·s-2 est l’accélération due à la pesanteur. Comme e = 0,34 nm, il vient P(Pa) = 0,77×10-6×9,81×L/0,34×10-9 = 22 217×L. Si L = 50 nm comme annoncé par le Dr. Noack, on aura une pression P = 0,00111 Pa.
Un tissu biologique ayant un module de Young d’une centaine de MPa, sera totalement insensible à une pression aussi faible telle que P = 0,00111 Pa.

Pourquoi ce Dr Noack a cherché à affoler avec son histoire de nano-rasoirs avec des raisons, qui n’ont strictement rien à voir avec la science ?
Vouloir faire croire que des nanoparticules de graphène fonctionnent comme des rasoirs, reviendrait à affirmer que vous pouvez percer un mur de brique ou de béton avec un cure dent ! J’attends avec impatience la démonstration de cette loi physique que nous sommes alors très nombreux à ignorer !

En revanche et pour être très clair, il est hors de mon propos de cautionner ces injections, je ne dis pas qu’il n’y a pas de graphène dans ces injections, mais ces soi-disantes preuves avancées avec tous ces clichés de microscopie électronique ne sont pas convaincantes sur un plan strictement scientifique. Ce que j’ai pu voir et constater jusqu’à présent, c’est de la science plus que bâclée et empressée.
Effectivement, toutes ces techniques utilisées ne permettent pas de savoir RIGOUREUSEMENT, pour un échantillon donné, si ce ne sont pas des impuretés, puisque toute grille de microscope électronique est recouverte d’une membrane de carbone amorphe qui peut se recristalliser en oxyde de graphène sous l’action du faisceau électronique. Dès lors, comment être vraiment sûr que l’oxyde de graphène identifié par son diagramme de diffraction vient bien de l’échantillon et non du support ?

Tout ceci n’est pas concluant pour cause de méthodologie insuffisante ! Ce n’est que cela que je souhaite partager sans l’imposer.

Il y a énormément de publications et de brevets disponibles sur l’utilisation d’oxyde de graphène dans des vaccins dont ici entre autre :
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305.

Ce produit est en effet une vraie saloperie. Le mettre dans un produit destiné à être injecté en masse dans des populations serait purement criminel. Si jusqu’à présent, cegraphène a effectivement été testé pour servir d’adjuvant dans les vaccins pour remplacer l’hydroxyde d’aluminium et le mercure, ça ne concerne que des études en labo qui n’ont à ce jour, à nos connaissances, débouchées sur aucun brevet commercial !
L’enfer chimique a pris naissance lors de la 2nde guerre mondiale, ce qui a fini par aboutir à des règles très strictes, respectées par les industriels jusqu’à présent.

Si maintenant ces règles sont bafouées par ces entreprises pharmaceutiques, alors l’humanité vit tout simplement ses dernières années et disparaîtra, empoisonnée par les centaines de milliers de substances chimiques toutes aussi toxiques les unes que les autres. Mais les génocideurs, également, dans leurs bunkers ne pourront y échapper très longtemps, car c’est un suicide auquel il ne pourront échapper à plus ou moins long terme. Et environnés d’experts en tout ce qui remue, ça m’étonnerait fort qu’ils l’ignorent et qu’ils prennent ce risque !

Finalement, il se pourrait que la “vaccination” ait tout simplement quelque chose à voir avec la ferritine.

Comme c’est démontré ici, https://www.nature.com/articles/s41586-021-03594-0
notre corps possède de la ferritine, une nanoparticule biologique naturelle qui peut très bien être fonctionnalisée avec un morceau d’ARN viral.

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1. Dubois dit :
  
  10 octobre 2022 à 19 h 51 min
  
  « Soit L la taille d’une nanoparticule de graphène de densité ρ = 0,77 mg·m-2 et e son épaisseur. La pression développée par ce « nano-rasoir » sera de ce fait P = ρ×L×L×g/(e×L) = ρ×L×g/e. Ici, g = 9,81 m·s-2 est l’accélération due à la pesanteur. Comme e = 0,34 nm, il vient P(Pa) = 0,77×10-6×9,81×L/0,34×10-9 = 22 217×L. Si L = 50 nm comme annoncé par le Dr. Noack, on aura une pression P = 0,00111 Pa.
  Un tissu biologique ayant un module de Young d’une centaine de MPa, sera totalement insensible à une pression aussi faible telle que P = 0,00111 Pa. »
  
  Vous parlez d’accélération due a la pesanteur.
  
  Mais que faites vous des turbulences de flux sanguin aux zones de bifurcation, ou la pression sanguine augmente ?
  
  Linus Pauling a basé toute sa thérapie sur le traitement de l’athérosclérose par la vitamine C en expliquant que le corps, en absence de vitamine C nécessaire pour la synthèse de collagène de réparation, va utiliser le cholestérol a sa place pour boucher les trous aux endroits du réseau circulatoire sanguin sujets a une augmentation de la pression sanguine (zones de bifurcation)
  
  Il a très bien montré que la localisation de ces plaques athéromateuses était située précisément a ces zones de bifurcation qui étaient le siège de pressions sanguines plus élevées entraînant des fissures dans la paroi des vaisseaux. Chose toujours ignorée intentionnellement par la médecine officielle.
  
  Je trouve du reste vos remarques très informatives et intéressantes.
  
  Répondre
  1. RIEN dit :
    
    10 octobre 2022 à 20 h 40 min
    
    Accord total avec les excellents travaux de Linus Pauling mais c’est de la biologie
    
    Turbulence du flux sanguin sur des nanomatériaux ? Je reviens à mon cure-dent et le mur de béton… si je lance ce cure-dent avec un lance-pierre, une catapulte, ça change quoi ?
    
    Pour avoir une pression plus forte, il faut donc augmenter la taille L.
    Avec L = 1 mm, on passe ainsi à P = 22 Pa. Toujours insuffisant.
    Une autre solution serait de considérer un coin et non un aplat.
    On aurait alors P(Pa) = ρ×L×L×g/(e×e) = 65×10puissance12×L2. Avec L = 50 nm, on aura une pression P = 0,16 Pa. Toujours pas de quoi s’inquiéter.
    Par contre, avec L = 10 µm, on passe à P = 6,5 kPa et avec L = 1 mm, P = 65 MPa. Là, on commence à être bon. Sauf que dans ces conditions le rasoir n’est plus vraiment à l’échelle nano , car, une cellule eucaryote, c’est 10 µm et non 1 mm…
    
    Répondre
2. Poilagratter dit :
  
  10 octobre 2022 à 23 h 37 min
  
  C’est un Rien possible !
  Mais alors, son meurtre serait une mise en scène ? Dans quel but ? Nous orienter vers une fausse piste ?
  Il est vrai que le venin de serpent et la protéine spike ont été repérés ainsi de des nano particules qui s ‘auto assemblent en circuits et s’auto répliquent.…
  De toute manière on a beau essayer, ouvrir les yeux des gens sur la dangerosité des injections est quasi impossible tellement ils croient dur comme fer à la propagande.
  Meme si des procès sont en cours , rien ne stoppe les khazars et leur rouleau compresseur.
  A présent la dernière phase de leur plan de dépopulation est en marche avec la destruction du reste des industries et l’organisation de la famine et blocage de la société par manque voulu d’essence et de nourriture.
  Sylvano Trotta relayait le fait qu ‘en Allemagne ou les hivers sont rigoureux ,certains sont extrêmement dépressifs et terrorisés quant à leur survie dans le froid, d’autant que la sparkasse banque commence à ne plus délivrer d’argent liquide possiblement pour éviter les petits boulots au black et tout surveiller.
  
  Répondre
Windenberger Bruno dit :

10 octobre 2022 à 14 h 27 min

Donc dans le domaine de la médecine vous avez le même système de mensonges ,d’incompétences , de croyances ridicules , de système mafieux de rakets et coruption que dans la science physique !
Comme inscrit dans les commentaires il est fait allusion aux trainées chimique et donc par rapport à la citation du jour qui dit que :
« Le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. »

Voila vous avez le mal dans la médecine et la physique……….faut rien dire ,rien expliquer ,les laisser se débrouiller avec la vidéo que j’ai mise en ligne et deux ou trois machins que j’ai laissé par ci par là mais même avec ça ,je sais trés bien qu’ils ne peuvent pas comprendre car se sont des malades mentaux et surtout , jamais ,jamais les aider !
Ils ont produits cette sociète minable et détruit l’environement ….qu’ils réparent et regle le problème de leur 7 milliards d’esclaves….Ca ce n’est pas mon problème …Les gens serieux se demarqueront tout seul et ont déjà depuis longtemps pris des distances avec ce cirque…..Mais l’asrid ,je l’ai déjà dis ,comme fullmich…ils ne sont pas fiables ! Agent du système car les gens qui dérangent se système ne traine pas longtemps ,comme Severac Claire !
Et moi la dedans ,je vous pisse à la raie car il souhaite avec l’autre clown de neuralick et d’autre d’ essayer de trouver un truc pour pirater les cerveau d’un niveau supérieur au leur et avoir de nouvelle compréhension concernant la gravité et autre car pour le moment ils sont coincé sur cette planète avec vous autre et ils ne peuvent pas s’echapper …avec du quantique et de la déformation du tissu spatial, ha bin,forcement on ne va pas loin….Zone atmosphérique et pi c’est rien de neuf depuis Itogawa ou Von Braun ,portance et propulsion generé grace à l’atmosphère ; pour le reste ,pour vous niveau zéro

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david jefferson dit :

10 octobre 2022 à 13 h 10 min

je ne me lasserai jamais de relayer les precieuses infos du regrette Andreas Noack, lachement assassine par l’ennemi nazocorpofascsite qui a infiltre nos institutions sur l’HYDROXYDE de graphene et la raison pour laquelle on le trouve dans ces injections maudites.
Andreas Noack fut le decouvreur de l’hydroxyde de graphene, en tant que chimiste.
https://odysee.com/@Humanimal:2/Qu%E2%80%99Est-Il-Arriv%C3%A9-au-Dr-Andreas-Noack–:5

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