Il s’agit d’un enseignant d’une école maternelle à Saint-Laurent-du-Var, et plus particulièrement, en moyenne section.

Les deux familles portent plainte pour viol sur leurs enfants de la part de cet enseignant.

L’école est mise au courant directement,  le 1er octobre. Pourtant, le rectorat décide de suspendre l’enseignant en question, seulement le 7 octobre, soit une semaine après que les plaintes aient été déposées.

L’affaire a été classée sans suite. Les deux familles ont décidé,  de faire appel de cette décision et ont porté plainte conjointement. L’avocat des familles dénonce des interrogatoires qui ont été bâclés en ce qui concerne les enfants.

Ils ont été interrogés par les services de gendarmerie uniquement quelques minutes. Il dénonce de nombreux dysfonctionnements dans cette enquête et il dénonce également une gendarme, enfin le comportement d’une gendarme, qui aurait validé des commentaires sur la présomption d’innocence en ce qui concerne cette affaire, sur les réseaux sociaux et qui aurait pris parti, dès le début de l’affaire.

La gendarme en question était chargée d’auditionner justement les enfants victimes. source : https://t.me/VeriteDiffusee