APPEL AUX SÉNATEURS POUR REFUSER L’OBLIGATION V antiCovid CHEZ LES ENFANTS

(Publié par Nicole Delépine)

Merci aux sénateurs qui ont rejeté la proposition de loi Jomier en commission.

Cette Proposition de loi du groupe socialiste veut rendre obligatoire pour les enfants la vaccination contre le SARS-Cov-2. Elle sera soumise à nouveau au Sénat, le 13 octobre.

Comme médecins, nous sommes affligés qu’un confrère puisse proposer une telle mesure contraire à l’état réel de la science, au principe de précaution et au serment d’Hippocrate : « d’abord ne pas nuire ».

  • Peut-il ignorer que les enfants sains ne peuvent en espérer aucun bénéfice personnel ?
  • Ignore-t-il que les enfants ne constituent pas un facteur réel de contamination ?
  • Ignore-t-il que les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper la maladie ni de la transmettre ?
  • Ignore-t-il que l’immunité collective n’est qu’un mythe dénoncé par des agences sanitaires ?
  • Ignore-t-il que les pseudo vaccins actuels sont expérimentaux ? Et qu’obliger quelqu’un à subir un traitement expérimental est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signée ?
  • Ignore-t-il que ces traitements représentent un danger réel pour les enfants avec déjà des morts ?

RAPPEL DES FAITS ETABLIS

Les enfants sains ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des injections

D’après Santé publique France, 7 à 10 enfants meurent chaque année de la grippe saisonnière contre laquelle le vaccin antigrippal n’est pas indiqué, sauf chez ceux qui souffrent de lourdes comorbidités.

Durant l’année 2020, on a recensé en France 4 décès d’enfants attribués au Covid et tous souffraient auparavant de pathologies lourdes. Cette bénignité du Covid chez l’enfant sain est confirmée par toute la littérature mondiale et toutes les sociétés de pédiatrie.

Les enfants ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel de cette pseudo vaccination même si elle était parfaitement efficace.

Les enfants ne constituent pas un facteur réel de transmission du Covid

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.[1][2][3]

L’étude de l’INSERM[4] est très démonstrative. L’enfant des Contamines, en contact alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.

L’étude de l’institut Pasteur[5] sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Aucun des enfants malades pendant qu’il fréquentait l’école n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans a conclu : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec Covid-19 (alors qu’ils représentent 20,7 % de la population). Seulement 0,6 % des hospitalisations et aucun décès signalé concernaient des enfants de moins de 18 ans. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et aucun enfant de moins de 12 ans n’a été le premier infecté de la famille.

En Irlande,[6] avant la fermeture des écoles, aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie[7] 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées dont 1 élève du primaire potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse[8]: sur un total de 4310 patients atteints du SRAS-CoV-2, seulement 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce, l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

De même, la persistance ou la reprise des activités scolaires n’ont été suivies nulle part d’une reprise de l’épidémie. Après 20 mois d’épidémie et plus de 235 175 106 cas (au 6/10/2021) confirmés de Covid-19, après analyse des publications internationales référencées par PubMed (plus de onze mille sur Covid et enfant), aucun cas de transmission du virus par un enfant infecté n’a pu être formellement démontré.

Alors pourquoi certains, niant les faits établis, prétendent que la vaccination des enfants serait utile pour contrôler le Covid ? La vaccination des enfants ne peut pas protéger les aînés. 

Les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper la maladie, ni de faire des formes graves, ni de la transmettre 

L’exemple des pays champions de la vaccination montre que les pseudo vaccins actuels n’empêchent ni d’attraper, ni de transmettre la maladie. Depuis l’apparition du variant Delta, les reprises de l’épidémie dans les pays les plus vaccinés, souvent plus fortes que les poussées précédentes, montrent que même une couverture vaccinale très élevée ne protège ni les vaccinés ni les autres.

L’inefficacité de l’injection Pfizer à empêcher la diffusion de la maladie est démontrée dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné. L’exemple d’Israël est à cet égard démonstratif.

Le 5 août dernier, sur Channel 13 TV News, le Dr Kobi Haviv, directeur médical de l’hôpital Herzog de Jérusalem déclarait : « 95 % des patients sévères sont vaccinés » et « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées »

L’immunité collective n’est qu’un mythe dénoncé par des agences sanitaires

Mais Monsieur Bernard Jomier feint de l’ignorer lorsqu’il récite sa croyance en la pseudo vaccination en essayant de tromper ses collègues sénateurs en prétendant que la pseudo vaccination serait le « seul moyen d’atteindre une protection collective suffisante », et de « transformer l’épidémie en un phénomène à bas bruit avec d’éventuelles résurgences saisonnières, tout en conciliant l’impératif de protection de la santé publique et un traitement égalitaire de nos concitoyens » dans la conclusion de son rapport à ses collègues.

Il reconnaît que « le variant Delta, avec son plus haut degré de transmissibilité, a changé la donne et nécessite désormais un taux d’immunité de la population (vaccinale ou acquise après infection) compris entre 90 % et 95 % ». Mais il fait semblant d’ignorer qu’un tel taux de couverture vaccinale ne pourra pas être atteint en France et que les représentants de nombreuses agences sanitaires majeures de pays qui ont atteint ce niveau d’injection en ont reconnu l’échec de l’espoir d’immunité collective par les pseudo vaccins.

Ainsi en Islande où devant la recrudescence de l’épidémie malgré un taux d’injection dépassant 93 %

L’épidémiologiste en chef, Orólfur Gudnason déclarait : « obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte. » pendant que le directeur de l’hôpital universitaire national Páll Matthiasson affirmait « Cette pandémie et d’autres sont là pour rester » « Nous devons renforcer le système de santé pour qu’il ne soit pas toujours au bord de l’effondrement ».

Ainsi en Grande-Bretagne championne de l’injection Astra Zeneca qui n’a pas évité une récidive majeure de l’épidémie depuis juillet 21 :

Le chef de l’Oxford Vaccine Group et l’un des pères du vaccin AstraZeneca, Andrew Pollard a déclaré devant les députés « L’immunité collective n’est qu’un mythe »

À Singapour comme à Hong Kong, l’échec cuisant de la vaccination a fait revoir la stratégie sanitaire officielle passant de l’objectif « zéro Covid par la vaccination » au « vivre avec ».

En France, le professeur Fischer chargé de la vaccination qui affirmait il y a quelques mois qu’on atteindrait bientôt l’immunité collective par la vaccination se montre maintenant beaucoup plus prudent.

« Si l’immunité de groupe peut être atteinte ou non, je ne sais pas, c’est devenu un challenge très ambitieux que je ne trancherai pas »

Il n’y a plus guère que Bernard Jomier et un quarteron d’académiciens probablement trop liés à l’industrie pharmaceutique et/ou mal informés pour croire encore au contrôle de l’épidémie par les pseudo vaccins Covid.

Les pseudo vaccins actuels sont expérimentaux

Pour le vérifier, il suffit de consulter le site officiel américain clinicaltrials.gov qui montre que la fin des essais phase 3 n’est pas attendue avant 2023.

Or obliger quelqu’un à subir un traitement expérimental est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signée. Cette convention d’Oviedo ne fait que transcrire dans la loi internationale, la déclaration d’Helsinki élaborée par l’Association Médicale Mondiale après le procès des médecins de Nuremberg condamnant certains d’entre eux à la pendaison pour avoir administré des traitements expérimentaux (pour la moitié des candidats vaccins) sans le consentement libre et éclairé des intéressés.

Ces traitements expérimentaux représentent un danger réel, particulièrement pour les enfants et adolescents

Les péricardites post vaccinales ont été signalées pour la première fois en Israël depuis plusieurs mois. Comme cette maladie est naturellement exceptionnelle chez l’enfant le lien de causalité est hautement probable.

Depuis lors, une étude américaine réalisée à partir du VAERS a montré dès juin 2021 que les garçons en bonne santé âgés de 12 à 17 ans présentaient un taux d’hospitalisation dû à une inflammation cardiaque plus élevé après leur deuxième vaccination ARNm Covid-19 que le taux d’hospitalisation attendu pour le Covid-19 dans ce groupe d’âge.

Une analyse par le CDC (l’autorité américaine de Santé) des rapports d’inflammation cardiaque signalés après l’administration du vaccin Covid-19 l’a confirmé et cette complication des pseudo vaccins est maintenant inscrite dans la notice d’utilisation de ces médicaments aux USA. Rappelons la gravité de cette complication qui peut aboutir à la mort et lorsqu’elle guérit, peut laisser de lourdes séquelles interdisant les efforts prolongés comme la pratique des sports et annulant tout espoir de carrière sportive professionnelle.[9] La guérison rapide et définitive est un mensonge. Des accidents neurologiques divers ont également été rapportés depuis plusieurs mois (paralysie faciale, cécité, certes rares, mais inacceptables pour une maladie sans risque chez l’enfant sain.

Les données récentes de septembre 2021 chez les enfants soumis au pseudovaccin confirment ces premières indications et sont très inquiétantes aux USA[10]

Et à nouveau cette information tragique : les vaccins Covid-19 ont nui et tué plus d’enfants aux États-Unis que tous les autres vaccins combinés selon les données officielles[11]

BY DAILY EXPOSE ON SEPTEMBER 20, 2021

De nouveaux chiffres du système de déclaration des événements indésirables vaccinaux (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis montrent que les enfants souffrent après avoir été vaccinés contre le Covid-19, avec de nombreux malades graves, handicapés et, dans certains cas, décès.

Du 1er janvier 1991 au 30 novembre 2020, donc sur deux décennies, un mois avant que le premier vaccin contre le Covid-19 ne reçoive une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis, il n’y avait qu’un total de 6 068 décès enregistrés (principalement des bébés nourrissons) en raison de tous les vaccins disponibles.

Mais au 10 septembre 2021, en moins d’un an, plus de 3,1 millions d’accidents avaient été enregistrés dans le VAERS en raison des vaccins Covid-19, ainsi que 80 337 visites aux urgences, 60 565 hospitalisations, 19 210 incapacités permanentes, 15 012 événements mettant la vie en danger et 14 925 décès.

Il y a également eu 1 614 décès fœtaux enregistrés à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin contre le Covid-19, bien qu’aucune femme enceinte n’ait participé à un seul essai clinique pour aucun des vaccins anti-Covid 19.

Une recherche dans la base de données VAERS montre qu’il n’y a eu aucun décès fœtal à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2021, et 16 décès fœtaux à la suite de femmes enceintes recevant un vaccin antigrippal en 2020.

Les pseudo vaccins anti-Covid représentent donc un risque de mort fœtale cent fois plus élevé que le vaccin contre la grippe

Pourquoi les autorités continuent-elles de recommander aux femmes enceintes de se faire vacciner contre le Covid-19 ?

Les dernières données VAERS publiées le 10 septembre 2021 montrent également comment les enfants qui ont un risque pratiquement nul de souffrir d’une maladie grave due au Covid-19, souffrent des vaccins Covid-19.

Il y a eu 21 décès, 77 incapacités permanentes, 2 019 visites aux urgences, 942 hospitalisations et 165 événements mettant la vie en danger chez les enfants de moins de 17 ans en raison des vaccins contre le Covid-19.

De plus, les vaccins contre le Covid-19 ont causé 21 fois plus de décès, près de 8 fois plus d’incapacités, 40 fois plus de visites aux urgences, 36 fois plus d’hospitalisations et 18 fois plus d’événements mettant la vie en danger chez les enfants de moins de 17 ans que tous les autres vaccins disponibles combinés (depuis le début des injections antiCovid).

Une autre recherche dans la base de données VAERS pour la thrombose (caillots sanguins), un effet secondaire connu des vaccins Covid-19, montre qu’il y a eu 91 rapports contre les vaccins Covid-19 chez les ados de 12 à 20 ans jusqu’au 10 septembre 2021.

La même recherche pour tous les autres vaccins disponibles montre que seulement 4 cas de thrombose ont été enregistrés. Cela signifie que les cas de thrombose sont 23 fois plus élevés chez les adolescents qui ont reçu une injection anti-Covid 19.

Et pourtant malgré ces énormes alertes sur l’impact dévastateur sur les adolescents aux États-Unis, la FDA et le CDC sont sur le point d’approuver le vaccin de Pfizer pour une utilisation chez les enfants de plus de 5 ans, le Dr Fauci déclarant même qu’il pourrait être approuvé pour une utilisation chez des enfants aussi jeunes que 6 mois d’ici Noël !

Big Pharma a toujours le pouvoir.

Les données récentes de l’office national de statistiques anglais sont (ONS) également très inquiétantes pour les enfants[12]

« Les données de l’ONS pour 2021 montrent qu’entre le 25 juin 2021 et le 17 septembre 2021, il y a eu 217 décès parmi les adolescents âgés de 15 à 19 ans, ce qui signifie que les décès chez les adolescents de plus de 15 ans étaient 47 % plus élevés qu’à la même période en 2020.

La différence ? L’augmentation du nombre de décès d’adolescents en 2021 a coïncidé avec l’offre du vaccin Covid-19, comme le montrent les données du NHS qui peuvent être téléchargées,[13] et accessibles sur le site Web du NHS, montre qu’au 27 juin 2021 plus de 147 000 personnes de moins de l’âge sur 18 avaient reçu au moins une dose d’un vaccin contre le Covid-19 ».

L’Agence de réglementation des produits de santé et de médecine anglaise a ouvertement admis qu’elle soupçonnait la myocardite et la péricardite d’être des effets secondaires potentiels des vaccins Pfizer et Moderna Covid-19, en particulier chez les jeunes hommes.

UK Medicine Regulator a ajouté officiellement des avertissements concernant la myocardite et la péricardite aux étiquettes de sécurité des vaccins Covid-19. L’EMA également et les généralistes ont reçu des lettres les incitant à expliquer ce risque aux futurs vaccinés. Mais s’ils le font, qui se vaccinera ? Et si les médecins ne vaccinent plus, ils se font tancer par les ARS et l’ordre des médecins…

Les données sont maintenant publiées pour que les autorités voient, une augmentation de 63 % des décès d’adolescents masculins depuis qu’ils ont commencé à recevoir le vaccin antiCovid-19, elles doivent enquêter sur cela et cesser immédiatement le déploiement de cette injection expérimentale aux enfants.[14]

En Angleterre, la bataille continue ! Le mardi 5 septembre, Chris Whitty, le médecin-chef anglais a décidé d’annuler le Comité mixte sur la vaccination et de conseiller au gouvernement de proposer le « vaccin » anti-Covid 19 à tous les enfants du secondaire en bonne santé. Cela a jusqu’à présent conduit à augmenter de 400 % le nombre de décès chez les enfants de sexe masculin par rapport à la même période en 2020.[15]

Il y a environ 15,6 millions de personnes âgées de 19 ans et moins au Royaume-Uni, ce qui signifie que seulement 1 enfant et adolescent avec comorbidité grave, sur 410 526 serait décédé du Covid-19 en 18 mois. Seulement 1 enfant sur 1,7 million serait mort du Covid-19 en 18 mois, sans comorbidité connue.

Il n’y avait donc aucune excuse pour imposer cette injection dans les écoles et les journaux se demandent si le médecin-chef a compris qu’il mettait ainsi en danger la vie des enfants anglais.

Cependant, les gens se sont battus devant les tribunaux pour annuler la décision du médecin en chef de l’Angleterre[16] selon laquelle les enfants devraient recevoir une injection expérimentale de Covid-19, malheureusement en vain jusqu’à présent.

Un juge a ordonné au gouvernement britannique de soumettre des preuves justifiant la vaccination des enfants contre le Covid-19, leur donnant une date limite du lundi 11 octobre.

L’ordre de l’honorable juge Jay est le bienvenu après que la révélation, le jeudi 30 septembre, que depuis que les adolescents de plus de 15 ans ont reçu le vaccin Covid-19, les décès dans ce groupe d’âge ont augmenté de 47 % par rapport à la même période en 2020.

Mais l’examen par la Cour traîne depuis le premier septembre sans suspension des injections, et les drames se poursuivent…

Alors pourquoi en France cette proposition de loi susceptible de mettre en danger nos enfants, après toutes ces informations provenant des sources officielles ?

Mr le Sénateur Jomier et les autres signataires de cette proposition de loi sont-ils à ce point désinformés ? Qui les informe ? Qui sera responsable et coupable ?

Ne représenteraient-ils que des lobbyistes des entreprises du médicament ?

Les antécédents du docteur Jomier dans l’expérience « Paris sans Sida » plaideraient pour cette dernière possibilité.

En 2015-2016 alors que Bernard Jomier était adjoint à la mairie de Paris, chargé de la Santé, il a mis en œuvre la politique « vers Paris sans sida » faisant la promotion d’un médicament préventif de GILEAD ; la PrEP.  Dans un article de juin 2017, Hervé Latapie dénonçait certaines pratiques de l’industrie pharmaceutique et des liens d’intérêts affectant l’indépendance des décisions.

« Ainsi le consensus en faveur de la promotion de la PrEP à grande échelle s’est construit grâce à l’action de certains acteurs très impliqués, aux motivations complexes et non dénuées de conflits d’intérêts.

« La firme Gilead va donc se retrouver à tous les niveaux de la mise en place de la PrEP : apports financiers directs auprès des associations de lutte contre le sida ou d’organismes de santé communautaires gays, conventions de recherche avec des services hospitaliers, mise en place d’essais démonstratifs, émoluments et autres cadeaux distribués auprès de professionnels de santé (billets d’avion business, séjours hôteliers de hauts grade, inscriptions onéreuses à des congrès, bourses d’études ou de recherches…), encarts publicitaires offerts à la presse gay ».

En 2018, l’initiative « vers Paris sans sida » recevait 530 000 euros de conventions du laboratoire Gilead.  Après cinq ans de cette promotion de la PrEP qui a rapporté beaucoup à Gilead, le bilan sanitaire global est très mitigé[17][18]

Gilead ? Toujours Gilead, que personne n’a pu oublier et dont les liens d’intérêt avec les anti Raoult, médecins de plateau permanents et les promoteurs du tragique Remdesivir ont constitué un des feuilletons de l’année 2020. 

EFFETS INDÉSIRABLES RELATÉS PAR LES AGENCES OFFICIELLES DES THÉRAPIES GÉNIQUES

Quelques éléments complémentaires à leur fournir ainsi qu’à tous les candidats à la présidentielle tragiquement silencieux alors que ces drames se jouent sous leurs yeux

En UE selon le site officiel de l’agence européenne du médicament[19]:

Tableau comparatif des Myocardites déclarées sur Eudravigilance pour les 12-17 ans et les 12-17 ans complètement vaccinées en France complètement superposables.

ET GLOBALEMENT EN UNION EUROPÉENNE

Plus de 26 000 décès reconnus par l’agence et plus d’un million d’accidents notés comme graves par EudraVigilance. Un tel risque, une fois connu, avec ces sources officielles est — il acceptable surtout chez les jeunes qui ne risquent rien du Covid ?

Et comme aux USA, le nombre de décès post Vax antiCovid a flambé depuis les injections antiCovid.

TOUS les décès, pour TOUS les vaccins répertoriés, depuis 2010 dans la base de données de pharmacovigilance européenne EudraVigilance, année par année.

En conclusion, il faut refuser cette obligation chez des enfants en particulier, et exiger un moratoire devant l’accumulation des effets secondaires, dont certains graves, et des décès chez des personnes en bonne santé.

Ceci d’autant plus que l’épidémie est terminée comme le réseau sentinelle le démontre.[20]

Merci aux sénateurs qui ont refusé de voter cette proposition de loi contraire aux données actuelles de la science et espérons qu’ils pourront convaincre leurs collègues.

Encourageons— les tous à refuser définitivement cette proposition dangereuse. Chacun a le droit à l’erreur, mais persévérer est diabolique surtout quand il s’agit d’enfants et donc de l’avenir de la nation.

Et tous les politiques de tous les bords devraient s’emparer de ce risque énorme pour les jeunes et s’opposer à ce danger imminent et impossible à nier. Sinon, comment croire à leur intérêt pour les Français et singulièrement sa jeunesse ?

Et nous citoyens, contactons-les par tous les moyens pour les informer et qu’aucun ne puisse dire plus tard « je ne savais pas » !

sénateurs :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs

De tous les députés :

https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes


  1. [1] Jonas F Ludvigsson Children are unlikely to be the main drivers of the Covid-19 pandemic – A systematic review Acta Paediatr 2020 Aug ; 109(8) :1525-1530. doi : 10.1111/apa.15371. Epub 2020 Jun 17.
    Children are unlikely to be the main drivers of the COVID-19 pandemic – A systematic review – PubMed (nih.gov) []
  2. [2] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (Covid-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021.
    A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic – PubMed (nih.gov)
    https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf[]
  3. [3] Benjamin Lee and William V. Raszka Covid-19 Transmission and Children : The Child Is Not to Blame Pediatrics August 2020, 146 (2) e2020004879 ; DOI :
    COVID-19 Transmission and Children: The Child Is Not to Blame – PubMed (nih.gov) []
  4. [4] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.
    Cluster of Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) in the French Alps, February 2020 | Clinical Infectious Diseases | Oxford Academic (oup.com)[]
  5. [5] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020
    SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission | medRxiv[]
  6. [6] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of Covid-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ; 25 :2000903.
    No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020 – PubMed (nih.gov)[]
  7. [7] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. Covid-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020Google Scholar[]
  8. [8] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. Covid-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020 ; 146(2) :
    https://pediatrics.aappublications.org/content/146/2/e20201576[]
  9. [9] La myocardite inflammation du muscle cardiaque, péricardite : inflammation des sacs protecteurs entourant le cœur. Les deux sont des conditions extrêmement graves en raison du rôle vital que joue le cœur pour maintenir une personne en vie et du fait que le muscle cardiaque ne peut pas se régénérer. Une myocardite grave peut entraîner un arrêt cardiaque et faire perdre des années à la vie d’une personne.[]
  10. [10] The Covid-19 Vaccines have harmed and killed more children in the USA than all other vaccines combined according to official data (wordpress.com) []
  11. [11] Search Results from the VAERS Database (medalerts.org) []
  12. [12] Augmentation de 63 % des décès chez les adolescents au Royaume-Uni — Morts après vaccination (wordpress.com) []
  13. [13] Statistics » Covid-19 Vaccinations Archive (england.nhs.uk) []
  14. [14] https://theexpose.uk/2021/10/04/teen-boy-deaths-increased-by-63-percent-since-they-had-Covid-vaccine/[]
  15. [15] Investigation : Deaths among male Children have increased by 400% since Chris Whitty decided they should have the Covid-19 Vaccine – The Expose[]
  16. [16] UK Judge orders Government to provide evidence in court that justifies Covid-19 Vaccination of Children in legal challenge to halt roll-out of the jabs to Kids – The Expose[]
  17. [17] D’après santé publique France l’incidence du sida à Paris s’est stabilisée (en grande partie grâce à l’accroissement sensible du dépistage) mais l’abandon trop fréquent du préservatif par ceux qui se croient ainsi protégés par le PrEP a été suivi par une augmentation de 20 à 30 % des autres maladies sexuellement transmissibles (syphilis, gonorrhée, chlamydia) []
  18. [18] ? []
  19. [19] https://adrreports.eu/fr/[]
  20. [20] Réseau Sentinelles — Semaine 39[]

Source : Nouveau Monde

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