Chroniques d’un consentement forcé

A ce jour, déjà 88% des adultes français se sont fait injecter avec des vaccins encore en phase 3 contre une maladie qui n’est mortelle que pour 1,27% des personnes infectées1 et pour laquelle 95% des personnes qui en décèdent ont plus de 60 ans (source). Comment en est-on arrivé à une telle situation ? Pourquoi notre gouvernement se refuse-t-il à analyser sereinement la balance bénéfice/risque des vaccins ? Dans cette situation incompréhensible, serons-nous obligés, demain, d’accepter que nos enfants soient injectés pour pouvoir aller à l’école ?

Tout a commencé le 7 mars 2020, jour où Emmanuel Macron en allant avec son épouse au théâtre, a incité les français à ne pas modifier leurs habitudes nous indiquant au passage que le corona virus n’était dangereux que pour les personnes fragiles (source). Que s’est-il passé a la suite pour que, 9 jours plus tard (le 16 mars), il déclare que la France est en guerre et décrète le confinement ? Pourquoi un changement aussi radical de regard sur la situation ? Maintenant nous savons clairement que la covid n’est mortelle que, majoritairement, pour les personnes à risque. Pourquoi notre Président est-il passé de l’état de personne sensée à l’état de personne déraisonnable ?

Etant donné notre stock de masques et notre stratégie inexistante de lutte contre le virus, il était difficile de nous sortir de cette situation. Pourtant le plan de lutte élaboré après la pandémie avortée de 2011 (source) aurait dû nous aider à nous y préparer. Aurait-il fallu le vouloir ! L’analyse à posteriori de la gestion de la crise par notre gouvernement, nous permet d’émettre un doute sur cette volonté.

C’est donc confinés dans nos logements, avec interdiction de nous déplacer à plus d’un kilomètre en dehors des déplacements de première nécessité, que nous avons assisté tous les soirs à la litanie quotidienne des morts. Jérôme Salomon, avec la froideur d’un croque-mort, nous annonçait quotidiennement le nombre de décès du jour. 100, 200, 500, 1 000, les chiffres s’envolaient sans réelle comparaison pour les relativiser. Forcément, quand le but est de faire peur aux gens, ni les membres du gouvernement, ni les médias, n’allaient expliquer que tous les jours en France il y a en moyenne 1 700 décès toutes causes confondues (source). Ils ont aussi oublié de nous dire que pendant l’épidémie de grippe de l’hiver 2017, il y avait eu plusieurs centaines de décès par jour et des hôpitaux surchargés (source).

Une fois la vague épidémique passée et le confinement levé, ils trouvèrent une nouvelle raison de nous faire peur. Les masque, d’inutiles quand les stocks de l’Etat étaient vides, sont devenus obligatoires, même en extérieur, sous peine d’amende. L’hystérie sur les masques a été tellement démesurée que certains croient encore qu’il faut le porter pour se protéger alors que le porter c’est protéger les autres de notre éventuelle contagion.

Pour accentuer notre frayeur, le conseil scientifique et les membres du gouvernement ont agité le spectre d’un rebond épidémique si nous ne respections pas leur règlementation pendant l’été 2020. Comment les membres du conseil scientifique ont-ils pu prédire quelque chose d’inédit sur les maladies infectieuses respiratoires connues et qui n’ont qu’une vague par an ? Avaient-ils une source d’information inconnue de nombreux médecins et immunologistes indépendants où était-ce simplement pour nous effrayer une fois de plus ?

Toujours est-il, ils ont eu raison, la deuxième vague est arrivée à l’automne. Et une nouvelle litanie a commencé, celle des tests à gogo. Forcément, en début de vague épidémique, en l’absence de morts, l’annonce du grand nombre de cas positifs effraie plus que l’annonce des décès. De plus, un test PCR à 40 cycles gonfle artificiellement ces chiffres : 10 000, 20 000, 30 000, 50 000, 70 100 à son maximum le 2 novembre 2020 (source). On ne parle pas de malades, mais de cas positifs dont un grand nombre sont asymptomatiques. Pour ne pas mettre à nouveau notre économie dans la difficulté, le gouvernement a retardé au maximum la mise en place du confinement. Nous aurions pu même l’éviter si le gouvernement s’était mieux entouré. Le 28 octobre, des personnes sans conflit d’intérêt aurait su signaler que le taux de reproduction effectif R0 était en baisse depuis 3 jours et que l’épidémie commencerait sa phase descendante peu de jours après. Ce qui s’est avéré juste le 5 novembre car le R0 atteignait l’équilibre avec une valeur à 1 (source). Mais ils ont préféré à nouveau effrayer la population avec un confinement non nécessaire ?

Malgré une situation épidémique en récession, les médias et les membres du gouvernement ont continué à distiller la peur. Ils ont préféré nous laisser supposer que nous serions encore confiné pour Noël et cela malgré la baisse continue des hospitalisations et des réanimations. Eh oui, quoi de plus angoissant pour une famille que de ne pas pouvoir se réunir pour célébrer Noël ? Mais heureusement, les vaccins salvateurs sont là et avec des taux d’efficacité jamais égalé : jusqu’à 95%. Jamais dans l’Histoire de l’Humanité Moderne, on a développé aussi rapidement des vaccins d’une telle efficacité. Vous doutez de ces valeurs d’efficacité ! Seriez-vous complotiste ?

Les vaccins à ARN messager de Pfizer-BioNTech et Moderna, issus de la technologie de médecine génétique, et le vaccin à Adénovirus de AstraZeneca sont là bien plus tôt qu’espérés et vont soi-disant sauver l’Humanité de ce terrible fléau qu’est la covid-19. Toutefois, ils inquiètent des spécialistes en génétique tels que Alexandra Henrion-Caude (source) et Christian Vélot (source), tous deux spécialistes dans leurs domaines. Certains français sont encore réticents à la vaccination, seulement 50% y sont favorables (source). Pour nous rassurer, Emmanuel Macron nous précise dans un discours officiel qu’il ne rendra pas la vaccination obligatoire (source).

« Mais le vaccin est la meilleure chose pour éviter la maladie », me direz-vous ? « C’est oublier que dans plus de 93% des cas2, la covid ne nécessite pas d’hospitalisation », vous répondrai-je ! Pourquoi vouloir vacciner toute une population quand seulement moins de 10% risque de faire des formes graves ? Ce taux aurait même pu être réduit si on avait cherché des traitements pour les patients à risque. Vous souvenez-vous, on nous a dit que nous étions en guerre et que pour lutter contre le virus il fallait rester chez soi et prendre du Doliprane ! Pourtant contre la grippe, on donne aux plus faibles un antiviral (source Améli). Pourquoi a-t-on empêché les médecins généralistes de prescrire des antiviraux à leurs patients à risque ? S’il avait existé des traitements contre la covid, une AMM conditionnelle pour des vaccins encore en phase 3 aurait elle été accordée ? Vous voyez, j’ai réussi à aborder le sujet sans citer le noms de molécules qui fâchent.

Toujours est-il que début janvier, le programme de vaccination français démarre de manière éclairée, vu que ce sont d’abord les personnes âgées, puis les personnes à risque, qui sont autorisées à se faire vacciner. Forcément, les vaccins n’étant pas encore disponibles en grand nombre, le gouvernement est bien obligé de faire preuve d’intelligence. Pour moi, les opposants ont fait preuve d’irresponsabilité en critiquant le gouvernement de ne pas être capable d’avoir plus de doses, contrairement à Israël. Aurait-il fallu payer les doses 10 fois leur prix pour les avoir en premier ? Messieurs les opposants, n’oubliez pas, ce n’est pas vous qui payaient les vaccins mais les français avec leurs taxes et leurs impôts.

La vaccination démarre donc lentement sous les critiques multiples et voilà que le variant anglais arrive à point nommé. Plus contagieux, et donc plus dangereux, nous dit-on partout. 40 à 70 fois plus contagieux selon « Le Midi Libre » (source), ces chiffres ont-ils été réfléchis avant de les annoncer ? N’était-ce pas plutôt 40% à 70% plus contagieux (source) ? Voilà qui résume bien l’état d’hystérie présent en France en janvier 2020. Le 25 janvier, lorsque Philippe Juvin, chef des urgences de l’hôpital Georges Pompidou, demandait un troisième confinement le plus tôt possible vu la situation hors de contrôle en Grande-Bretagne, j’ai dénoncé cette volonté de faire peur sur une base non scientifique (source). Le gouvernement ne pouvant pas décréter un nouveau confinement sans mettre à mal l’économie, il envoie ses fonctionnaires hospitaliers faire le travail. Toutefois, le couvre-feu, lui, a bien été décrété pour éviter toute tentative aux français de festoyer entre amis les soirs de week-ends. « Respectez le couvre-feu, sinon ce sera le confinement, » nous disaient les membres du gouvernement. Et oui, toujours la peur.

Au final, la vague de variant anglais n’aura pas eu besoin de confinement. Mais avec moins de cas pour autant d’hospitalisations et plus de réanimations (source), il semblerait que ce ne soit pas la transmissibilité du variant anglais mais sa nocivité qui était le véritable danger. Bien que fin mars, un bon nombre de personnes à risque étaient vaccinés, cela n’a visiblement pas aidé à réduire les hospitalisations par rapport à la précédente vague.

Mi-avril, alors que les français constate que le variant anglais n’est pas si mortel que cela, arrive à point nommé l’épidémie en Inde. 4 000 morts et 400 000 cas par jour, voilà de quoi épouvanter la population. Tous les médias y sont allés à cœur joie pour instrumentaliser la peur sans relativiser ces chiffres avec ceux de la population indienne. Où est le vrai travail de journaliste dans ces articles qui ressemblent à ceux de tabloïds ? Le 30 avril, je dénonçais un article de BFM en démontrant que 3 500 morts de la covid en Inde, c’était l’équivalent de 220 en France et qu’ils omettaient de dire qu’il y a en moyenne 26 000 morts par jour en Inde (source). Le 7 mai, je dénonçais l’instrumentalisation de l’épidémie en Inde dans une vidéo de LCI (source). Mais que voulez-vous, la peur aide à faire accepter un vaccin expérimental. De plus, désormais tous les adultes peuvent aller se faire vacciner.

Malgré cela, début juillet, il n’y a encore que 35 millions de primo-vaccinés en France et le nombre de nouvelles vaccinations quotidiennes est en baisse depuis un mois (source). Heureusement, un nouveau danger est là : le variant delta. C’est le nouveau nom du variant indien pour ne pas jeter l’opprobre sur les pays dont sont originaires les variants. Voilà donc qu’on nous refait le même coup que pour le variant anglais, renommé alpha, mais que tout le monde continue à appeler anglais. Le 7 juillet 2021, BFM nous annonce que le variant delta est 60% plus contagieux que le variant anglais (source), c’est dire à quel point il faut s’alarmer.

Voilà de quoi donner des idées à notre gouvernement pour relancer la campagne de vaccination qui accuse le coup. C’est donc le 12 juillet 2021 qu’Emmanuel Macron présente son projet de pass sanitaire (source) qui sera actif le 21 juillet dans les lieux de loisirs et de culture, et début août dans les cafés, les restaurants, les centres commerciaux, ainsi que dans les hôpitaux. Que pensez-vous que fera une population quand son gouvernement sous-entend « vaccinez-vous sinon vous aurez une vie de merde » ? Les français sont allés se faire vacciner en masse. Est-ce cela un consentement libre et éclairé ? Ceux qui ne souhaitaient pas se faire vacciner, considérant qu’ils ne faisaient pas partie de la population à risque, y sont allés sans grande conviction pour certains et la boule au ventre pour d’autres.

Pour faire passer la pilule, les membres du gouvernement ont claironné tout l’été qu’une personne vaccinée divise par 12 sont pouvoir de contamination, c’est à dire que la vaccination est efficace à 91,6% contre la transmission. Pourtant, le 24 novembre 2020, le médecin en chef de Moderna avait averti que le vaccin à ARN messager n’empêcherait pas la transmission du virus (source) car ce n’est pas son but. Le gouvernement connaîtrait-il mieux les vaccins que leurs créateurs ? Le 30 juillet 2021, une étude israélienne vient contredire le chiffre annoncé par notre gouvernement. Ce n’est pas 91,6% mais plutôt 39% (source) d’efficacité contre la transmission pour le Pfizer-BioNTech, le vaccin le plus utilisé en France. Il en faut plus pour désarçonner le gouvernement qui ne retient de cette étude que le fait qu’elle confirme que le vaccin protège des formes graves. Cependant avec une telle réponse, le gouvernement oublie que les français sont allés se faire vacciner afin de ne pas diffuser la maladie et non pas pour se protéger eux-mêmes. Rappelez-vous le fameux slogan « Tous Vaccinés, Tous Protégés » diffusé tout l’été sur les autoroutes. Pour venir au secours du gouvernement, certains médias n’y sont pas allés de main morte. Le variant delta est plus contagieux que la varicelle nous explique BFM le 1er août (source) alors que deux semaines avant sur la même chaîne c’était uniquement 60% plus contagieux que le variant anglais. Quiconque étudie un minimum la dynamique de l’épidémie en Inde, constate qu’il est impossible que le R0 du variant delta puisse être aussi élevé que celui de la varicelle.

C’est alors qu’à nouveau, à point nommé, est arrivé la vague de variant delta dans nos DOM-TOM. « Vous voyez, ils sont vaccinés à moins de 20% et ils n’arrivent pas à contenir l’épidémie » nous dit le gouvernement, « c’est la preuve que la vaccination est efficace ». Je n’ai jamais entendu un argument aussi peu scientifique. En tant qu’ingénieur les bras m’en tombent. A ceux qui croient que cela est une démonstration scientifique, je répondrais que vu que la Jordanie (avec moins de 30% de personnes vaccinées début août) est arrivé à contenir la vague de variant delta alors que son pays voisin Israël n’y arrive pas (avec 64% de personnes vaccinées début août), cela signifie que le vaccin ne sert à rien. Aucune de ces deux démonstrations, qui disent le contraire l’une de l’autre, n’est scientifique. Mais malheureusement, depuis mars 2020 en France, la Science a été mise au placard. Et notre gouvernement ne s’interdit rien pour nous affoler un peu plus, le 5 août 2020, Olivier Véran nous met en garde contre un véritable tsunami (source). Nous l’attendons encore ! De mon côté, avec mes faibles compétences médicales, j’annonçais le 4 août 2020 un pic d’hospitalisation à 10 000 personnes (source). Visiblement, je suis un meilleur oracle que notre Ministre de la Santé qui pourtant a fait des études médicales mais qui semble-t-il, a oublié de faire des études de bon sens.

Au final la vague de variant delta est passée en France avec très peu de dégât sanitaire. Avec beaucoup moins de cas positifs (deux fois moins que pour le variant anglais), un pic d’hospitalisations à 11 000 (trois fois moins que pour les précédentes vagues) et un pic de réanimations à 2 300 (contre 6 000 pour le variant anglais), nous pourrions conclure que la vaccination est un succès. Nous pourrions donc arrêter ce climat anxiogène qui dure depuis 18 mois, d’autant plus que les dernières statistiques de l’INSEE montre que la 4eme vague n’a pas engendré de surmortalité par rapport à 2019.

Source du graphique

Eh bien non, Mme Lila Bouadma, éminent membre du Conseil Scientifique, nous met en garde le 27 août 2021 : avec le rentrée scolaire nous risquons un rebond allant jusqu’à 50 000 cas par jour (source). Quoi de mieux pour faire peur aux parents qui n’ont pas encore fait vacciner leurs enfants de plus de 12 ans ? Quinze jours après la rentrée scolaire, nous attendons encore ce rebond. Pourquoi venir nous effrayer encore un peu plus alors que 88% des adultes français sont vaccinés et 67% des enfants de plus de 12 ans le sont aussi (source) ? Et bien parce qu’il faut vacciner les enfants de moins de 12 ans au mépris de la balance bénéfice / risque. Pourtant, il n’y a aucun bénéfice à vacciner les moins de 18 ans. Sur les 12 premiers mois de la pandémie, il y a eu 12 décès chez les moins de 20 ans (source). A titre de comparaison, il y a eu 153 personnes de moins de 18 ans décédées dans les accidents de la route en 2019 (source). Parents, si vous voulez protéger vos enfants, arrêter de les mettre dans des voitures plutôt que de les vacciner.

Pour que les expérimentations médicales soient acceptables, le Code de Nuremberg est pourtant clair : « …la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition » (source). Vous l’aurez compris à la lecture de mon article, le consentement à la vaccination est loin d’avoir été libre et éclairé en France contrairement à ce que stipule pourtant le code civil (source). Comment faire un choix libre, quand tout a été mis en place pour nous faire peur ? Comment faire un choix libre, quand on nous interdit des actes du quotidien si on n’est pas vacciné ? Comment faire un choix éclairé quand on nous cache les effets secondaires du vaccin ?

Au sujet des effets secondaires, voilà le bilan des différents vaccins au 1er juillet 2021 :

Pfizer-BioNTech : 42,5 millions de doses, 761 décès soit 1 décès pour 55 800 injections (source ANSM Santé).
AstraZeneca : 7,2 millions de doses, 170 décès soit 1 décès pour 42 000 injections (source ANSM Santé).
Moderna : 5,2 millions de doses, 44 décès soit 1 décès pour 118 000 injections (source ANSM Santé).
Janssen-Johnson & Johnson : 608 000 doses, 7 décès soit 1 décès pour 86 800 injections (source ANSM Santé).

En plus de ces centaines de décès, les rapports de l’ANSM détaillent des centaines de milliers d’effets secondaires graves. « Oui, mais il n’y a aucune preuve que ces personnes soient mortes à cause du vaccin », argumenterez-vous pour prendre la défense du gouvernement dans sa décision de ne pas débattre des effets secondaires des vaccins. « Pourtant, lorsque des personnes en fin de vie meurent avec la covid, le gouvernement n’hésite pas à dire qu’elles sont mortes de la covid, même dans les cas où il n’y a pas de preuve, » vous répondrai-je. Pour aider le gouvernement, les médias n’hésitent pas à démentir les chiffres de l’ANSM face aux personnes qui demandent que ces effets secondaires graves soient pris en compte dans les analyses de balance bénéfice / risque au sujet de la vaccination (source).

Dans sa gestion sanitaire de la pandémie, le gouvernement a manqué du bon sens de nos médecins de famille. Il a interdit à nos médecins de prescrire des molécules qu’ils connaissent depuis des décennies (au nom du principe de précaution) et il a obligé, par la contrainte, la vaccination par des thérapies géniques qui n’ont même pas passé la phase 3 (faisant de la sorte fi de ce même principe de précaution). Je ne crois pas au complot mais la corruption est avérée. Au nom du profit économique et avec la complicité des gouvernements, les laboratoires ont réussi à vendre des milliards de doses de vaccins qui seront peut-être nocives à l’Homme sur le long terme. Le pourcentage des personnes non injectés va se réduire comme peau de chagrin. Mais ce seront eux les échantillons témoins pour comparer sur le long terme, les évolutions des différentes maladies entre les personnes régulièrement vaccinées et les personnes qui ne l’auront jamais été.

Amis résistants à l’expérimentation de masse, il va falloir résister jusqu’au bout quoi qu’il en coûte !

1 : Les tests ayant démarrés tardivement, pour calculer ce taux j’ai calculé le nombre total de cas et le nombre total de décès entre le 1er juillet 2020 et le 16 septembre 2021 (source).
16/09/21 : 6 934 732 cas cumulés et 115 894 décès cumulés
01/07/20 : 165 719 cas cumulés et 29 861 décès cumulés
Soit (115 894 – 29 861) / (6 934 732 – 165 719) = 1,27% des cas décèdent.

2 :
Idem que pour 1 en téléchargeant les hospitalisations sur Géodes bouton Synthèse (
source) .
16/09/21 : 539 087 hospitalisations cumulés
01/07/20 : 112 009 hospitalisations cumulés
(
source) Soit (539 087 – 112 009) / (6 934 732 – 165 719) = 6,31% des cas vont à l’hôpital.

Source : Agoravox

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