Dermatose : le piège de la vaccination du cheptel

– 06:00 par Emilien Lacombe

Jean-Marc Sabatier conteste la politique sanitaire française face à la dermatose nodulaire contagieuse (DNC). Il voit dans ces abattages massifs une stratégie déguisée visant à réduire le cheptel français comme le préconisait dès 2023 la Cour des comptes.

Crise agricole : Coordination rurale 64

Le chercheur Jean-Marc Sabatier qualifie d’absurde la pratique consistant à abattre des troupeaux entiers lorsque quelques animaux sont touchés par la Dermatose Nodulaire Contagieuse (DNC). Cette maladie, non transmissible à l’homme, guérit spontanément dans la majorité des cas en quelques semaines, avec un taux de mortalité généralement compris entre 1 et 2 %, rarement supérieur à 10 %.

Des traitements existants ignorés

Selon Jean-Marc Sabatier, plusieurs options thérapeutiques permettraient de traiter les animaux infectés : l’ivermectine, des anti-inflammatoires non stéroïdiens, des compléments en minéraux et vitamines, ainsi que des applications locales de chlorhexidine ou d’iode pour les lésions cutanées. Dans les cas graves, des antibiotiques peuvent prévenir les surinfections bactériennes.

Une politique de réduction du cheptel

Le scientifique voit dans ces abattages massifs une stratégie déguisée visant à réduire le cheptel français. Il fait référence à un document de la Cour des comptes de mai 2023 évoquant une réduction d’environ 30 % du cheptel national d’ici 2035 (ci-dessous). Pour lui, la France se distingue par cette approche radicale, absente dans d’autres pays confrontés à la même maladie.

Le piège de la vaccination

Jean-Marc Sabatier (DR)
Jean-Marc Sabatier (DR)

La ministre de l’Agriculture a annoncé une campagne de vaccination concernant environ un million de bovins. Sabatier y voit un danger majeur : le vaccin utilisé contient un virus atténué (souche Neethling) dont les effets secondaires ressemblent aux symptômes de la DNC elle-même – nodules et lésions cutanées. Des animaux sains, mais présentant ces réactions post-vaccinales, pourraient ainsi être abattus par erreur.
Jean-Marc Sabatier souligne qu’une société, BioSellal, propose des tests PCR permettant de différencier une infection réelle des effets du vaccin, tout en émettant des réserves sur la fiabilité de ces tests selon les conditions d’utilisation.

Une accélération inquiétante

Cette campagne s’inscrit dans une tendance plus large : après la vaccination massive de canards au printemps, la France connaît une accélération sans précédent de la vaccination animale. J-M. Sabatier évoque le développement d’environ 500 vaccins à ARN messager en médecine humaine et vétérinaire, privilégiant des versions auto-amplifiantes particulièrement controversées.
Face à cette situation, le scientifique appelle à sensibiliser agriculteurs et citoyens, estimant que la prévention – surveillance et isolement des animaux malades – serait bien plus efficace que la vaccination de masse, d’autant que la DNC se transmet par des insectes piqueurs absents en période hivernale.
Bref, la vaccination du cheptel semble répondre à un plan conçu depuis plusieurs années pour servir des intérêts politiques et économiques qui ne sont pas ceux des agriculteurs. Toute ressemblance avec la vaccination anti-Covid n’aurait rien de fortuit.

Rapport de la Cour des comptes

Source : Info du jour

AVIS aux illettrés du Ministère qui ânonnent des FAUSSES infos

1. Les tests PCR sont inutiles si on n’est pas malade, cela vaut pour les gens comme pour les animaux. Donc une PCR (+) sans symptômes ne signifie RIEN.

2. Tout test (que ce soit PCR ou autre) est un trade-off entre ÊTRE efficace en positivité  ou en négativité… mais ne peut jamais ÊTRE efficace pour les 2 à la fois .

=>> Cela SIGNIFIE qu’un test NÉGATIF chez un animal non malade est un VRAI NÉGATIF… 

Il ne faut pas confondre avec des faux positifs, chez animaux SANS symptômes!!!!

Donc la note du ministère est soit FAUSSE de bonne foi, soit un mensonge.

3. Il ne faut pas confondre traitement spécifique ciblé pour UN seule germe  et TRAITEMENT tout court

– 2 classes d’antibiotiques normaux sont d’excellent anti-viraux car ils inhibent la synthèse des protéines donc RENDENT la RÉPLICATION VIRALE impossible,

-> Les macrolides – sont une de ces 2 classes , et ILS le savent au ministère – cad erythromycine, azythromycine, etc… SONT donc TRÈS efficaces contre TOUS les virus. 

Quels qu’ils soient le virus doivent faire fabriquer leur protéines pour infecter +++

-> L’Ivermectine – qui a  plusieurs actions sur les cellules animales – peut bloquer TOUS les virus ou presque à plusieurs moments de leur cycle au sein des cellules de l’animal.

-> Les traitements cutanés locaux sont toujours bienvenus lors des maladies de peau. 

Même les antiseptiques car ils évitent bien des complications …

-> La lutte contre les vecteurs  – qu’ils soient insectes ou agents du gouvernement !!! – est essentielle.

Bon Sens Org a fait une liste

SVP – je vous en supplie – partagez ces infos correctes et cruciales 

– on vous raconte n’importe quoi au départ du Ministère de l’agriculture !

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