Canards vaccinés : les impacts pour votre santé

La France a pris une décision sanitaire sans précédent : elle est aujourd’hui le seul pays au monde à rendre obligatoire la vaccination à ARN messager de tous ses canards d’élevage contre la grippe aviaire. Cette mesure peut sembler anodine à première vue, mais elle soulève de graves questions relatives à la sécurité alimentaire et à la santé humaine.
Une technologie vaccinale inédite appliquée aux animaux d’élevage
Le Dr Jean-Marc Sabatier, docteur en microbiologie cellulaire et directeur de recherche au CNRS, est un spécialiste reconnu de l’ARN messager et des technologies virales. Il explique que deux vaccins sont actuellement utilisés en France pour les canards. L’un est à virus inactivé et l’autre est un vaccin à ARN messager auto-amplifiant produit par l’entreprise vétérinaire SVA et dirigé contre l’hémagglutinine H5 du virus H5N8 responsable de la grippe aviaire.
Cette autorisation temporaire d’utilisation a récemment été renouvelée pour deux ans, jusqu’en 2027. Mais qu’est-ce qui différencie ces vaccins à ARN messager auto-amplifiant des vaccins traditionnels ?
Le fonctionnement des vaccins ARN messager auto-amplifiants
Dans un vaccin à ARN messager auto-amplifiant, les scientifiques ont ajouté à l’ARN messager traditionnel un domaine codant pour un complexe réplicase. Ce dernier provient d’un alphavirus, le virus de l’encéphalite équine vénézuélienne, et se compose de quatre molécules : NSP1, NSP2, NSP3 et NSP4.
Ce complexe réplicase permet à l’ARN messager de se copier lui-même. Concrètement, il produit un brin d’ARN complémentaire qui sert ensuite d’amorce pour fabriquer un brin identique à l’ARN messager original. La cellule produit ainsi non seulement l’antigène H5 censé protéger contre la grippe aviaire, mais également ce complexe réplicase qui multiplie indéfiniment l’ARN messager.
Le passage potentiel dans l’organisme humain
Le Dr Sabatier souligne une préoccupation majeure : ces vaccins contiennent des nanoparticules d’oxyde de fer et du squalène qui forment une gangue protectrice autour de l’ARN messager. Cette gangue pourrait permettre à l’ARN messager de résister à la cuisson, notamment lorsque la viande est consommée rosée, comme c’est souvent le cas pour le magret de canard.
Or l’ARN messager est normalement thermosensible et se dégrade à partir de 65 degrés. Cependant, certains ARN messagers peuvent rester stables à 100 °C pendant 10 minutes, voire à 80 °C pendant 65 heures. La gangue de nanoparticules et de squalène pourrait également protéger l’ARN messager de l’acidité gastrique dont le pH varie de 1 à 3 dans l’estomac.
Plus inquiétant encore, au contact des muqueuses buccales et œsophagiennes lors de la consommation de viande de canard, l’ARN messager pourrait passer dans l’organisme humain. Si cet ARN messager auto-amplifiant franchit cette barrière, le complexe réplicase fonctionnel qu’il contient pourrait alors se mettre à fabriquer de l’ARN à partir de matrices présentes dans l’organisme, avec des conséquences totalement imprévisibles.
Une décision française qui interroge
Comment une telle mesure a-t-elle pu être mise en place en France en 2025 ? Le Dr Sabatier rappelle que ces injections d’ARN messager relèvent en réalité de la thérapie génique, puisqu’elles utilisent du matériel génétique. Or, normalement, toute une batterie de tests devrait accompagner la mise sur le marché de tels produits : tests de tératogénicité, études de biodistribution, analyses de la production des molécules, etc. Or, ces tests n’ont pas été réalisés ni pour les vaccins animaux, ni même pour les vaccins à ARN messager contre la COVID-19 destinés à l’homme.
La France n’est d’ailleurs pas le seul pays dans cette situation. L’Agence européenne du médicament a récemment autorisé le Kostaive, un autre vaccin à ARN messager auto-amplifiant développé par les sociétés CSL et Arbutus Therapeutics, déjà utilisé au Japon. Ce vaccin est désormais disponible en France.
La persistance inquiétante de l’ARN messager dans l’organisme
Les données scientifiques récentes révèlent que l’ARN messager et la protéine Spike du vaccin peuvent être détectés jusqu’à 709 jours après l’injection, soit près de deux ans. Grâce à la spectrométrie de masse, il est possible de distinguer cette protéine spike de celle du virus naturel, car elle est légèrement modifiée au niveau de deux résidus d’acide aminé, en position 986 et 987.
Cette persistance suggère deux possibilités : soit l’ARN messager reste présent dans l’organisme, soit il a subi une rétrotranscription et l’ADN correspondant s’est intégré au génome humain. Des données expérimentales réalisées sur différents types cellulaires confirment cette possibilité d’intégration dans le génome. Si tel est le cas, des réactivations transitoires de la production de protéine Spike pourraient survenir au fil du temps.
Le Dr Sabatier évoque une autre hypothèse : l’activité bactériophage du virus SARS-CoV-2, qui serait capable d’infecter certaines bactéries Gram négatif et de se protéger du système immunitaire. Cette situation pourrait expliquer les rechutes observées chez les patients atteints de la maladie longue du Covid, qu’elle soit due à une infection naturelle, à une injection vaccinale ou aux deux.
Le remplacement programmé des vaccins traditionnels
D’ici 2030, les autorités sanitaires envisagent de remplacer les 500 vaccins actuels, humains et vétérinaires, par des vaccins à ARN messager, dont 120 pour la médecine humaine. Cette orientation privilégie notamment les vaccins à ARN messager auto-amplifiants, que le Dr Sabatier considère comme les plus dangereux.
Parallèlement, des vaccins à ARN messager trans-amplifiants sont en cours de développement, utilisant deux ARN messagers distincts : l’un codant pour le complexe réplicase et l’autre pour l’antigène. Cette approche présente un avantage économique pour l’industrie pharmaceutique, car l’ARN messager codant pour le complexe réplicase peut être réutilisé pour tous les vaccins ; seul le second brin varie en fonction de l’antigène ciblé.
Plus préoccupant encore, des vaccins à ARN messager et à points quantiques de graphène sont également en cours de développement. Ces vaccins utilisent du graphène fonctionnalisé chargé positivement grâce à du polyéthylèneimine, qui stabilise les ARN messagers par des liaisons ioniques. Ces vaccins pourraient être activés de l’extérieur de l’organisme par de l’énergie photonique, des ultrasons ou des champs magnétiques. Or, le graphène n’est pas biocompatible et présente des risques importants.
Les femmes enceintes particulièrement exposées
Traditionnellement, les écoles d’infirmières enseignent de ne pas vacciner les femmes enceintes. Or, les autorités sanitaires recommandent désormais aux femmes enceintes de se faire vacciner contre la coqueluche, l’Haemophilus influenzae B, la bronchiolite, voire la COVID-19 avec le vaccin Comirnaty à ARN messager.
Selon le Dr Sabatier, cette recommandation est aberrante, car la protéine Spike produite par ces vaccins dérégule le système rénine-angiotensine en suractivant un récepteur délétère appelé AT1R. Or, ce système joue un rôle crucial dans la formation des organes de l’embryon et du fœtus. Des études récentes ont démontré que les ARN messagers pouvaient franchir la barrière placentaire et activer le système immunitaire du fœtus. Cette situation pourrait expliquer la recrudescence des mortinaissances et des fausses couches observée récemment.
Le système rénine-angiotensine contrôle également la synthèse des hormones stéroïdes, dont les hormones sexuelles. Son dérèglement inhibe la production d’androgènes, d’œstrogènes et de progestatifs, ce qui affecte la libido et la fertilité.
L’explosion des troubles autistiques chez les enfants
La France impose désormais douze vaccins obligatoires pour les nouveau-nés, contre seulement trois jusqu’en 2018 (diphtérie, tétanos et poliomyélite). Depuis le 1ᵉʳ janvier 2018, le vaccin contre le méningocoque C a été retiré, mais deux nouveaux vaccins ont été ajoutés : un contre le méningocoque B et un tétravalent contre les méningocoques A, C, W et Y. Au total, les enfants reçoivent seize injections vaccinales entre l’âge de deux mois et l’âge de dix-huit mois.
Cette multiplication des vaccinations infantiles coïncide avec une augmentation alarmante du nombre de cas d’autisme. Dans les années 1970, une personne sur 10 000 présentait des troubles autistiques. Aujourd’hui, ce ratio est passé à une personne sur 36, voire une personne sur 22 à New York. Entre 2000 et 2020, le nombre de cas a augmenté de 317 %.
Une étude récente menée sur de jeunes singes ayant reçu le même protocole vaccinal que les enfants a révélé une augmentation des pathologies neurologiques de type trouble autistique, accompagnée d’une augmentation du volume cérébral caractéristique de l’autisme.
Un manque de maîtrise inquiétant
Le Dr Sabatier insiste sur l’absence totale de maîtrise de ces technologies. Pour une même quantité d’ARN messager injectée, par exemple 100 microgrammes dans le vaccin Comirnaty pour adulte (soit 14 000 milliards de molécules d’ARN messager), la quantité de protéine Spike produite varie considérablement d’un individu à l’autre. Cette production imprévisible d’un individu à l’autre rend toute évaluation fiable des risques impossible.
Face aux nombreux effets secondaires documentés, ces programmes vaccinaux auraient dû être suspendus depuis longtemps. Or, ils s’accélèrent avec des vaccins à ARN messager auto-amplifiants, pour lesquels le recul scientifique est encore plus limité, laissant présager des effets délétères plus importants.
Cette situation soulève des questions fondamentales sur les véritables motivations de ces décisions sanitaires. Qu’il s’agisse de conflits d’intérêts, de corruption ou d’autres agendas, une chose est claire : ces politiques vaccinales n’ont plus grand-chose de sanitaire.
Source : Alternatif Bien-Être
Source : Santé Nutrition
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