« Pour être un bon chef, il faut rester libre »

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Général d’armée Pierre de Villiers

« Il y a une recette-clé : mettre l’homme, la femme au cœur des préoccupations des dirigeants. Quelles sont les conséquences du pouvoir sur les personnes ? Mettre la performance au service des hommes et des femmes et non pas l’inverse. À ce moment-là, la confiance réapparaît, l’autorité réapparaît. Simple dans la théorie. Dans la pratique, c’est plus compliqué… Quand les capteurs, comme les gilets jaunes, s’allument, cela traduit une rupture de confiance. Les moyens économiques et financiers, indispensables pour tout pays, doivent venir après au service des hommes. Nos élites, nos dirigeants, doivent, dans leurs écoles, apprendre ça d’abord. Apprendre que l’entreprise se cassera la gueule si le moral des troupes n’est pas bon. »

Interview parue simultanément ce dimanche dans les Dernières Nouvelles d’Alsace, L’Alsace, L’Est Républicain, Le Bien Public, Le Journal de Saône-et-Loire et @leprogres (accès réservé aux abonnés)

Source : Le Progrès

 

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