Décédés et vaccinés, ou vivants et libérés : à vous de choisir

Nous ne pouvons qu’être effarés par le manque d’honnêteté des médias français. Il faut dire à la décharge des journalistes qu’actuellement, si vous refusez d’écrire ce que la doxa dominante entend vous voir rédiger, vous avez vite fait de prendre la porte et de vous retrouver tricard pour de nombreuses années. Car c’est ça la réalité du métier de journaliste désormais : soit vous obéissez et vous publiez ce que l’on vous demande, soit vous pointez à Pôle emploi pour un long, un très long moment, car l’ordre est donné : vous êtes pestiféré et toutes les portes se ferment devant vous.

C’est ainsi que le vendredi 30 juillet dernier, les chaînes de télé et la presse écrite nous apprenaient le décès de Jacob Desvarieux, intervenu à l’âge de 65 ans au CHU de Guadeloupe des suites du Covid-19. Une bien triste nouvelle. Diabétique, de santé fragile depuis une greffe rénale, le musicien avait été hospitalisé le 12 juillet à Pointe-à-Pitre après avoir été contaminé par le coronavirus. Faisant partie des personnes à risque face à la maladie, il avait reçu trois doses de vaccin. Vous savez, ce vaccin si formidable qu’il vous protège à 90 % de la maladie !


Avec plus de 4 millions d’albums vendus dans le monde depuis la création du groupe en 1979, 40 concerts au Zénith et quelques Bercy en 2009, Kassav’ jouissait d’une popularité sans précédent de New York à l’Afrique sans oublier les Caraïbes. Kassav’ c’était un délicieux mélange de joie, de dynamisme, d’hédonisme, d’engagement, le tout avec un indéniable sens de la fête. Un groupe qui a bercé la jeunesse de nombreux Français et dont nous ne pouvons que regretter le décès de son leader. Mais pourquoi diantre les chaînes de télé et la presse écrite qui ont annoncé son décès n’ont-ils pas « avoué » qu’il avait été vacciné ? Peur de prouver que le vaccin, comme le disent nombre de scientifiques, ne nous protège en rien de la maladie ? Peur de se faire taper sur les doigts par les laboratoires qui sont aussi des donneurs d’ordre publicitaires ?

Au Royaume-Uni, selon les données de l’agence Public Health England publiée le 25 juin dernier : sur 117 personnes décédées du variant Delta, 50 avaient reçu deux doses et 20 avaient reçu une dose. Autrement dit, la majorité des patients positifs à ce variant qui sont décédés étaient vaccinés. Si la presse anglaise n’hésite pas à mettre la poussière en évidence, pourquoi en France la cache-t-on soigneusement sous le tapis ?

Combien sont-ils réellement ces morts du Covid à être décédés vaccinés ?

Voilà 18 mois que l’on nous ment sans vergogne. Sur les véritables chiffres des décès, sur le nombre de malades que l’on confond soigneusement avec des « cas », sur le résultat des tests PCR… Tests maintes fois remis en question.
Ainsi, le président tanzanien John Magufuli qui a limogé le directeur et un haut responsable du laboratoire national, doute des tests homologués par le CDC africain. Pour en avoir le cœur net, il a fait effectuer des tests sur des animaux et des fruits, tels qu’une chèvre, le fruit du jacquier, ou encore une papaye. Tests qui se sont révélés positifs. Alors, erreurs techniques, réactifs importés comportant des problèmes ou encore, comme il le déclare dans un discours en swahili retransmis par la télévision publique TBC « il est probable que les techniciens soient payés pour induire en erreur » ?
https://www.financialafrik.com/2020/05/08/covid-19-le-president-tanzanien-doute-des-test-pour-le-coronavirus/

En France, désormais le « mensonge d’État » est érigé en vérité. Le secret d’État fait tellement partie de notre horizon que nous n’y prêtons même plus attention. Et c’est très grave car l’État n’est rien. Il n’existe pas. L’État, ce sont les citoyens de ce pays. Lorsque nous entendons que l’État a payé, n’oublions jamais que l’État n’a pas d’argent. Ce qu’il distribue à tort et à travers sort toujours de notre poche. De la même façon, ces mensonges que nos dirigeants nous servent à longueur de temps, cette dictature qui ne porte pas encore bien son nom, cette soi-disant « vaccination » obligatoire mais qui n’est pas encore déclarée, n’a pas lieu d’être. Car l’État, c’est vous, c’est moi, c’est nous. Notre cher Macron-Pinochet aura beau faire, il n’est que notre serviteur, notre bonniche, et comme un bon petit chien servile, lui et sa clique doivent obéir au peuple français et cesser de nous mentir.

Alors, décédés et vaccinés ou vivant et libérés ? À vous de choisir !

Valérie Bérenger

Source : NS2017

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *