Cui bono : la clé pour entendre* les informations

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Un officier supérieur de gendarmerie nous adresse ses réflexions concernant la « Pandémie » qui frappe notre pays, mais pas seulement, le monde entier…

Il commence son exposé par « Cui bono ». Nous avons recherché la signification de cette expression et voici ce qu’en dit Wikipédia

Cui bono, « A qui profite-t-il ? », « Pour quel profit ? », est une locution latine qui est encore utilisée.

C’est un adage latin qui est utilisé soit pour suggérer un motif caché ou pour indiquer que la partie responsable de quelque chose n’est pas ce qu’elle parait être à première vue.

 

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« Cui bono » est l’expression latine et civile qui correspond en français et au pénal à « à qui profite le crime ».

On ne va pas s’intéresser au crime bien que dans cette affaire de « pandémie » il y en aient certainement de nombreux depuis les bricolages de laboratoires jusqu’au port du masque qui empêche de respirer normalement  en passant par le décret « Rivotril »  marque infamante du gouvernement Philippe.

Non, on s’en tiendra à observer ce qui se dit dans la presse surtout audiovisuelle  en s’attachant à remarquer la qualité des personnalités invitées  par les journalistes qui servent la soupe et n’essaient jamais d’opposer un argument alternatif pour éventuellement exercer un droit de suite. Non ce serait trop risqué de contrarier l’invité qu’on remercie toujours pour sa grande disponibilité.

Qui profite ? au sens à qui ça rapporte.

Ce matin même sur une radio c’était un patron de surcroît représentant d’un syndicat de laboratoires de biochimie. Il était naturellement tout à fait d’accord avec la multiplication des tests mais à aucun moment le journaliste n’a évoqué le peu de fiabilité des tests PCR qui ne sont pas faits pour les diagnostics médicaux, ce que je répète depuis le début me cantonnant à rappeler  les paroles de l’inventeur de ces tests devant être réservés à la recherche, au point que c’est même noté sur les boites de tests comme il est noté sur les boites de masques chirurgicaux qu’ils ne protègent de rien et surtout pas d’un virus.

Cui bono : aux fabricants de tests, aux laboratoires et à tous ceux qui tirent leur emploi de la participation à ces tests et prélèvements et par dessus le marché au journaliste qui peut servir la soupe pour gagner la sienne ; l’éthique professionnelle ce sera pour plus tard.
C’est surtout l’utilisation qui est faite de ces tests qui est contestable et qui conduit à l’hystérie de la soi-disant reprise alors qu’il ne s’agit que des conséquences de l’augmentation du volume de tests effectués et les cas positifs ne sont pas des malades et peut-être même pas des cas covid puisqu’il ne s’agit que de prélèvement en si faible quantité d’élément d’ARN qu’il faut les multiplier pour les étudier et qu’ils ne rendraient pas le porteur malade selon les « vrais » spécialistes, surtout indépendants.

Et lorsque le Pr Raoult, au début de l’épidémie préconise de tester beaucoup il ne parle pas de ce qu’on fait actuellement n’importe comment sur les parkings dans des « drives » improvisés à cet effet avec du personnel non qualifié (étudiant en médecine, pompiers etc…) comme annoncé simplement pour pouvoir annoncer des chiffres importants de « cas », qui répétons le, ne sont pas des malades.
Le Pr qui est resté un médecin fait le travail d’un médecin, au pied du lit du malade et non sur un plateau télé. Il examine son patient, fait divers examens et le cas échéant fait pratiquer un test PCR. C’était d’autant plus valable au début qu’il fallait attribuer les symptômes à quelque chose et ce test y participe mais en aucun cas ne doit être le seul moyen de diagnostic et donc les tests sont employés éthiquement selon les souhaits de son inventeur et désormais les prescriptions des fabricants qui se protègent là juridiquement des retours de bâton.

Les fabricants de tests comme tous ceux qui entrent dans la chaîne sont donc d’autant plus d’accord pour la multiplication des tests prescrits par les autorités de santé qu’ils ne sont pas fiables et qu’à ce rythme leurs chiffres d’affaires vont exploser sans résultats sanitaires tangibles, c’est juste de l’abus de confiance organisé par des autorités politiques qui se « laissent tromper » par des conseils scientifiques pour le moins intéressés.

Après les tests, revenons à la base et auprès des médecins généralistes qu’on entend guère à part quelques uns qui se souviennent encore d’Hippocrate? Eux aussi sont intéressés puisqu’ils reçoivent 55 € pour déclarer un cas Covid. Cela rappelle étrangement les anomalies rapportées des US ou du Brésil où les cas déclarés Covid  rapportaient 13000 $ à l’hôpital et 39 000 $ en cas de mise sous respirateur.

Ces transactions de marchands de tapis lorsqu’on veut faire croire à une épidémie rappelle une anecdote édifiante rapporté après la visite d’un établissement hospitalier en Inde par une personnalité qui s’étonnait auprès du premier ministre de ce pays de ce qu’il venait de voir à savoir des tuberculeux au dernier degré qu’on faisait passer pour des malades du SIDA. La réponse aussi honnête que sidérante fut : la tuberculose est une maladie endémique en Inde et elle ne rapporte pas alors que les malades déclarés en SIDA rapportent des sommes importantes attribuées par l’OMS.

Vous avez dit éthique ? Argent et serment d’Hippocrate ne font pas bon ménage alors que dire de Saint Pantaléon — nom de plusieurs villes ou villages dont le mien — qui était un médecin anargyre.
Sous le talon d’acier de Big-pharma et de sa chimie délétère l’esprit de la médecine a bien changé !

Et de Cui bono en Cui bono on peut aller loin à la recherche des profiteurs de guerre puisqu’il semblerait que nous y soyons.

Les vaccins pour les laboratoires qui les produisent et toute la chaîne de vente et de mise en œuvre, la bourse qui monte et descend au son du tam-tam de la presse ; Hydroxychloroquine marche ça descend, elle ne marche pas ça monte etc… vous avez compris le manège.

Les gouvernements qui veulent  contrôler leurs populations car les mouvements mondiaux de contestation – comme en France les Gilets jaunes – ont accéléré le sentiment d’urgence de trouver un système pour ce faire, quoiqu’il en coûte.

Naturellement à titre personnel tous les scientifiques qui mangent aux divers râteliers de Big-Pharma toujours bien garnis pour eux et tant pis s’il faut pour cela vouer à la Géhenne ceux qui font leur métier en suivant leur serment « primum non nocere » mais aussi ceux qui parlent de système immunitaire que nos politiques n’évoquent pas souvent crispés qu’ils sont sur le vaccin en sautant comme des cabris aurait dit le Général De Gaulle.

Là aussi les médecins de la start-up nation oublient Hippocrate qui disait que ton aliment soit ton médicament,  préconisait aussi la médecine manuelle avant de se résoudre à des médicaments.

En la matière aussi les choses ont singulièrement changé ; la filière agroalimentaire rend malade les citoyens peu éduqués, Monsanto et sa clique rajoute son grain de poison,  Big-pharma finit le travail et cerise sur le gâteau certaines sociétés impliquées dans les pesticides qui vous donnent des cancers sponsorisent les hôpitaux et leurs fournissent dossiers et médicaments pour curer les mêmes cancers. Par charité athée je ne donnerai pas de noms mais il sont dans mon dossier de suivi.

Donc « Cui bono » doit se poser ** en permanence car croire en la bienveillance de ceux qui ont quelque chose à vous vendre ou à celle de l’état c’est faire preuve d’une naïveté qui n’a plus de place en ce siècle de mensonges et de corruption.
Des sociologues vous parleraient de post-vérité mais cette tendance à l’euphémisme pervertit beaucoup les relations humaines et la confiance dans le discours officiel.

Si les dangers sous jacents à cette crise peuvent être neutralisés ce sera à l’aide de cette antique expression « Cui bono » qui réveillera l’esprit critique des citoyens « trop confiants ».
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*  « Entendre » et pas simplement « ouïr »

** Dans l’affaire présente ce qui est dit pour les tests vaut aussi pour les masques et le reste.

info / Vaccination obligatoire : Cui bono ? A qui cela sert il ? - YouTube

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